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l'aura des pâquerettes

Notre-Dame des Fleurs

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Notre-Dame des Fleurs – Jean Genet / Silvio Severino : I Kissed a Boy and I Liked It 

« J’ai embrassé un garçon et j’ai aimé ça ! » est un projet en cours de l’artiste multimédia basé à Cork Silvio Severino qui explore la masculinité via le collage d’images trouvées dans les médias analogiques et numériques. Le spectre de l’iconographie masculine est examiné, des stéréotypes machistes à l’expression homoérotique. – réfractée à travers une gamme de visions réalistes, surréalistes et abstraites.

Silvio est particulièrement intéressé à explorer comment la masculinité est représentée dans les médias contemporains. À l’aide d’images extraites de la presse écrite, y compris des sources allant des livres aux magazines masculins, Silvio déconstruit et réassemble les représentations du corps masculin. Détacher les gestes visuels des images originales fournit une plate-forme pour interroger les intentions à la fois du créateur original de l’image et des spectateurs visés. La critique sociale répandue actuelle de la masculinité – dans ses formes toxiques et destructrices – fournit un milieu riche pour les réflexions intenses de Silvio sur ces sujets via un regard queer, en tant qu’homme gay né et élevé dans la société brésilienne conservatrice et hyper-macho.

La culture pop est une référence fréquente et un point de départ tout au long du travail de Silvio. source : Behance

tag : collage

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avoir le bourdon

avoir le bourdon
avoir le bourdon

avoir le bourdon – Jordanna Kalman

« Pour Jordanna Kalman , une photographie

est plus que son contenu, elle est à la fois sujet et objet : « Elle appartient à quelqu’un ; ça se tient, ça a du poids, de la valeur. La série du photographe new-yorkais « Little Romances » explore cette idée en créant des photographies multicouches de photographies.

« Little Romances » était motivée par son intérêt pour la nature physique de la photographie et le détournement et l’utilisation de son travail sans autorisation en ligne. Une grande partie du travail de Kalman est centrée sur son identité de mère, de fille, d’épouse et d’amante, ainsi que sur les attentes et la réalité de sa capacité à remplir ces rôles. Bien qu’infiniment personnelle, son œuvre est profonde car elle reflète une expérience plus large de la féminité. C’est précisément en raison de son caractère universel que son travail est approprié par d’autres. « En partageant mon travail en ligne, il est parfois traité avec« En partageant mon travailen ligne, parfoisil est traité avecrespect, mais plussouvent pas »respect, mais le plus souvent pas », explique Kalman. « Ne pas être sollicité pour son utilisation et/ou ne pas être crédité – c’est bouleversant d’être traité de cette façon, surtout avec des images aussi personnelles. »

Dans ‘Little Romances’,

elle contrecarre cela en photographiant des tirages de ses propres photographies. Ce faisant, elle crée un objet physique – « mon objet » – qui ne peut pas être compris par les autres de la manière dont il est compris par elle. « Je les entoure d’éléments de mon jardin ou d’autres objets personnels non pas pour évoquer la nostalgie ou la sentimentalité, mais pour approfondir ma connexion/revendication physique à ces images et les éloigner du spectateur », explique-t-elle. Ce faisant, la photographie devient « obscurcie, réutilisée, détournée, de sorte que son intention initiale reste à l’abri du visionnement et en même temps elle explore un nouveau récit » ». texte : ignant.com

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belle journée à tous

belle journée à tous
belle journée à tous

belle journée à tous – collage : Laetitia Hainaut : ça va aller

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art liquide

la douceur de l’après-midi

la douceur de l'après-midi
la douceur de l’après-midi

la douceur de l’après-midi – Karin Miller : Angie en jaune

« Karin Miller est une artiste sud-africaine, qui se concentre sur le collage numérique et les nouveaux médias. Pour générer des images d’une qualité exceptionnelle, Karin Miller combine les compétences artistiques traditionnelles et la photographie avec la technologie moderne. créant une fusion entre passé et présent, personnel et public, karin miller a développé un style unique qui dégage un riche éclectisme, un enjouement, un humour décalé et l’élément post-moderne du néo-baroque. chaque facette de l’image est soigneusement choisie et placée pour former des combinaisons et des compositions inattendues. parfois, elle explique : « Je passe des journées à chercher un visage obsédant sur une vieille photo, ou un beau motif sur une gravure ancienne ». sa tactique est de transformer le quotidien en quelque chose de captivant. avec une attention méticuleuse aux détails, elle peut transmettre une flamboyance théâtrale, des éclaboussures de parodie ou à peu près n’importe quelle humeur ou cadre. néanmoins, son travail suggère souvent subtilement une ambiance sud-africaine unique ». source : manzart.com

tag : douanier Rousseau

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de l'autre côté du mouroir

l’oeil gauche de James Laughlin

l'oeil gauche de James Laughlin
l’oeil gauche de James Laughlin

l’oeil gauche de James Laughlin – Unknown, Cover for Henry Miller’s The Cosmological Eye. New Directions, 1939. The eye in the cloud is James Laughlin’s left eye. Clifton Waller Barrett Library of American Literature. Image by Caroline Newcomb

