
ça te dirait de retourner à l’ hôtel Overlook l’hiver prochain ? Shelley Duvall (1970) on set of Brewster McCloud / The Shining

13h15 – Eva Sereny : American actor Paul Newman at his home in Connecticut, US, circa 1981
Eva Sereny est une photographe et réalisatrice suisse. Pendant trente ans, elle travaille sur les plateaux de films prestigieux et côtoie des acteurs célèbres. Son court métrage de 1984, The Dress, obtient un prix BAFTA. Wikipédia

à l’Ouest le linge est plus blanc – Patrick Piel, Gamma-Rapho via Getty Images, History Extra, mur de Berlin, 1985-1986
La RDA voulait désespérément mettre un terme à cette soi-disant «fuite des cerveaux», c’est pourquoi en août 1961, les communistes est-allemands ont reçu le feu vert de Moscou pour fermer la frontière et construire une barrière physique. Le mur de Berlin a renversé la fonction habituelle des murs – empêcher les gens d’entrer -; ce mur était uniquement destiné à retenir ses citoyens.
Le mur de Berlin n’était pas un mur, mais deux. Mesurant 155 kilomètres (96 miles) de long et quatre mètres (13 pieds) de haut, ces murs étaient séparés par un couloir de terre fortement gardé et miné connu sous le nom de «bande de la mort».
Il était sous la surveillance constante de gardes-frontières armés est-allemands qui étaient autorisés à tirer sur quiconque tentait de s’échapper à Berlin-Ouest. En 1989, le mur était bordé de 302 tours de guet. Plus de 100 personnes sont mortes en tentant de traverser le mur de Berlin au cours de ses 28 ans d’histoire. source : photoshistoriques.info
tags : laver son linge sale en famille, lessive, Allemagne, à l’ombre du béton en fleur

la main de l’homme – Sylvia Plath, Ontario, Canada, 1959
Sylvia Plath, née le 27 octobre 1932 à Jamaica Plain, dans la banlieue de Boston, et morte le 11 février 1963 à Primrose Hill, est une écrivaine et poétesse américaine, autrice de poèmes, d’un roman, de nouvelles, de livres pour enfants et d’essais. Wikipédia

ça va être à moi – Lusha Nelson : Actor Peter Lorre Posing Against A Wall, January 1st, 1936
Parmi les passionnés de photographie, l’énigmatique et aux multiples talents Lusha Nelson est le moderniste oublié. Dans les années 1930, il réalise des portraits pour Vanity Fair , des séries mode pour Vogue, ainsi que des natures mortes, des scènes de rue et des publicités sur papier glacé avec un aplomb égal. Émigré letton, il était venu à New York à l’adolescence avec des aspirations artistiques, pour faire des petits boulots (y compris un passage en tant que sous-chef dans les Catskills) avant de refléter son mentor, Edward Steichen, et de choisir la caméra. La toile. Bien que pratiquement inconnu, Nelson est rapidement devenu un favori de Steichen et d’Alfred Stieglitz, les faiseurs de rois de la photographie en titre, pour son style audacieux et tranchant et son approche authentique. (Nelson abhorrait la retouche.) Steichen, alors photographe en chef de Condé Nast Publications, prit Nelson sous son aile, et le jeune artiste réalisa bientôt des portraits saisissants de stars hollywoodiennes comme Katharine Hepburn et Fay Wray, et des athlètes d’élite tels que le boxeur poids lourd Joe Louis et le sprinter Jesse Owens avant d’embarrasser Hitler aux Jeux olympiques de Berlin. Puis, en 1938, à peine 6 ans après le début d’une carrière prometteuse, Nelson, âgé de 30 ans, mourut d’un lymphome de Hodgkin, consignant son héritage à une note de bas de page photographique. source : vanityfair.com

première chose : s’étirer – Abigail Thompson ‘Couch Potato’ by Linus Dotson
Les meilleurs étirements à pratiquer au réveil
1 – La posture de l’enfant. Simple et efficace, cet étirement va vous permettre de vous réveiller en douceur et d’étirer votre dos. …
2 – La posture du chat et de la vache. …
3 – L’étirement des flancs.
source : mutuellebleue.fr
Abigail Thompson, née en 1958, est une mathématicienne américaine. Elle enseigne et dirige ses recherches à l’Université de Californie à Davis depuis 1997. Ses travaux portent sur la théorie des nœuds et sur la topologie en basses dimensions. Wikipédia

les grandes questions de l’existence : que porterai-je demain ?
Lorsque le soir approche, les questions se bousculent dans notre tête. Est-ce que l’existence humaine rime à quelque chose ? Est-ce que ma vie a signifié quelque chose ? Y a-t-il une vie après la mort ? Que porterai-je demain ? Quel type de réponse peut-on espérer ?
Tout dépend bien sûr de la manière dont on aborde la question du sens de la vie. Celle-ci peut s’entendre selon des angles différents qui ont tout à voir avec les multiples sens de la notion de sens. source : ledevoir.com

vue de l’esprit – Fabrice Monteiro, Holy 2
La très grande diversité des religions en Afrique est méconnue aujourd’hui du grand public. C’est de ce constat qu’est né l’idée de l’exposition « Afrique, les religions de l’extase » qui a ouvert ses portes le 3 juin 2022 à l’abbaye de Daoulas (Finistère). Car nombre de pratiques cultuelles africaines, pratiquées également dans les Amériques et en Europe par les diasporas, vise à atteindre l’extase : soit une expérience des croyants qui consiste à accueillir en eux le divin, à sortir de soi et du monde, en passant bien souvent par des expériences de transe et d’altération de la conscience. « Le point commun des pratiques présentées, c’est la forme extatique, qu’elle soit obtenue par les prières, le jeûne ou l’alcool, explique l’anthropologue belge Boris Wastiau, commissaire de l’exposition inspirée de son travail de thèse mené dans les années 1990 et au début des années 2000. Elle est très majoritairement présente dans les religions africaines, y compris chrétiennes. Cela demeure contemporain et est désormais pratiqué un peu partout dans le monde ». source : sciencesetavenir.fr
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mes ancêtres venaient de la mer – Iris Legendre
« Mon travail interroge la notion d’hérédité, l’idée de contagion au sein de la famille. On ne peut échapper à la généalogie et à la mémoire.
Il s’agit ici de vieux portraits de famille sur lesquels j’ai planté une à une des centaines d’épingles. Je propose ainsi de porter un regard neuf sur ces photographies banales.
Les formes obtenues évoquent tantôt un masque, un cercueil, ou un fantôme. Elles suggèrent un châtiment, une tumeur qui s’infiltre pour ne plus les quitter. Au-dessus de tous ces gens une menace semble planer. Le geste est violent, mais ces photographies contiennent aussi une pointe d’ironie qui peut faire sourire. » source : vozgalerie.com
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tags : corail, oursin