Anton Tchekov les trois soeurs – Anna Grazhdankina
Un rêve habite cependant les trois sœurs : retourner à Moscou, la ville de leur enfance heureuse. Pas de héros, peu d’action ; cette pièce va à l’encontre du schéma classique en mettant en scène des personnages extrêmement humains qui voient leur vie peu à peu s’étioler, avec le désespoir de n’avoir rien construit, rien entrepris. (Wikipedia)
Anna Grazhdankina, photographe d’enfants de Russie avec une vision particulière du monde. Elle tourne dans des villages et des petites villes russes, véhiculant ainsi l’atmosphère de villes russes individuelles où les bâtiments soviétiques ont été préservés. Toujours à la recherche de capturer des moments lumineux et uniques de son enfance avec une recherche de composition et de couleur uniques. Anna Grazhdankina est née en 1984 ; elle vit actuellement en Sibérie,Novosibirsk.. source : Behance
autres publications bretzel liquide taguées Anna Grazhdankina Анна Гражданкина
shooting photo – mon book de hamster – Buitengebieden : Have you ever seen a wild hamster doing a photoshoot ? IG julianradwildlife & amp a_nimsaj
Animaux congelés, empaillés ou appâtés… l’envers du décor de certaines photos animalières.
La photographie animalière s’avère extrêmement précieuse pour sensibiliser à l’évolution et à la beauté de notre faune. Mais avec l’essor des réseaux sociaux, certains « photographes » dénués de scrupules sont prêts à tout pour capter LA photo. 30millionsdamis.fr s’est intéressé à ces pratiques, heureusement condamnées par la profession.
« Découvrez les étonnantes images de la rencontre entre une grenouille et un escargot », « une grenouille à cheval sur un scarabée », « un tamanoir s’intéresse de près à des lueurs scintillantes »… Vous avez probablement déjà lu certains de ces articles publiés par des médias – parfois réputés – et dont les photos ont été partagées à foison sur les réseaux sociaux. Malheureusement, ces photographes auto-proclamés « défenseurs des animaux », ont usé des pires techniques en quête du cliché parfait. source : 30millionsdamis.fr
l’été viendra les gars l’été viendra – František Dostál
František Dostál est né à Prague en 1938. Il est diplômé de l’École d’industrie mécanique de Prague où il prend pour la première fois contact avec la photographie. Même si un grand nombre de ses photographies a été publié et exposé, il n’est jamais devenu photographe professionnel et a continué à travailler comme constructeur de machines-outils pour la société Škoda jusqu’à sa retraite.
Plusieurs milliers de ses clichés, réalisés en tant que photographe amateur, ont paru dans la presse périodique et dans divers autres publications. Il a publié ou participé à la publication de plus d’une vingtaine d’ouvrages. Plusieurs dizaines d’expositions personnelles lui ont été consacrées, aussi bien dans son pays qu’à l’étranger. Il a participé à plus de 1.500 compétitions photographiques dans le monde entier et a obtenu de nombreux prix. Ses œuvres se trouvent dans les collections des musées tchèques (tel que le Musée national de la photographie) ainsi que dans des collections publiques à l’étranger.
Le Peuple estival
Le cycle photographique Letní lidé (Le Peuple estival) est né sur les bords de la rivière Sázava, un des rares endroits où le photographe s’est senti libre même avant la chute du régime communiste en 1989. Les clichés, pris entre 1968 et 1990, célèbrent la convivialité et le bien-être de l’été tchèque, toujours avec humour et bienveillance. source : paris.czechcentres.cz
Dimanche soir, nous connaîtrons le visage du (de la) nouveau(elle) président(e) de la République.
Comme pour le premier tour, le Code électoral prévoit près de quarante huit heures d’arrêt de la campagne présidentielle avant le résultat du second tour du scrutin. Durant cette période, les déclarations de candidats, la distribution de tracts ou encore la publication de sondages sont strictement prohibés. (le parisien)
Le sens, comme l’a montré la philosophie grecque, est donc ce qui me fait « vivre » ou « survivre » comme être humain « existant », mais qui peut aussi me faire « mourir », car il est ce « au nom de quoi » je m’engage, parfois jusqu’à prendre le risque de la mort…
Un détour par l’étymologie nous permettra de développer les champs sémantiques de ce terme et de montrer son immense richesse. Ainsi la racine indo-européenne sta, « se tenir debout », définit quatre champs :
1. L’idée de se tenir debout ; le grec stasis, a le sens de « se lever » mais aussi de « se soulever contre » ; stauros désigne un pieu et histos un mât, il indique « la stabilité », la force de la « fixité » de ce qui s’établit. Le latin reprend cette racine dans le mot statuere, qui se décline dans stabulum, « l’étable », superstare, « se tenir au-dessus », constare, « être ferme », « constant », ou encore dans prostituere, « exposer ». « Substance » en philosophie est ce qui se tient sous, supportant le sujet ou son essence, et qui peut demeurer caché. Ainsi, la résistance est ce qui me ferait tenir debout comme existant, comme un mât dressé ou comme un pieu.
Dresser, c’est aussi « se placer devant », « arrêter », « faire obstacle » (ce qui se tient debout pour faire barrage). L’obstétrique est l’art de la sage-femme qui se tient debout devant l’accouchée pour l’accueil du bébé. Justitia, la justice, ce qui tient par le droit, a fonction de se dresser parfois, de faire obstacle au pulsionnel qui habite chaque être humain.
« Se tenir debout », c’est aussi ne pas tomber sous les charmes de la séduction, résister aux avances de prétendants…
2. L’idée d’une « chaîne qui tient ensemble », stemon en grec, est la chaîne du tisserand ; fils de chaîne verticaux des tapisseries de haute lice ou horizontaux des tapisseries de basse lice, ils tiennent tout le tissu. Circumstantia est un assemblage de situations et d’éléments entre lesquels on peut établir du lien et des corrélations ; le contraire est la distantia, c’est-à-dire la distance, la séparation, ce qui ne tient pas.
3. L’idée de ce qui ne se détruit pas ; le fil de résistance électrique, non seulement ne se détruit pas, mais il produit de la chaleur ou de la lumière. La « résilience », en physique, caractérise la « résistance » des matériaux au choc ; en psychologie, elle est le ressort moral qui permet de rebondir dans les situations difficiles. Boris Cyrulnik en fait la capacité des humains, et des enfants en particulier, à surmonter des traumatismes graves. La « résistance » est donc la force que l’on oppose à des forces de destruction (cf. Bichat, La définition de la vie), la « résistance » fait tenir le coup, supporter la souffrance. Elle est d’ailleurs parfois confrontée au temps : autant que la violence d’un choc, la durée est redoutable ; l’amour par exemple peut-il « résister » au quotidien et aux habitudes de la vie ?
4. L’idée de « restaurer », de « se restaurer », de retrouver quelque chose qui a été perdu ou oublié, déformé. Le « restaurant » est l’endroit où l’on reprend des forces perdues dans le travail ou dans la vie. Restaurer, c’est rétablir la vigueur, la santé, par les aliments ou les remèdes appropriés, et « instaurer » a un sens assez proche puisqu’il s’agit de l’idée de « s’appuyer sur », « d’établir » ou encore de fonder.
Les champs de la « résistance » sont donc nombreux. source : Exister et résister, Jean-Bernard Paturet Dans Empan2005/1 (no57), pages 12 à 15 cairn.info