Il y a (presque) une légende de Henry Miller comme il y en a une d’Ernest Hemingway ou de Francis Scott Fitzgerald… la république des lettres

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le défi de la neige vierge

le défi de la neige vierge - Flore Kunst, virgin mountains
le défi de la neige vierge – Flore Kunst, virgin mountains

le défi de la neige vierge – Flore Kunst, virgin mountains

La voie normale désigne en alpinisme l’itinéraire le plus facile pour atteindre un sommet. La voie normale est souvent l’itinéraire historique ayant permis la première ascension. Si l’itinéraire actuel le plus facile est différent de l’ancien, il est parfois désigné par « voie normale moderne ».

Quand la voie est très fréquemment empruntée par un grand nombre d’alpinistes, en raison de sa facilité ou de l’intérêt de son ascension, elle est considérée comme étant une « voie classique »

Sur certains sommets, il peut exister plusieurs voies normales. Par exemple, sur le mont Blanc, on parle de voie normale pour l’itinéraire empruntant l’arête des Bosses depuis le dôme du Goûter, mais il existe aussi la voie normale italienne, dite voie des Papes ou route des Aiguilles grises qui constitue l’itinéraire le plus facile depuis l’Italie. source : Wikipedia

collages et photomontages : Flore Kunst

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tags : par la face sud, escalade, pureté

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art liquide

vivement demain

vivement demain - Carmen Mavrea (Artnif)
vivement demain – Carmen Mavrea (Artnif)

vivement demain – le vol des enfants

Carmen Mavrea (Artnif)

Bucharest/Fine Art Institute ”N.Grigorescu,” Romania, an audiovisual artist, photographer and director. The first leaders of the postavangarde group Cerculdisparut / Vanishedcircle with Ivan Andreevici : Artnif

tag : collage, surréalisme

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ne joue pas au bord de la fadaise !

dans deux jours c’est la fête de l’amour

dans deux jours c'est la fête de l'amour - Siana Park : saint-valentin pour tous
dans deux jours c’est la fête de l’amour – Siana Park : saint-valentin pour tous

dans deux jours c’est la fête de l’amour

Siana Park : saint-valentin pour tous, l’exhibitionnisme des sentiments

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jamais Lacan on a besoin de toi

parlez-moi de ce goût pour le sucre

parlez-moi de ce goût pour le sucre - Rémy Poncet - Freud au caramel
parlez-moi de ce goût pour le sucre – Rémy Poncet – Freud au caramel

parlez-moi de ce goût pour le sucre

Le terme « addiction » mérite d’être introduit par une référence à son étymologie, plus par méthode que par souci d’inférer de son évolution sémantique le processus psychopathologique. Si, en latin, « ad dicere » signifiait « être dit à » (pour un esclave donné à un Maître en contrepartie d’une dette qu’il n’avait pu payer), si « l’addiction » désignait l’opération juridictionnelle de « contrainte par corps » d’un homme libre du fait de sa dette, que d’images pour une interprétation psychopathologique de la dépendance à un produit ou à une situation que le logos actuel a nommée « Addiction » ! Pour le discours psychanalytique, plusieurs expressions retiennent l’attention : la voie passive « être donné », l’esclavage, qui de Sénèque à Hegel, puis à Lacan, a marqué l’asymétrie des rapports humains, la dette avec ce qu’elle recèle ici de réel, le corps devenu autre, aliéné à l’autre, servant de substitution à une dette non soldée. Le rapprochement des termes, de leurs champs sémantiques, pour rhétorique qu’il paraisse, est pourtant évocateur d’une figuration des composantes psychopathologiques majeures de l’Addiction (Pedinielli & Rouan, 2000), phénomène clinique aux multiples visages, et, surtout, aux multiples discours. Que, dans le réel, le corps en vienne à être dédié à une dette impayée, à un manque, et s’en retrouve asservi, n’est peut-être pas seulement une image suscitée par la proximité sémantique.

Apport de la psychanalyse à la question de l’Addiction Jean-Louis PedinielliAgnès Bonnet source : cairn.info

Rémy Poncet

Réalisé par l’une des moitiés de l’atelier de création graphique français Brest Brest Brest, Rémy Poncet imagine « History and chips », une série de collages en noir et blanc accompagné d’un élément alimentaire coloré.

Un jour, presque par hasard, l’un des deux acolytes, Rémy Poncet colle un chewing-gum sur une vieille photo du film Un Américain à Paris. C’est le début de « History and chips », une série personnelle de long terme qui a débuté en mars dernier et qui vient de se terminer. Oeuf, moutarde, jambon, chewing-gum, spaghettis, sauce, dentifrice… Chaque mois, l’artiste réalisait une seule et unique nouvelle image. Le résultat est superbe, retrouvez l’origine de la série ici et on vous conseille de faire un tour sur le portfolio de Brest Brest Brest

texte : thebergerie.net

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