Le tigre du platane (Corythucha ciliata), appelé aussi « punaise réticulée du platane » ou encore « platanier », est une espèce d’insectes hémiptères du sous-ordre des hétéroptères, de la famille des Tingidae, originaire du continent américain.
Cet insecte, à l’aspect d’une punaise, est un ravageur des platanes de l’Ancien et du Nouveau Monde. Il se nourrit en piquant la face inférieure des feuilles qui se décolorent et finissent par tomber. (Wikipedia)
un oeuf à cheval – Hannes Wallrafen : De Schimmel, 1992
Un œuf à cheval est une photographie constitué d’un cheval cru passant au dessus d’un oeuf au plat, lui-même également cuit. Ce plat est souvent accompagné de pommes de terre, en particulier des frites, ou de riz et de lentilles dans certaines occasions (Wikipedia)
L’exposition Memories of a Blind Photographer (Souvenirs d’un photographe aveugle) est une rétrospective d’Hannes Wallrafen, le fameux artiste germano-néerlandais qui a perdu la vue au sommet de sa carrière, il y a de cela dix ans. Wallrafen est célèbre pour ses mises en scène photographiques au travers desquelles il cherche à traduire le temps en images construites. Son travail peut être regardé comme une interprétation personnelle de l’histoire locale : le storytelling dans toute son essence. source : loeildelaphotographie.com
Le photographe et artiste japonais Haruhiko Kawaguchi enveloppe les couples, les familles, les structures et les véhicules dans des sacs en plastique scellés pour représenter la connexion et l’unité.
« Je veux exprimer l’amour à travers mon travail, car tout dans le monde est basé sur l’amour. »
« Les gens qui s’aiment sont instinctivement attirés l’un vers l’autre et ils espèrent le devenir. Pour représenter ce pouvoir de l’amour, j’ai photographié des couples scellés sous vide – un projet que j’ai appelé « Flesh Love Returns ».
Pour cela, j’ai photographié les couples à leurs endroits les plus importants. Ils ont décidé de l’emplacement et j’ai décidé du meilleur angle là-bas. Certains couples ont choisi leur propre chambre, certains choisissent le lieu de travail où ils se sont rencontrés pour la première fois et certains ont choisi un restaurant où ils ont eu leur tout premier rendez-vous. source : theinspirationgrid.com
il y a quelque chose de pourri au royaume de Russie
il y a quelque chose de pourri au royaume de Russie – Shinya Masuda : Hanafuda Shouzoku
Shinya Masuda est né en 1965 à Nagoya, au Japon. Il vit actuellement à Tokyo. Un chef français devenu photographe. Après avoir été diplômé de l’école d’art et de design de Nagano, avec une spécialisation en design de communication visuelle, il a travaillé comme photographe commercial au département de photographie de la société de production de design. Il a ensuite rencontré M. HASHI, le photographe Action Still Life à New York, et a étudié avec lui pendant un an et demi au HASHI STUDIO TOKYO. Il travaille maintenant comme artiste. En 2013, après avoir remporté un prix lors d’un concours d’art à Londres, il a commencé à travailler à l’international. En 2018, il participe pour la première fois au World Photo Festival en Italie et à la Biennale de la photographie contemporaine à Paris. En 2019, avec le soutien du Center for Fine Art Photography, sa première exposition personnelle aux États-Unis ouvrira en octobre. Par la suite, il poursuivra ses activités avec le Athens Photo Festival (Musée Benaki. Athènes Grèce) en 2019 et PHOTO IS:RAEL en 2020.
la fin des guerres – Rose English : Pegasus, 1975, photo Michael Bennett.
Rose English a émergé de l’art conceptuel, de la danse et des scènes féministes de la Grande-Bretagne des années 1970 pour devenir l’une des artistes de performance les plus influentes qui travaillent aujourd’hui. Son travail interdisciplinaire unique combine des éléments de théâtre, de cirque, d’opéra et de poésie pour explorer les thèmes de la politique de genre, l’identité de l’interprète et la métaphysique de la présence.
