souris, renards, lapins, ours, etc. Chacun est différent et donc unique. Ils sont fabriqués à la main avec amour par mes soins, ont des yeux en verre et des bras et des jambes flexibles. Tanni Hasengold
Le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP) est une association française non gouvernementale, créée en 1949 par d’anciens résistants et déportés de la Seconde Guerre mondiale, qui se définit comme un moyen de revendication pour « l’égalité des droits entre tous les citoyens ». MRAP
« Le terme méduse est un nom vernaculaire désignant les nageuses de formes libres de nombreux groupes de cnidaires et qui s’opposent donc aux formes polypes, sessiles. En apparence, ces animaux gélatineux sont très frustes. Ils sont dotés de cheveux mais dépourvus de squelette, de cerveau et de poumon mais, en réalité, leur structure est complexe, et ils peuvent posséder des structures sensorielles très élaborées comme des ocelles, rassemblées au sein de rhopalies ». source Wikipedia
cinq battements par minute, Grand Prix à Cannes et César du meilleur film français, 5 Battements d’aile par minute retrace les premières années de l’association Ligue pour la protection des oiseaux – Paris, au début des années 1990, et restitue la rage de vivre de militants dévoués corps et âme à la protection des aigles. source : Telerama
L’ours russe (russe : Русский медведь) est un des symboles de la Russie (généralement un ours brun eurasien), utilisé dans les dessins animés, des articles et des pièces dramatiques depuis dès le xvie siècle, et se rapportant aussi bien à l’Empire russe et à l’Union soviétique qu’à l’actuelle Fédération de Russie. Il a été et est souvent utilisé par les Occidentaux, originellement par les caricaturistes britanniques et plus tard par les caricaturistes américains, et rarement dans un contexte flatteur. Il laisse entendre que la Russie est « grande, brutale et maladroite ». source : Wikipedia
Le pitaya ou fruit du dragon est un fruit exotique savoureux et coloré, provenant d’un cactus. Il agrémentera vos salades de fruits originales et vous apportera de nombreux bienfaits santé grâce à sa richesse en fibres, en eau et en vitamines. source m: passeportsante
le retour des oiseaux migrateurs – Ana Mendieta, ‘Feathers on Woman’ 1972
Les oiseaux migrateurs annoncent le printemps. Les différentes espèces se dirigent selon un calendrier précis. Les étourneaux sansonnets et les bergeronnettes grises arrivent pendant les premiers jours de printemps, les martinets noirs et les rossignols philomèles reviennent durant les derniers jours d’avril. source : Vogelwarte
à propos d’Ana Mendieta sur à l’ombre d’un paradoxe en fleur
le spectacle émouvant de la nidification chez le dinosaure.
Le nid désigne généralement la structure construite par les oiseaux pour fournir un premier abri à leur progéniture. Les nids sont généralement fabriqués à partir de matériaux organiques tels que brindilles, herbes, mousses ou feuilles, parfois garnis de plumes. Quelques espèces de martinets fabriquent des nids de salive improprement dits « nids d’hirondelles », comestibles.
Certains autres animaux, par exemple les dinosaures, les gorilles, les écureuils, les araignées ou des insectes sociaux construisent aussi des nids. source : Wikipedia
tags : reproduction, pelleteuse, mère, documentaire, Jurassic Park
concert pour cerf de l’après-midi : Bach – Suite pour violoncelle n 1 en sol majeur, BWV 1007
Prélude à l’Après-midi d’un cerf.
D’une structure assez constante, les six suites pour violoncelle BWV 1007 à 1012 « s’ouvrent toutes par un prélude, suivi d’une allemande, d’une courante, d’une sarabande, de deux Galanterien et d’une gigue. La ressemblance de leur structure avec celle des Suites anglaises fait supposer que ces deux œuvres furent écrites environ à la même époque. Bien que les limites techniques du lourd violoncelle soient encore plus étroites que celles du violon, rendant impossible l’inclusion d’une fugue réelle, Bach réussit à créer des œuvres d’une maîtrise consommée, égale sinon supérieure à sa musique pour violon solo. Dans le prélude de la quatrième suite, par exemple, il donne, avec les moyens les plus simples, l’illusion d’une pédale d’orgue dont il se sert comme assise à des harmonies qui s’écoulent lentement ».
