Catégories
nos amis les brette

dimanche matin – 7H

dimanche matin - 7H
dimanche matin – 7H

dimanche matin – 7H

tags : les forces du mal, rideaux vénitiens, belle journée

Catégories
ensemble, tout devient pénible saoul-titre à 12° (vf)

Là tout n’est qu’ordre et beauté Luxe calme et gros maillet

Là tout n’est qu’ordre et beauté Luxe calme et gros maillet
Là tout n’est qu’ordre et beauté Luxe calme et gros maillet

Là tout n’est qu’ordre et beauté Luxe calme et gros maillet

American Gothic (1930), Grant Wood / Kathy Bates, James Caan, Misery, 1990 / Charles Baudelaire, l’invitation au voyage (1857)

Catégories
Non classé

les beaux dimanches de Béla Lugosi

les beaux dimanches de Béla Lugosi
les beaux dimanches de Béla Lugosi

les beaux dimanches de Béla Lugosi – Adele Veness, Noufaux

Catégories
art liquide exercice illégal de la profession de dentiste psychologie (en partenariat avec spychologie magasine)

les gens sont heureux le dimanche

les gens sont heureux le dimanche
les gens sont heureux le dimanche

les gens sont heureux le dimanche – John Currin : Park City Grill, 2000, Walker Art Center

Ses tableaux, pas bien grands, atteignent des records aux enchères même s’ils affichent un style totalement en dehors des canons modernes, préférant user du kitsch, du nu provocant, du sexe bizarre et de sfumatos chers aux peintres classiques. C’est donc un néo-art décalé, un peu olé-olé : des scènes saphiques limite porno, des portraits de femmes à l’ambiance trouble et vaguement expressionniste. Une curiosité friponne et un art assez singulier.

sortir.telerama.fr

autres publications taguées John Currin

Catégories
comprendre les expressions françaises nos amis les brette psychologie (en partenariat avec spychologie magasine)

maman disait toujours : trop bon – trop con

maman disait toujours : trop bon – trop con

maman disait toujours : trop bon – trop con

Forrest Gump est une comédie dramatique américaine de Robert Zemeckis, sorti en 1994. C’est l’adaptation du roman du même nom de l’écrivain Winston Groom. Wikipedia

« Maman disait toujours… La vie, c’est comme une boîte de chocolats, si tu es trop bon, tu es dans les premiers à te faire bouffer. »

tag : agneau, je suis quelqu’un de gentil, handicap

Catégories
les belles histoires de tonton yves

dimanche d’été – Paris – 1920

dimanche d’été – Paris – 1920

dimanche d’été – Paris – 1920

Catégories
Brette Ciel Liquide Ma (brette) Zèle Tophe !

tiens on est dimanche

tiens on est dimanche
tiens on est dimanche

tiens on est dimanche – Naples by Luca Anzalone

tag : Jésus est mort sur la croix

Catégories
il faut vivre pour manger Ma (brette) Zèle Tophe !

Tartines !

Tartines !
Tartines !

Tartines ! Children in blitzed north of England eating meal from bread and Lease Lend cheese, ca. 1940 – by Hans Wild (1912 – 1969), English

tag : donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien

Catégories
Agence France-Brette

chacun doit-il réduire sa consommation d’électricité ?

chacun doit-il réduire sa consommation d'électricité ?
chacun doit-il réduire sa consommation d’électricité ?

chacun doit-il réduire sa consommation d’électricité ?

Madonna with neon halo in Naples, Italy. / vierge Marie au néon

Le gouvernement a demandé, mercredi 20 juillet, aux Français de multiplier les « petits gestes quotidiens », mais sans restriction, afin de réaliser des économies d’énergie en cas de rupture d’approvisionnement en gaz à l’automne. « Nous demandons un effort aux citoyens, aux Françaises et aux Français », a affirmé le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran, à l’issue du conseil des ministres, estimant qu’il « n’y a pas de petit geste » en matière d’économie d’énergie.

« Ces gestes du quotidien ont un très fort impact sur notre consommation énergétique » source : lepoint.fr

Catégories
art liquide J'ai jamais eu les pieds sur Terre J'aimerais mieux être un oiseau

lève-toi et vole

lève-toi et vole
lève-toi et vole

lève-toi et vole – Jaén Javier Ruiz Perez

Javier Ruiz (Jaén, 1989) a commencé à étudier le design graphique à Jaén en 2007. En 2013, il a étudié les études supérieures en illustration à Madrid. En 2014, il suit un atelier de peinture et de théorie des couleurs à Los Angeles (USA).

Il arrive un moment dans la carrière d’un peintre réaliste où il décide de la forme que prendra son discours, ou plutôt de son équidistance avec la tradition sur laquelle il se fonde. Pour Javier Ruiz Perez, cette identité a emprunté différentes voies, comme l’art urbain ou la figuration au sens strict. Or, cette vision du monde nous vient avec des nuances, comme un subtil renoncement au détail au profit d’un coup de pinceau expressif engagé dans le quotidien.

Disons que l’approche de la réalité de Javier ressemble à l’idée du cercle herméneutique, d’appréhender la totalité à partir d’un détail que nous comprenons grâce à cette même totalité. Ce sont les petits traits et les attitudes quotidiennes de ses personnages qui marquent le dialogue avec un tout qui, à première vue, pourrait nous sembler étranger.

Les peintures de Javier regorgent de non-lieux, de champs nus, de plateaux où l’âme humaine est réduite à une expression minimale. Ainsi, ses protagonistes travaillent, jouent et existent sans répondre aux raisons qui les ont conduits dans de tels lieux. La décontextualisation est importante, puisqu’elle met en évidence les traits qui donnent du caractère à l’œuvre, qu’il s’agisse de l’élimination des codes vestimentaires ou de l’ajout d’objets et d’attitudes d’une nécessaire disparité.

La peinture de Javier Ruiz est un dialogue sur les relations humaines, de petites histoires personnelles qui dialoguent avec des macro-structures universelles. C’est dans ce passage entre le banal et le sublime que Javier arrête le temps et se met au travail. Dans ce monde en transition, il bénéficie d’un large regard sur les idées qui le précèdent et sur celles qu’il souhaite concrétiser. source : victorlope.com