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la douceur de l’après-midi

la douceur de l'après-midi
la douceur de l’après-midi

la douceur de l’après-midi – Karin Miller : Angie en jaune

« Karin Miller est une artiste sud-africaine, qui se concentre sur le collage numérique et les nouveaux médias. Pour générer des images d’une qualité exceptionnelle, Karin Miller combine les compétences artistiques traditionnelles et la photographie avec la technologie moderne. créant une fusion entre passé et présent, personnel et public, karin miller a développé un style unique qui dégage un riche éclectisme, un enjouement, un humour décalé et l’élément post-moderne du néo-baroque. chaque facette de l’image est soigneusement choisie et placée pour former des combinaisons et des compositions inattendues. parfois, elle explique : « Je passe des journées à chercher un visage obsédant sur une vieille photo, ou un beau motif sur une gravure ancienne ». sa tactique est de transformer le quotidien en quelque chose de captivant. avec une attention méticuleuse aux détails, elle peut transmettre une flamboyance théâtrale, des éclaboussures de parodie ou à peu près n’importe quelle humeur ou cadre. néanmoins, son travail suggère souvent subtilement une ambiance sud-africaine unique ». source : manzart.com

tag : douanier Rousseau

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nos amis les brette

les grandes amitiés

les grandes amitiés - Ami Vitale
les grandes amitiés – Ami Vitale

les grandes amitiés – Ami Vitale : Gardiens des girafes https://www.amivitale.com/

Trop souvent, dit Ami Vitale, la photographie de nature exclut les humains dont la vie est intimement liée au monde naturel. Son projet d’une décennie, documentant les liens entre le peuple Samburu et la faune dans le nord du Kenya, inverse cette omission, racontant comment les gens de Samburu sont devenus des défenseurs des animaux sauvages et de leur habitat.

Pendant aussi longtemps que les Samburu ont brouté du bétail, leurs moyens de subsistance étaient apparemment en contradiction avec les éléphants, les rhinocéros, les girafes et les autres grands mammifères avec lesquels ils partagent leur patrie. Mais comme les braconniers ont décimé les populations d’éléphants (Mammalia proboscidea) au cours des dernières décennies, les éleveurs de Samburu ont réalisé que leur bétail souffrait également. Les éléphants favorisent la croissance de l’herbe en débroussaillant les broussailles et les petits arbres, de sorte que leur nombre diminue, il y a moins d’herbe pour les vaches. En réponse, le Samburu a lancé un sanctuaire pour réhabiliter les éléphants orphelins, ainsi que d’autres programmes de conservation qui profitent aux espèces menacées comme la girafe réticulée (Giraffa camelopardalis reticulata), illustrée ici.

Ces efforts changent les attitudes de longue date de Samburu envers la faune sauvage et montrent comment la santé des communautés humaines et animales est liée. «Les communautés autochtones détiennent la clé pour sauver les grands animaux d’Afrique», explique Vitale. «Là où ces communautés sont intactes, le braconnage a considérablement diminué.» source : dixielandtarragona.com

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comprendre les expressions françaises exercice illégal de la médecine

le berceau de l’humanité

le berceau de l'humanité - Fashizblack Magazine
le berceau de l’humanité – Fashizblack Magazine

le berceau de l’humanité – Fashizblack Magazine

Si l’homme moderne est bien africain, comme le confirme l’analyse ADN, la découverte en 2017 au Maroc des plus vieux ossements attribués à Homo sapiens vient réfuter l’idée d’une origine unique est-africain. Par ailleurs, la sortie d’Afrique d’Homo sapiens serait plus ancienne de 100 000 ans qu’on ne le pensait : début 2018, une équipe israélienne faisait remonter sa sortie d’Afrique à 180 000 ans, date à laquelle on attribuait il y a deux ans encore l’apparition de l’espèce. source : Ca m’intéresse

tags : vergetures, origine du monde, nervures, peinture sur soi, blacklivesmatter

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l'aura des pâquerettes

ne t’en fais pas le printemps reviendra

ne t'en fais pas le printemps reviendra, Noma Osula
ne t’en fais pas le printemps reviendra, Noma Osula

ne t’en fais pas le printemps reviendra

« Avec un intérêt pour la couleur, les motifs et la texture, les portraits photographiques de Noma Osula sont inspirés par l’énergie et le dynamisme de Lagos. Ses images sont pleines de teintes audacieuses et saturées, des sols à carreaux aux tenues, bijoux et accessoires traditionnels de ses modèles. Noma s’intéresse à la mode des sujets et à la conception des intérieurs qu’ils habitent, devenant des indices visuels d’un récit plus large.

Les photographies de Noma n’ont pas de portée documentaire. Il collabore avec ses sujets, créant des personnages fictifs qui créent de l’anticipation et du suspense. Les modèles de Noma sont souvent anonymes, évitant le regard de la caméra. Ils véhiculent un humour noir et un ton subversif, qui conserve une aura de mystère et de malaise.

Les personnages imaginaires de Noma remettent en question les idées conventionnelles de beauté, de sexualité et de genre au Nigeria, défiant les normes sociales et culturelles. Son travail cherche à renverser les stéréotypes sur la façon dont l’Afrique est représentée en Occident. Noma explique : « Je veux projeter une sorte de beauté entièrement africaine et montrer notre culture pour ce qu’elle est : moderne et audacieuse et audacieuse pour défier la norme. »

Né en 1992 et élevé à Lagos, au Nigeria, Noma a commencé à travailler avec la photographie au cours de sa dernière année d’université et a depuis développé une pratique à plein temps. »

source : Artoja.org