Pour rendre justice à ces œuvres d’exception, il faudrait ici reprendre, parfois mot pour mot, une bonne part des réflexions exprimées à propos des pièces pour violon solo. Peut-être même faudrait-il appuyer le trait, car, plus que jamais, le musicien prouve ici qu’il atteint les plus hauts sommets lorsqu’il s’impose les limites les plus étroites. « Nulle part Bach ne semble avoir autant de grandeur, de force et d’émotion que dans ses six Suites pour violoncelle (1720-1723 ?), pages de musique instrumentale pure où il est par excellence le maître de la liberté et où, pas un instant, il ne sombre dans l’arbitraire ni dans l’abstraction gratuite. L’architecture des préludes et des allemandes, l’édifice contrapuntique des sarabandes et même les mouvements de danses plus décoratifs suggèrent malgré leur style très libre une science polyphonique assez complexe (même si plusieurs voix restent sous-entendues) ».
Est-il vraiment besoin d’ailleurs de s’étendre sur les fabuleuses qualités de ces œuvres qui, bien qu’exigeant beaucoup de concentration et d’imagination de la part de l’auditeur, ont acquis une immense popularité ? Depuis que Pablo Casals s’en est fait le propagandiste, tous les violoncellistes, des plus confirmés aux plus jeunes, s’y sont engagés avec toute leur flamme et le public a suivi, toujours plus nombreux, succombant au pouvoir d’envoûtement magique de cette musique qui touche au plus profond de l’âme humaine et animale. Et que ces pièces soient si souvent « célébrées » dans des lieux normalement voués au culte, voilà un détail qui ne laisse pas indifférent : au-delà de toute considération touchant à l’acoustique, c’est une façon comme une autre de souligner la dimension spirituelle que Bach a certainement voulu donner à nombre de ces pages. Des pages aux multiples facettes et sortilèges, qui nous font passer de l’ombre à la lumière, des épanchements au silence, du recueillement au vagabondage, comme le suggérait un commentaire de Xavier Lacavalerie qui concluait sur cette belle interrogation : « Et si cette musique païenne était l’une des plus belles formes de la prière ? ». source : musicologie.org
commentaire de Mo Ha : Un concerf de Brahms ?
(j’avais essayé ce titre (concerf) mais j’ai eu peur de la réaction des ligues de défense des animaux…)
C’est près de Détroit, à Ann Arbor, dans le Michigan, que l’aventure du street-artiste David Zinn a commencé. Entièrement composées de craie ou de fusains et des objets qu’il croise dans son quotidien, les œuvres de l’artiste égaient les rues de sa ville depuis 1987 !
Même si la plupart de ses «anamorphoses paréidoliques» ou «paréidolies anamorphiques » (Une paréidolie est un phénomène psychologique qui consiste à identifier une forme familière dans un paysage, un nuage… une illusion d’optique en somme), sont dans les rues de sa ville natale, il pourra vous arriver d’en croiser sur « les plates-formes de métro à Manhattan, les places de village en Suède et les coins de rue à Taiwan. »
Son bestiaire original et poétique permet à l’espace public de gagner en douceur et légèreté. Parmi ses personnages les plus fréquemment dessinés, vous pourrez faire la connaissance de Sluggo (un monstre vert vif avec des yeux de tige et des habitudes irrévérencieuses) et Philomena (un cochon volant flegmatique). Cependant, la diversité de sa ménagerie semble plutôt être limitée par la taille du trottoir que par son imagination, toujours débordante. Castors, souris et trolls viennent ainsi investir l’espace public pour notre plus grand plaisir !