Rose English a monté des spectacles dans des patinoires ; au Royal Court Theatre et à la Tate Britain, Londres et Franklin Furnace, New York ; et collaboré avec des chevaux, des magiciens et des acrobates. Son travail va de ses performances et collaborations spécifiques au site des années 1970, notamment Quadrille, Berlin et Montage, ses performances solo acclamées des années 1980, notamment Plato’s Chair et The Beloved, à ses spectacles à grande échelle des années 1990, notamment Walks on Water, The Double Wedding. et Tantamount Esperance. source : roseenglishperformance.net
Norview High School Junior Cheerleaders practice in front of their school even though it was closed in an attempt to block integration, LIFE Magazine, Norfolk, Virginia, October of 1958
Kazuma Ogaeri est un photographe Moso. Il capte l’illusion
Dans son travail il y a quelque chose de la beauté et de l’humanité des écrits d’Akira Yoshimura, de l’esthétique raffinée et figée du Shokuzai de Kiyoshi Kurusawa ou du Labyrinthe des Rêves de Sogo Ishii, quelque chose du Mirages d’été de Kazu Yusuki et de la tension sexuelle, de l’empathie pour les corps violés et soumis de certains films de Koji Wakamatsu, quelque chose enfin du fétishisme et de l’obsession pour les femmes de Nobuyoshi Araki.
Et puis la nature, omniprésente, sensuelle et apaisante.
Une esthétique figée chargée de tension sexuelle et de fétichisme. Une illusion érotique en 4 chapitres : 少女 la fille, 自然 la nature, 鉄道 le train, 女性 la femme. » source : ascenseurvegetal.com
J’veux du cuir, pas du Confo, pas du But – Alain souchon / Francis Giacobetti : Jane Birkin
Francis Giacobetti, né le 1ᵉʳ juillet 1939 à Marseille, est un photographe et réalisateur de cinéma français. (Wikipedia)
Arrêtez tout, dans les magazines Nouvel Homme, Tweed et fiches cuisines Amenez les jarretelles, les bas résilles Les sexy dentelles, les talons aiguilles
Mais si j’dis ça, je casse mon image (hou) Ce serait dommage (ha) (ce serait dommage) Mais si j’dis ça, je casse mon image (hou) Ce serait dommage d’être au chômage à mon âge (ha)
J’veux du cuir, pas du peep show, du vécu (hou) J’veux des gros seins, des gros culs, ah, ah (hou) J’veux du cuir Sade et Shade et Suzy Q (Sade et Shade et Suzy Q)
Arrachez toutes, vos pull-overs Amenez le stout, l’éther Les lames de rasoir, les tubes de colle Nus sous l’manteau à la sortie des écoles
Au clair de la Lune Mon ami Pierrot Prête-moi ta plume Pour écrire un mot
– Quels sont les photographes qui vous ont influencé ? VP : Je me sens plus proche des chefs opérateurs – et de l’univers du cinéma en général – que des photographes. J’ai beaucoup regardé les images de Time & Life et j’aime vraiment des photographes comme Richard Avedon, Bruce Davidson, ou Elmut Newton. Mais le travail de quelqu’un comme Greg Toland (directeur de la photo entre 1926 et 1948, notamment sur Citizen Kane), ou de Gordon Willis, dans les années 70, chef opérateur sur Le Parrain par exemple, ou Manhattan, de Woody Allen, me parle davantage – Manhattan étant, à mes yeux, l’un des plus beaux films en noir et blanc du cinéma.
– Vous n’êtes pas passé par une école de photo ? VP : Non. À 17 ans, je me suis fait virer du lycée, en Allemagne. Ma mère est donc allée m’inscrire à l’école de Beaux-Arts où elle-même avait fait ses études. Par le circuit scolaire normal il fallait 50 points pour être admis. Hors scolarité, il fallait passer « le test du talent » fixé à 100 points. J’ai passé le test. J’ai obtenu 99 points. Ma mère a insisté pour que je sois admis quand même, mais le message qu’on voulait me faire passer était : « c’est bien, mais tu es encore un peu trop jeune pour entrer dans cette école. Il faudra revenir dans quelques années, quand tu auras mûri ». Alors en attendant, j’ai décidé de faire un stage comme assistant de photographe. Le soir de la première journée de stage – je me souviens très bien, on était arrêtés à un feu rouge – j’ai dit : « Je veux être photographe ». Je revois tout. Le feu rouge, la voiture, le photographe… Depuis, rien n’a vraiment changé. Je ne savais pas trop quoi faire de ma vie, et tout à coup, c’était évident. Je suis devenu photographe. Je me suis acheté un appareil photo, un Mamiya RZ, et c’est toujours le même que j’utilise aujourd’hui, je shoote toujours en films. Et puis finalement, à l’époque, le photographe m’a viré parce que je n’y connaissais vraiment rien et que ce n’est pas un métier si facile, mais il me restait encore pas mal de temps avant de pouvoir intégrer l’école des Beaux-Arts. Ma mère m’a donné 1000 Deutsche Marks pour aller à New-York et essayer de devenir assistant photographe là-bas. source : processusphoto.com