Les Internationaux de France, ou tournoi de Roland-Garros, ou plus simplement Roland-Garros par métonymie, est un tournoi de tennis sur terre battue créé en 1925 et qui se tient annuellement depuis 1928 à Paris, dans le stade Roland-Garros. Il succède au Championnat de France créé en 1891. Wikipédia
c’est parti – Josef Koudelka, Guadix, Grenade, Andalousie, Espagne, 1971
Josef Koudelka, né le 10 janvier 1938 à Boskovice en Moravie, est un photographe français d’origine tchèque. Il vit et travaille à Paris et à Prague. Wikipédia
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la bave des fauves atteint la blanche colombe – Jean-Charles Debroize, court-métrange festival
La limace léopard et l’amour
L’accouplement de la limace léopard est plutôt… spécial. Peut-être même faudrait-il dire « acrobatique ». Par une douce nuit d’été, deux limaces se rencontrent. Comme il sied à une limace, les deux individus ont chacun les deux sexes: à la fois mâles et femelles (hermaphrodites).
Dans un premier temps, ils se hument le mucus et le goûtent pour absorber les phéromones. Ce mucus les informe sur la fertilité de leur partenaire. Pendant les préliminaires, les limaces partent à la recherche d’un mur ou d’une branche en surplomb. Lâ, ils s’entrelacent. Le hug se fait de plus en plus gluant, jusqu’à ce que le couple descende le long d’ un fil visqueux résistant d’environ 40 cm de long.
Une fois pendus nus et vulnérables dans les airs, ils passent à l’acte. Leurs pénis émergent d’une zone derrière leur tête: ils forment une « fleur » bleu-blanc de 5 cm de long. Tout comme les escargots, leurs organes génitaux s’enroulent l’une autour de l’autre, comme une sorte de double vis. De cette façon, les limaces échangent des spermatophores entre eux: de petits paquets remplis de sperme.
Ils peuvent parfois garder cette position pendant des heures ! Lorsque les deux partenaires sont satisfaits, chaque limace poursuit son chemin. Une limace léopard remonte et mange une partie du filin de mucus en cours de route, l’autre tombe au sol. Le développement des œufs peut maintenant commencer. source : notrenature.be
Paris est renversant – Christophe Cassegrain, le Pont des Arts, Paris, 2020
Intéressé par les formes, les volumes et la matière qui constituent un paysage, je photographie à la chambre 4×5 inches la nature telle qu’elle se présente : une vision du paysage dégagée de tout environnement humain, social ou culturel en se basant essentiellement sur le choix du sujet qui exprime la pureté des lignes, le rendu de la matière et de la lumière tout en essayant de nourrir le spectateur d’une émotion aussi intense que celle éprouvée lors de la prise de vue.
Depuis plusieurs années, une grande partie de mon travail photographique est réalisé sur le continent Nord Américain où je m’inspire de cette phrase de Wim Wenders « …cette façon de disparaître tout à fait dans ce que l’on voit, de ne plus éprouver le besoin d’interpréter, mais de strictement regarder. »
dehors il y a la mer – Cristina Coral : inside / outside
Eduquée en Italie où elle vit.
Cristina est une photographe primée spécialisée dans la photographie créative et artistique. Elle a vécu son enfance dans un milieu artistique. Elle aime explorer la relation complexe entre le sujet et l’environnement. source : Cristina Coral
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