
le monde des rêves – Laurent Bouchard
Laurent Bouchard, « imagier récoltant à dans la strite », photographe de rue
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Ma (brette) Zèle Tophe ! la rubrique photographie de Bretzelie. Photographes célèbres ou inconnus, Les photos qui me marquent au fil des jours
le monde des rêves – Laurent Bouchard
Laurent Bouchard, « imagier récoltant à dans la strite », photographe de rue
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jour de récital – Dance Recital in Brooklyn. Photo by Leroy Henderson, 1992
Ma carrière professionnelle de photographe s’étend sur plus de quarante ans. Pendant ce temps, j’ai eu des missions dans le photojournalisme, les événements d’entreprise, les relations publiques, l’aérien, le théâtre et la publicité. Mes photographies sont apparues dans des films, tels que Ken Burns’ Jazz, et des livres publiés par Beacon Press, NYU Press et Smiley Books/Hay House Publishers, entre autres.
J’ai effectué des missions indépendantes pour Wide World Photos (AP), Black Star Picture Agency, NY, et United States Information Agency (USIA).
Leroy Henderson
par les cuisses de Jésus – Blanco, Bodice of a man Ricky Cohete 2017-18
Ricky Cohete est né dans une ville côtière de l’Équateur, mais a principalement grandi à Miami. La lumière de la Floride l’a amené à explorer la photographie. Les lumières et les ombres dures étaient faciles à rencontrer par ce temps chaud. L’effet net et raffiné de ce type de conditions d’éclairage est devenu une nécessité pour éviter les réglages en studio. Autodidacte; tout en photographiant les danseurs de ballet dans la ville de Miami, il a commencé à consacrer plus de temps à la forme masculine. Travailler avec eux hors de leur espace sécurisé (studio de répétition) et les amener dehors, sur le sable ou sur l’eau, créant une dynamique qui n’a cessé de faire naître de nouvelles compositions. Inspiré par la mythologie de la culture du tarot et de l’astrologie, il a incorporé certains de ces éléments dans son œuvre.
Dernièrement, il a auto-publié un livre de photographie qui comprenait : de courts poèmes et des croquis intitulés « Blanco ». source : Ricky Cohete
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le hurlement des chèvres – Tomeu Coll
Tomeu Coll, Freelance Photographer. Actually shooting for Stern
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tags: diable, hurler à la mort
chat d’Ukraine – Pavel Volkov
Pavel Volkov a couvert les événements sur le Maidan, en Crimée et au sud-est de l’Ukraine, collabore avec les médias russes et internationaux. Son activité principale en tant que photographe, couvre un large éventail de questions sociales, principalement en Russie. Il s’intéresse aux projets à long terme consacrés aux problèmes et phénomènes de la société russe moderne.
on dirait l’été – William Eggleston, untitled 1983-1986, pigment print
William Eggleston est un photographe américain. Il a contribué à faire entrer la photographie en couleurs dans le monde de l’art. Wikipédia
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plissé soleil – Frank shoots, Death Valley National Park, premiers rayons sur les dunes.
Frank Shoots sur instagram
la nuit toutes les mains sont bleues – Kenro Izu – Blue #1114B, 2004
Kenro Izu est un photographe japonais installé aux États-Unis, lauréat de l’édition 2000 des prix de la Société de photographie du Japon dans la catégorie « avancement culturel ». Izu fréquente l’école d’art de l’université Nihon à Tokyo de 1969 à 1972. Wikipédia
nous irons nous baigner demain – Niki Boon, Her backyard, Summer, 2016
Né du désir de documenter la vie de mes enfants d’une manière qui leur soit fidèle, sauvage et courageuse, créative et libre, sale et frustrante. Des photos qui vivaient au delà des chérubins, et douceurs que j’ai vues dépeintes sur les réseaux sociaux.
C’est ce point de vue unique que j’apporte aux familles que j’ai eu l’honneur de photographier au cours des 10 dernières années.
Niki Boon
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vieillir chez soi – Jacob Holdt, American Pictures 1970 – 1975
Au début des années 1970, Jacob Holdt quitte son Danemark natal et arrive aux États-Unis avec 40 dollars en poche. Il avait l’intention de traverser le pays en route vers l’Amérique du Sud, mais il a été tellement choqué et fasciné par ce qu’il a vu ici qu’il a décidé de rester un moment. Lorsque sa famille était sceptique quant à la pauvreté qu’il décrivait dans des lettres à la maison, son père a envoyé un appareil photo amateur bon marché, demandant des preuves, et Holdt a commencé à créer ce portrait de l’Amérique et de sa sous-classe.
En fin de compte, il a passé cinq ans comme vagabond, vendant son sang deux fois par semaine et faisant de l’auto-stop sur plus de 100 000 miles. Il s’est lié d’amitié avec celui qui lui proposait de le conduire, et un trajet devenait souvent une offre de rester quelques jours. Il n’a jamais dit non et a finalement visité plus de 350 maisons, où il a photographié les gens avec qui il vivait : familles pauvres, millionnaires, junkies, membres du Ku Klux Klan. Ses images font écho au travail de la WPA, et ont entre autres inspiré Lars Van Trier. Plus récemment, Holdt, qui est né en 1947 à Copenhague, a travaillé dans des pays du tiers monde, documentant la vie de ceux qui vivent dans la pauvreté. source : studioxol.com
Jacob Holdt sur instagram
Comment « vieillir chez soi » ? Derrière cette simple question, d’autres se profilent : celle de l’environnement, logement et voisinage, plus ou moins adaptés et accueillants, et aussi, à cause des handicaps des vieux jours, celle de la fourniture de l’aide et des soins dans cet environnement. On doit donc inévitablement se demander aussi qui finance ces dépenses, et comment. Si le logement conditionne, au moins en partie, le besoin de soin, si la fourniture de soin et ses coûts dépendent de l’environnement, si les inégalités, de santé, de durée de vie et de logement se sont cumulées au cours de la vie, on devine que les interrelations sont multiples.
Dans beaucoup de pays, dont la France, l’assurance maladie n’inclut pas une assurance dépendance (qu’on peut préférer appeler assurance « handicap ») ; cette fameuse distinction entre le sanitaire et le médico-social est en perpétuelle discussion. Quoi qu’il en soit de la prégnance de la distinction, la question du coût du logement, la partie « hébergement » du vieillir sur place, in place, se pose universellement. source : cairn.info
tags : vieille femme au revolver, gérontologie, USA
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Inter Brette : Emilie Bailhache c’est souvent le cas chez les femmes qui ont un gros revolver