Pascal Maitre, Campement de pêcheurs nomades Vezo, Madagascar (1995)
Pascal Maitre est né à Buzançais en 1955 en France. `
Après des études de psychologie, il débute sa carrière de photojournaliste au sein du groupe de presse Jeune Afrique.
En 1984, il rejoint l’équipe de Gamma. En 1989, il cofonde l’agence Odyssey Images. De 1995 à 2018, il a été représenté par Cosmos.
Il est actuellement représenté par Myop pour la France et Panos pour l’International.
Il a collaboré avec de nombreux magazines internationaux prestigieux : Figaro Magazine, Geo, L’Express, Paris Match en France, Geo, Stern, Brigitt en Allemagne, National Geographic aux USA…
En 2000, il publie « My Africa », un livre qui compile 15 ans de son travail sur ce continent, avec Aperture aux USA et Geo en Allemagne. En septembre 2001, la version française sort aux éditions Vents de Sable et un livre sur « Madagascar, un monde unique » à la suite de ses nombreux voyages dans l’île. source : pascal-maitre.com
Tatsuki est né dans une famille qui exploite un ancien studio de portrait bien établi. Il a déménagé pour fréquenter le Tokyo junior College of Photography (précurseur de l’institut polytechnique de Tokyo, Tokyo Kogei Daigaku). Pendant son séjour au collège, il a exposé des photographies de sa famille au Fuji Photo Salon, qui venait d’ouvrir au tome. Après avoir obtenu son diplôme, il a commencé à travailler comme photographe au Ad Center, où Seiichi Horiuchi a travaillé comme directeur artistique. Le nom de Tatsuki est entré sous les feux de la rampe alors qu’il n’avait que 26 ans avec la publication de Un ange déchu , un étonnant reportage de 56 pages sur ses photographies prises pour Camera Mainichi .. Depuis ses débuts en tant que photographe indépendant en 1969, il a travaillé en première ligne dans les secteurs de la publicité, des magazines, de l’édition et du cinéma. Il a publié un nombre particulièrement important d’ouvrages traitant de sujets féminins. source : shashasha.co
déconstruire – Jean-Paul Goude : Grace Jones, 1978
Sans alimenter les discours antiféministes qui voient une crise de la masculinité provoquée par des femmes conquérantes et castratrices, on peut toutefois prendre au sérieux les difficultés et les souffrances des hommes dans un monde où le travail, central dans la construction de l’identité masculine, change, se précarise et n’est plus tant vécu comme une valeur mais comme une faveur. C’est ce que propose ici Pascale Molinier dans une analyse de l’expérience subjective du travail où se transforment les modalités viriles de la coopération et de la solidarité professionnelles.
Il est dans l’air du temps de dire que les hommes vont mal. Il est de bon ton de s’en inquiéter. Le thème de la crise de la masculinité fait vendre et fabriquer l’audience. La débâcle du masculin est-elle un phénomène réel, ou s’agit-il d’une pure construction idéologique ? Déconstruire la crise de la masculinité
Quelles belles vacances nous avions passé – Coneheads, 1993, Steve Barron
« Envoyés de la planète Remulak, Beldar et Prymatt survolent le Machu Pichu quand une fausse manoeuvre les envoie se crasher à New York, au milieu de l’East River. Missionnés pour envahir la Terre, ils se retrouvent contraints à mener l’existence d’un couple de banlieusards américains pour se faire oublier et échapper ainsi aux agents du gouvernement qui sont à leur recherche » Google
faut-il lutter contre la podophilie ? Horst P Horst : Barefoot Beauty, 1941
Sigmund Freud y voyait un symbole phallique (le fétiche, agissant comme un simulacre, faisant écran à une crainte de castration), mais le neuro-scientifique Vilanayar Ramachandran, qui dirige le centre du cerveau à l’Université de California, située à San Diego, a trouvé d’autres explications. En explorant les réactions du cerveau chez des personnes amputées, le docteur Ramachandran semble avoir résolu le mystère de la podophilie. Après avoir publié une étude sur les dysfonctionnements du cerveau conduisant au syndrome du membre fantôme (les amputés sentent leur membre manquant comme s’ils étaient encore attachés à leurs corps), un homme qui avait perdu sa jambe, lui a raconté avec beaucoup d’embarras, qu’il ressentait du plaisir sexuel là où son pied n’était plus: « à chaque fois que j’ai des rapports sexuels, depuis 2 mois que j’ai perdu ma jambe, j’ai des sensations dans mon pied fantôme, je sens mon orgasme dans le pied. Mes orgasmes sont bien plus grands qu’avant, parce qu’ils ne se limitent plus à mes parties génitales ».
Cela a été une révélation pour Ramachandran. Les parties du cerveau qui ont à voir avec le sexe sont, comme celles qui ont à voir avec les pieds, dans le cortex sensoriel. Pour lui, cela fait tout à fait sens qu’il y ait un chevauchement entre les deux et qu’ainsi le pied puisse également être une zone érogène. Ainsi existe également la probabilité que toutes les personnes dites « normales » aiment que l’on s’occupe de leurs pieds pour les mêmes raisons.
Le fétichisme des pieds remonte à loin: les premières traces dans l’histoire remontent à 1000 ans avant Jésus-Christ, on le trouve en Egypte comme chez les Arabes et les Romains (ces derniers interdisaient aux prostituées de porter des chaussures). Et au dire de certains historiens, la pratique grandit à chaque fois que surviennent des épidémies de maladies sexuellement transmissibles: aux XIIe, XVIe et XIXe siècle, avec la gonorrhée et la syphilis, et à nouveau au début des années 80, avec le sida.
Pour le chercheur James Giannini de l’université d’État de l’Ohio (USA), l’émancipation féminine aurait également eu un impact sur les désirs de pieds, reflets d’une posture où la femme est dominante. Sigmund Freud avait déjà suggéré, en son temps, l’existence d’un lien entre l’intérêt sexuel pour les pieds et la soumission. Rien ne semble le contredire aujourd’hui, car sur Internet, les sites spécialisés font corréler l’érotisme du pied, et l’érotisme de la femme dominante avec un homme soumis. source : huffingtonpost.fr
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