je suis une terreur
tags : ma vie de chien, le stade du miroir, You talkin’ to me ?
j’élève mon enfant, livre de Laurence Pernoud chez Albin Michel, propose des conseils pratiques pour suivre et aider son enfant à bien s’élever : psychologie, saut en hauteur, diététique, club d’athlétisme, alimentation, hygiène, santé, médecine, sciences humaines, éducation et droits de l’enfant. Google Books
tags : jeux olympiques, JO, premières victoires, podium, ne jamais renoncer, persévérance
les jours de blues
avoir le blues : Être mélancolique, éprouver une espèce de vague à l’âme, une légère tristesse un peu floue. wiktionary.org
sommes-nous heureux Edward ?
Shirley, un voyage dans la peinture d’Edward Hopper réalisé par Gustav Deutsch, présenté dans différents festivals en 2013 et sorti en salles en France en 2014
Shirley est une actrice américaine, en couple avec un journaliste, Steve. De 1931 à 1963, elle visite Paris, traverse la crise des années 30, accepte des emplois alimentaires, joue pour Elia Kazan, subit le maccarthysme, voit son couple s’étioler, soutient la lutte pour les droits civiques, tout en exprimant ses sentiments et ses réflexions à propos de l’art, du cinéma, de la liberté, de l’engagement…
Le film est composé de treize scènes tournées presque en plans fixes et presque entièrement en plans-séquences. Chaque scène reprend un tableau du peintre américain Edward Hopper, décor, cadrage, couleurs et lumières compris. source : Wikipedia
j’avais toujours eu tendance à sous-estimer la puissance du désir – Mordillo
Guillermo Mordillo Menéndez, dit Mordillo, est un dessinateur de bande dessinée argentin né le 4 août 1932 à Villa Pueyrredón et mort le 29 juin 2019 à Palma Nova. Wikipédia
Comment reconnaître une relation fusionnelle ? Constantin Brancusi, The Kiss, 1912
BRANCUSI ET LA MODERNITÉ : UNE POSITION PARADOXALE
Après avoir découvert les thèmes majeurs de son œuvre entre 1909 et 1925 (Le Baiser, L’Oiseau, La Colonne sans fin, Les Coqs…), Brancusi ne fera que les reprendre inlassablement, souvent avec d’infimes variations.
Au sein de la modernité en train de se constituer, les mouvements d’avant-garde ont peu d’influence sur son travail. Il est davantage intéressé par les bois sculptés de Gauguin, qu’il voit dans la rétrospective consacrée à l’artiste en 1906 au Salon d’automne à Paris.
En réalité, il ne rencontre pas vraiment de modèle dans la sculpture occidentale et, comme le font nombre d’artistes de son époque, il s’intéresse à d’autres civilisations, celles de l’Asie et de l’Afrique, présentes dans les collections du Musée Guimet, du Musée du Louvre ou du Musée d’ethnographie du Trocadéro. Les références à un art archaïque lui permettent d’extraire son œuvre des contingences des styles propres à son époque, et d’inscrire ses sculptures dans une dimension plus universelle.
SÉRIALITÉ ET PERCEPTION DE L’ESPACE
Dans le même temps, lorsque Brancusi affirme : « Ce n’est pas la forme extérieure qui est réelle, mais l’essence des choses. Partant de cette vérité, il est impossible à quiconque d’exprimer quelque chose de réel en imitant la surface des choses », il est profondément ancré dans une pensée qui structure tout l’art du vingtième siècle, depuis Kandinsky, Mondrian ou Malevitch, jusqu’à Yves Klein, Richard Serra ou les artistes minimalistes américains des années soixante.
L’artiste minimaliste américain, Carl Andre, dans sa sculpture intitulée 144 Tin Square, composée de 144 carrés d’étain de même dimension disposés au sol pour former un carré, dira n’avoir fait que mettre à plat La Colonne sans fin de Brancusi.
La sérialité potentiellement infinie des Colonnes et l’importance que Brancusi accorde à la perception de l’espace dans lequel ses œuvres s’inscrivent définiront une grande partie de la sculpture contemporaine à partir des années cinquante.
Au début du siècle, Brancusi partage l’intérêt de ses contemporains pour la Théosophie. Cette doctrine, selon laquelle l’homme est tombé de l’ordre divin dans l’ordre naturel et tend à remonter vers son état premier, est très répandue dans les milieux artistiques. Cette pensée influence des artistes comme Kandinsky, Kupka ou Piet Mondrian.
LA PURETÉ D’UNE HÉLICE
Brancusi est aussi l’ami intime de Marcel Duchamp, d’Erik Satie, de Fernand Léger, de Man Ray ou de Tristan Tzara. En 1912, il visite avec Duchamp et Léger le Salon de la Locomotion Aérienne à Paris. Devant une imposante hélice d’avion, Duchamp leur demande si un artiste aujourd’hui est capable de faire une œuvre aussi belle et pure que cette hélice. A cette époque, Brancusi a commencé le cycle des Oiseaux, thème qu’il développera jusqu’à obtenir un pur élan ascensionnel. Cette anecdote montre aussi comment sa sculpture, qui fait référence à des sources anciennes et intemporelles, peut entrer en correspondance avec la modernité. La beauté des objets produits par l’industrie passionne cette génération d’artistes du début du 20e siècle.
Autre correspondance avec la modernité : en 1926, lors de son premier voyage à New York, Brancusi souhaite ériger une Colonne sans fin monumentale au cœur même de Central Park. En 1956 c’est une Colonne haute de 400 mètres qu’il souhaitera réaliser à Chicago. source : centrepompidou.fr
l’éducation à la propreté – aspirateur robot
Pour apprendre à être propre, un tout-petit doit être prêt physiologiquement et psychologiquement. Cela se produit en général entre 2 et 4 ans. Il ne faut pas forcer un enfant à devenir propre, mais plutôt suivre son rythme et lui faire confiance. source : naitreetgrandir.com