ne renonce jamais
Jest-nuts – Lewis Jesse Bridgman – 1903, l’hippopotame qui pouvait voler. (tout ce qui a des ailes doit voler)
autres illustrations sur Library of Congress
tag : tant qu’il y a de la vie il y a de l’espoir
ne renonce jamais
Jest-nuts – Lewis Jesse Bridgman – 1903, l’hippopotame qui pouvait voler. (tout ce qui a des ailes doit voler)
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tag : tant qu’il y a de la vie il y a de l’espoir
le soir il aimait faire un petit tour au dessus du lac
Sylvie Forêt, art, collage et peinture
tags: chauve-souris, vampire
lève-toi et vole – Jaén Javier Ruiz Perez
Javier Ruiz (Jaén, 1989) a commencé à étudier le design graphique à Jaén en 2007. En 2013, il a étudié les études supérieures en illustration à Madrid. En 2014, il suit un atelier de peinture et de théorie des couleurs à Los Angeles (USA).
Il arrive un moment dans la carrière d’un peintre réaliste où il décide de la forme que prendra son discours, ou plutôt de son équidistance avec la tradition sur laquelle il se fonde. Pour Javier Ruiz Perez, cette identité a emprunté différentes voies, comme l’art urbain ou la figuration au sens strict. Or, cette vision du monde nous vient avec des nuances, comme un subtil renoncement au détail au profit d’un coup de pinceau expressif engagé dans le quotidien.
Disons que l’approche de la réalité de Javier ressemble à l’idée du cercle herméneutique, d’appréhender la totalité à partir d’un détail que nous comprenons grâce à cette même totalité. Ce sont les petits traits et les attitudes quotidiennes de ses personnages qui marquent le dialogue avec un tout qui, à première vue, pourrait nous sembler étranger.
Les peintures de Javier regorgent de non-lieux, de champs nus, de plateaux où l’âme humaine est réduite à une expression minimale. Ainsi, ses protagonistes travaillent, jouent et existent sans répondre aux raisons qui les ont conduits dans de tels lieux. La décontextualisation est importante, puisqu’elle met en évidence les traits qui donnent du caractère à l’œuvre, qu’il s’agisse de l’élimination des codes vestimentaires ou de l’ajout d’objets et d’attitudes d’une nécessaire disparité.
La peinture de Javier Ruiz est un dialogue sur les relations humaines, de petites histoires personnelles qui dialoguent avec des macro-structures universelles. C’est dans ce passage entre le banal et le sublime que Javier arrête le temps et se met au travail. Dans ce monde en transition, il bénéficie d’un large regard sur les idées qui le précèdent et sur celles qu’il souhaite concrétiser. source : victorlope.com
vole dans le village désert – Zhang Linhai : Paradise Series No.36 (oil on canvas, 2005)
Zhang Linhai est diplômé du département de gravure de l’Académie des beaux-arts de Tianjin. Il a commencé par étudier la gravure sur bois puis s’est développé en tant que peintre. Représenter des enfants chauves errant dans un terrain vague et la campagne sont la caractéristique de ses œuvres. Le sujet découle de sa douleur et de sa tristesse personnelles d’enfant et reflète ses luttes d’enfance et ses rêves d’évasion et de libération.
Linhai esquisse rarement ses idées à l’avance et utilise principalement des huiles. Il travaillera directement sur la toile et laissera la composition se développer sous son pinceau. Il n’est pas facile de comprendre l’œuvre de Linhai, à cause de son interrogation sur la vie ; sa médiation sur le destin ; son expérience de la douleur et du bonheur de la vie, s’expriment toujours dans une confusion mystérieuse et une libération de soi. Linhai exprime son idée de manière très obscure et personnalisée, alors qu’en même temps il n’a pas autant de tact que certains artistes, qui peuvent répondre à n’importe quelle question en imposant plus de questions.
De plus, le «surréalisme» n’est pas approprié pour décrire l’art de Linhai car il est plutôt superficiel et inexact. Lin Hai est une personne de forte contradiction, il croit au destin mais il vénère aussi le destin en s’y opposant et même en le battant. Il est son propre Dieu, mais il n’allume jamais de bougies pour lui-même, au lieu de cela, il se permet seulement d’errer librement et mystérieusement dans « cet endroit ». source : lindagallery.art
Magritte : le fils de l’homme – Miguel Cabezas
Miguel Cabezas, photographe
Le Fils de l’homme est une photographie de René Magritte qui date de 1964. On y voit un homme assis devant un paysage marin, ayant un enfant à sa gauche, on ne voit pas ses bottes de cuir. L’homme en veste noire et au chapeau melon est l’un des personnages typiques de la peinture magritienne. Wikipédia
14 juillet : le traditionnel défilé aérien. (Person filming kept these birds perfectly framed as they flew in unison)
À l’occasion de la fête nationale, 44 avions Dassault Aviation doivent survoler les Champs-Élysées, jeudi 14 juillet à partir de 10h35, selon le programme suivant :
les grands numéros de trapèze volant – aigles – Mark Smith
les oiseaux ont un incroyable talent / Mark Smith photography
Le Pygargue à tête blanche est une espèce de rapaces qui vit en Amérique du Nord. Malgré son nom anglais de Bald Eagle ou sa dénomination populaire d’« aigle à tête blanche », il ne s’agit pas d’un aigle. Wikipédia
tag : voltige, acrobatie aérienne
l’amie Ricoré – Alex Prager, le matin
Alex Prager, née le 1ᵉʳ novembre 1979, est une photographe et réalisatrice américaine. Elle vit et travaille à Los Angeles. Ses photographies sont principalement des mises en scène méticuleuses d’acteurs ou de figurants, souvent décrites comme hyperréalistes. Wikipédia
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tag : tombée du ciel