un oeuf à cheval – Hannes Wallrafen : De Schimmel, 1992
Un œuf à cheval est une photographie constitué d’un cheval cru passant au dessus d’un oeuf au plat, lui-même également cuit. Ce plat est souvent accompagné de pommes de terre, en particulier des frites, ou de riz et de lentilles dans certaines occasions (Wikipedia)
L’exposition Memories of a Blind Photographer (Souvenirs d’un photographe aveugle) est une rétrospective d’Hannes Wallrafen, le fameux artiste germano-néerlandais qui a perdu la vue au sommet de sa carrière, il y a de cela dix ans. Wallrafen est célèbre pour ses mises en scène photographiques au travers desquelles il cherche à traduire le temps en images construites. Son travail peut être regardé comme une interprétation personnelle de l’histoire locale : le storytelling dans toute son essence. source : loeildelaphotographie.com
Trouver l’âme sœur : 9 signes qui révèlent que c’est la bonne personne
VIE DE COUPLE – Il suffit de prononcer le mot « âme sœur » en société pour voir aussitôt certaines personnes écarquiller les yeux. L’idée qu’il existe un être magique, juste pour vous, dont vous allez tomber amoureux instantanément et qui ne vous contredira jamais est une illusion.
La personne qui existe vraiment, du moins pour la plupart des gens, est celle que vous devinez d’instinct, avec qui vous communiquez en profondeur et qui vous permet de vous épanouir en tant qu’être humain au sein de la relation. S’il se trouve que cette personne est votre compagne ou compagnon, alors c’est que vous avez fait une rencontre vraiment spéciale.
Alors, à quoi reconnaît-on que l’on a trouvé « la » personne qu’il nous faut? Une équipe de spécialistes de l’amour et des relations vous en exposent ici les signes révélateurs. source : huffingtonpost.fr
Les animations parfaitement synchronisées d’Andreas Wannerstedt ont souvent été décrites comme « étrangement satisfaisantes »
tags : mariage, divorce, remariage, un jour sans fin, arbre généalogique
Norview High School Junior Cheerleaders practice in front of their school even though it was closed in an attempt to block integration, LIFE Magazine, Norfolk, Virginia, October of 1958
un accord a été trouvé – Keith Carter, Hands, 1991
Le travail de Keith Carter explore le temps, le lieu et la culture vernaculaire. Décrit comme un « poète de l’ordinaire » par le Los Angeles Times, ses photographies ont été exposées dans plus de cent quinze expositions personnelles dans treize pays. source : keithcarterphotographs.com
Roman Holiday, vacances à Rome (1953) dir. William Wyler
Princesse soumise à un étouffant protocole, Ann n’a pas une minute de liberté. En déplacement à Rome, elle fait la rencontre du journaliste Joe Bradley qui la reçoit chez lui sans connaître son statut. Sous le charme du jeune homme, Ann profite enfin d’un moment d’évasion avant que sa condition ne la rattrape. (google)
D’où vient l’expression « la lumière au bout du tunnel » ?
Cette expression métaphorique, que l’on ne trouve pas dans les dictionnaires, nous parle d’espérance.
« Voir le bout du tunnel », « sortir du tunnel », voilà des expressions consacrées qui émergent dans le dictionnaire à la fin du XIXe siècle, au moment de la révolution ferroviaire et de la percée de galeries souterraines pour laisser passer les locomotives.
« To see light at the end of the tunnel », existe en anglais et est datée du début du XIXe siècle. Mais sa traduction en français ne figure pas dans les dictionnaires. « On ne trouve pas l’expression en tant que telle, ni à “lumière” ni à “tunnel” ni à “sortir”, comme si la langue ne l’avait pas figée », remarque Sylvianne Rémi-Giraud, linguiste et sémiologue.
Dépasser la difficulté
Selon le Trésor de la langue française, le « tunnel » au figuré est une « longue période de difficultés, de souffrances physiques ou morales dont on ne voit pas la fin ». Et de donner un exemple dans la littérature qui associe un tunnel de souffrances à la lumière, comme dans un oxymore (figure de style consistant à associer deux mots au sens contradictoire) : « L’impression de sortir d’un tunnel, de trouver la lumière, de commencer vraiment une nouvelle vie ! », écrit Roger Martin du Gard dans son livre, Jean Barois, en 1913, un récit sur la perte de la foi dans le monde moderne.
« Cette combinaison de mots, figurée, “la lumière au bout du tunnel”, tout le monde, en France, la comprend de manière immédiate », souligne Sylvianne Rémi-Giraud. Mais la « lumière » s’avère peu définissable : « On voit très bien ce qu’est un tunnel, il est associé à un souterrain, sombre, mais la lumière ? C’est un nom commun accessible à tous, qui relève d’une expérience universelle, mais qui reste difficile à saisir. Il y a bien sûr la fonctionnalité de la lumière mais il y a aussi bien plus. »
Dans la métaphore de la lumière se niche une espérance, « au bout du tunnel », « qui est sur la ligne d’horizon, à laquelle on tend, » explique Gérard Haddad, psychanalyste et auteur de nombreux ouvrages dont Antonietta. Lettres à ma disparue (Éditions du Rocher). Selon lui, cette expression permet « d’entrevoir le dépassement du moment pénible que l’on vit ». Par Olivia Elkaim source : lavie.fr