
Jean Batman Castex – a voté – Troy (2004) dir. Wolfgang Petersen / Jean Castex

interlude en attendant la suite des évènements : musique
Jean Batman Castex – a voté – Troy (2004) dir. Wolfgang Petersen / Jean Castex
interlude en attendant la suite des évènements : musique
le matin je vais voter en chantant
Le matin, je m’éveille en chantant
Guy Béart
Et le soir, je me couche en dansant
Entre temps, je fais la sieste
Voilà tout ce qui me reste
Ou je me fais du café
On ne se soigne jamais assez
Les Gashadokuro (がしゃどくろ/ 餓者髑髏, littéralement « squelette affamé », également connu sous le nom d’ Odokuro ) sont des créatures mythiques de la mythologie japonaise.
Les Gashadokuro sont des esprits qui prennent la forme de squelettes géants et sont quinze fois plus grands qu’une personne moyenne, censés être créés à partir des fantômes des personnes qui sont mortes au combat et n’ont pas été enterrées. Le désir de vengeance des peuples pousse les Gashadokuro à errer après minuit, attrapant des voyageurs solitaires et leur mordant la tête pour boire leur sang pulvérisé. Il existe un moyen de connaître leur approche, car la victime entendrait le son d’un fort bourdonnement dans l’oreille causé par le claquement de ses dents. On dit que le Gashadokuro possède les pouvoirs d’invisibilité et d’indestructibilité puisqu’il est composé des os de personnes déjà décédées, bien que les charmes shinto soient censés les éloigner. Sinon, un Gashadokuro continuera à chasser sa proie jusqu’à ce que sa colère refoulée soit libérée, provoquant le froissement des os et l’effondrement du Gashadokuro. (Wikipedia)
la possibilité d’une clef – Samuel Bak : Possibly (Key to the Childhood City), oil on canvas, 2002
Samuel Bak est un peintre américain d’origine lituanienne. Survivant de la Shoah, son œuvre représente, par des symboles, métaphores et allégories, un monde perdu et une quête de reconstruction. (Wikipedia)
tag : surréalisme
comment nager la brasse ?
Une fois en position de glissée, pattes tendues vers l’avant, paumes jointes, on commence avec un mouvement de bras. Il se décompose en 4 étapes : appui, traction, compression, glissée.
On se positionne, c’est l’appui. Ou position de glissée.
La deuxième étape, la traction, consiste à ramener les pattes vers l’arrière. Les doigts sont presque joints, les paumes des mains tournées vers l’extérieur et les pouces orientés vers le fond du bassin. Quand on ramène les bras vers l’arrière, les coudes ne doivent pas dépasser les épaules. La tête sort naturellement de l’eau.
Pour la troisième étape du mouvement, la compression, ou poussée, on ramène les mains vers la poitrine. Et on les tend vers l’avant, paumes jointes, pour revenir à la position d’appui. La tête entre sous l’eau au moment de la poussée.
Enfin, une fois les pattes revenus dans la position d’appuis, on se laisse glisser dans l’eau.
Pour la brasse, il faut surtout retenir que c’est le mouvement des ailes, ou ciseau de brasse, qui importe le plus. Bien réalisé, il permet une bonne propulsion. À savoir : c’est l’un des plus techniques et des plus difficiles en natation. Contrairement aux idées reçues.
Pour le maîtriser, on retient qu’il s’effectue en 3 temps : plier, écarter, serrer.
Dans un premier temps, on plie les ailes, en ramenant les talons sur les fesses.
Ensuite, on écarte, pieds orientés vers l’extérieur, jambes toujours fléchies.
Enfin, on se propulse, en resserrant les ailes pour les tendre vers l’arrière. Les ailes reprennent la position de départ. Vous devez sentir une petite ondulation naturelle au niveau du bassin. Attention, les mouvements d’ailes doivent toujours être bien symétriques.
Pour être efficaces, les poussées des pattes et des ailes doivent être bien coordonnées. Retenez qu’on plie les ailes une fois la traction avec les pattes terminée. source : nabaiji.fr
tag : décomposition du mouvement parfait
je suis un homme de convictions – demain j’irai voter
personne ne pourra m’empêcher de clamer haut et fort ce en quoi je crois, les valeurs cardinales de la civilisation gravées dans ma chair et pour lesquelles je suis prêt à mourir.
tag : tatouage, j’aime le raisin de table, bloc identitaire
je connais même des gens qui ne votent pas comme moi
La bulle informationnelle désigne l’enfermement intellectuel de l’individu qui, lorsqu’il surfe sur Internet, se voit proposer automatiquement des contenus conformes à ses préférences. source : philonomist.com
Odile V. : Adorable…les animaux .aiment sans concession ..aucune
Inter Brette : Odile V., on me dit ailleurs qu’il s’agirait d’un grattoir en plastique pour chats
la jeunesse de France se prépare pour aller voter
Y a-t-il un vote générationnel ? Alors que les retraités ont voté massivement Emmanuel Macron, une majorité des jeunes a voté Jean-Luc Mélenchon. Que vont-ils faire au second tour ? Huit jeunes témoignent auprès de « La Vie ».
tags : coiffure rock, banane, jeunes, élections présidentielles
non les deux candidats ne sont pas équivalents – Willem Dafoe s’engage dans la campagne présidentielle française
Le Capybara ou cabiaï, Hydrochoerus hydrochaeris, est le plus gros rongeur actuel. On peut se le représenter comme une « marmotte géante » ou un « hamster géant » de la taille d’un cochon. Son aire de distribution s’étend sur presque l’ensemble de l’Amérique du Sud. source : natura-sciences.com
tag : l’heure du choix