Emmenez-moi au bout de la terre – Elene Usdin / Charles Aznavour
« J’étais terrifiée par mes poupées quand j’étais petite. J’avais l’habitude de penser qu’elles s’animaient la nuit, qu’elles ouvriraient les yeux et viendraient vers moi. J’avais l’habitude de faire des cauchemars », raconte la photographe française Elene Usdin à l’époque où elle et sa famille vivaient au Québec. « J’avais quatre ans et nous vivions dans une maison au Canada ; mon père est médecin, et à chaque fois il travaillait tard et ma mère se retrouvait seule dans cette grande maison avec nous trois ». Elle commencerait à s’inquiéter des rôdeurs, des vampires et d’autres créatures fantastiques qui ne sont tout simplement pas réelles. « C’est probablement pourquoi j’ai fait tant de cauchemars à propos de mes jouets – je pense que j’ai ressenti toutes ses peurs. Mais c’est aussi comme ça que j’ai appris à créer mes histoires. »
L’ombre de ton ombre – Mithun H : léopard avec ombre de panthère noire
« Laisse-moi devenir L’ombre de ton ombre L’ombre de ta main L’ombre de ton chien Mais Ne me quitte pas »
Jacques Brel
Le photographe animalier Mithun H s’est fait un nom en capturant de magnifiques clichés de grands félins et d’autres animaux dans la forêt de Kabini au Karnataka, en Inde, et sa documentation sur la panthère noire nommée Saaya est présentée dans la série National Geographic, « The Real Black Panther . » Mais une photographie récente intitulée «Le couple éternel» est particulièrement remarquable. La photo époustouflante montre que Saaya ressemble à l’ombre parfaite de son compagnon léopard, Cléopâtre
J’avais attendu six jours pour cela au même endroit car je pouvais entendre la Panthère et la Cléopâtre s’accoupler à environ 100 mètres dans les sous-bois épais mais je ne pouvais pas les voir en raison de la visibilité limitée. Ils avaient fait une grosse tuerie et ne bougeraient pas tant que ce n’était pas fini. C’est là que les connaissances et les années d’expérience dans le suivi et le suivi de la Panthère se sont avérées utiles. Je devais juste attendre sur l’un de ses chemins préférés car c’était l’endroit où il l’aurait car c’était la limite de son territoire, et il l’a fait après six jours. Ce fut cependant une attente fructueuse. Je pourrais attendre six ans pour un moment comme celui-ci. source : ichi.pro
elle écoute de la musique saoule – Françoise Hardy / video : Mcbess
J’écoute de la musique saoule à rouler par terre Dans un night-club ou déboule un funky d’enfer Toute seule, si quelqu’un me l’a volé Toute seule, que les sorties soient fermées Toute seule, toute seule il m’a laissée toute seule.
Les scarabées d’or attaquent tutti frutti en sol Faut qu’j’me trouve un homme un crac, chinois mongol Prince du pétrole, le roi du bonbon menthol
tu me fais tourner la tête Andreas Wannerstedt ‘Sliding Zeus XL’ sur Vimeo (ou video perso)
Andreas Wannerstedt est un artiste et directeur artistique basé à Stockholm qui crée des sculptures 3D uniques et des animations en boucle fascinantes. L’imagerie d’Andreas est à la fois sophistiquée et fantaisiste, mettant en vedette des formes géométriques simples et ludiques dans des compositions équilibrées, ainsi que des textures organiques et des palettes de couleurs harmonisées. Ses animations parfaitement synchronisées ont souvent été décrites comme « étrangement satisfaisantes », car l’effet global évoque un sentiment étrangement hypnotisant qui rend le spectateur détendu et même méditatif. Bien que ses animations soient vaguement basées sur des comportements du monde réel, elles brisent souvent les limites des tolérances, de la friction et de la gravité, permettant des mouvements sans fin de l’ordre le plus propre. source : andreaswannerstedt.se
Dans sa maison un grand cerf Regardait par la fenêtre D’autres cerfs venir à lui Et frapper à l’huis : « Cerf, cerf, ouvre nous, Ou le chasseur nous tuera » « Cerf, cerf, entre et viens me serrer la main »
tags : accueil des réfugiés, solidarité, comptine, paroles de chanson
La chauve-souris appartient à l’ordre des Chiroptères (« chiro » main et « ptère » aile). L’aile de la chauve-souris est en réalité une main modifiée. A l’exception du pouce, les autres doigts sont particulièrement allongés et sous-tendent une fine membrane de peau, souple et élastique, assurant la portance, appelée le patagium.
Cette main ailée peut aussi servir de protection quand l’animal est au repos. Il s’en enveloppe alors telle une grande cape isolante. Les ailes agissent aussi comme un régulateur thermique. Brassant l’air nocturne, elles contribuent à abaisser la température de l’animal en vol. Les chauves-souris ne se contentent pas de voler, certaines se déplacent avec agilité sur le sol, dans les branches ou sur les voûtes des cavités.
Voir avec ses oreilles
Presque toutes les chauves-souris quittent leur gîte à la tombée de la nuit. L’essentiel des espèces s’oriente et chasse à l’aide de l’écholocalisation, un système comparable au sonar qui leur permet d’évoluer dans l’obscurité la plus totale. Elles font partie des rares animaux qui peuvent « voir avec leurs oreilles ».
La vue, si elle est tout à fait fonctionnelle, constitue l’un des sens les moins performants, l’ouïe et l’odorat étant particulièrement développés.
Un monde à l’envers
Presque toutes les chauves-souris passent une grande partie de leur vie la tête en bas.
Les pieds des Chiroptères ont subi une rotation de 180° par rapport aux nôtres, adaptation qui s’avère idéale pour s’accrocher facilement aux branches, aux voûtes des cavités ou aux charpentes. Quand elles se suspendent, leur poids exerce une traction sur des tendons qui maintiennent les griffes en position d’accrochage. Elles ne dépensent donc aucune énergie, même pendues pendant de très longues périodes. source : Société Française pour l’Etude et la Protection des Mammifères