elle a l’air froide – non ?
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avoir le bourdon – Jordanna Kalman
est plus que son contenu, elle est à la fois sujet et objet : « Elle appartient à quelqu’un ; ça se tient, ça a du poids, de la valeur. La série du photographe new-yorkais « Little Romances » explore cette idée en créant des photographies multicouches de photographies.
« Little Romances » était motivée par son intérêt pour la nature physique de la photographie et le détournement et l’utilisation de son travail sans autorisation en ligne. Une grande partie du travail de Kalman est centrée sur son identité de mère, de fille, d’épouse et d’amante, ainsi que sur les attentes et la réalité de sa capacité à remplir ces rôles. Bien qu’infiniment personnelle, son œuvre est profonde car elle reflète une expérience plus large de la féminité. C’est précisément en raison de son caractère universel que son travail est approprié par d’autres. « En partageant mon travail en ligne, il est parfois traité avec« En partageant mon travailen ligne, parfoisil est traité avecrespect, mais plussouvent pas »respect, mais le plus souvent pas », explique Kalman. « Ne pas être sollicité pour son utilisation et/ou ne pas être crédité – c’est bouleversant d’être traité de cette façon, surtout avec des images aussi personnelles. »
elle contrecarre cela en photographiant des tirages de ses propres photographies. Ce faisant, elle crée un objet physique – « mon objet » – qui ne peut pas être compris par les autres de la manière dont il est compris par elle. « Je les entoure d’éléments de mon jardin ou d’autres objets personnels non pas pour évoquer la nostalgie ou la sentimentalité, mais pour approfondir ma connexion/revendication physique à ces images et les éloigner du spectateur », explique-t-elle. Ce faisant, la photographie devient « obscurcie, réutilisée, détournée, de sorte que son intention initiale reste à l’abri du visionnement et en même temps elle explore un nouveau récit » ». texte : ignant.com
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Ukraine : le défi lancé par le pape François à Poutine. Le Saint-Père propose au chef du Kremlin de régler le conflit entre hommes, à mains nues, lors d’un combat d’arts martiaux mixtes (MMA) en mondovision

Comment la pilule a changé la vie des femmes – Patrick Dalaine
à la fin des années 1990, pour 6 femmes sur 10, c’est l’invention de la pilule qui avait le plus contribué à changer leur vie au cours des dix précédentes années, loin devant l’égalité professionnelle. Aujourd’hui, elles sont plus de 100 millions dans le monde – et 5,6 millions dans le seul Hexagone – à prendre la pilule, chaque jour, pour éviter des grossesses non désirées. Mais pour devenir le premier moyen de contraception au monde, bien des obstacles tant scientifiques que moraux ont dû être surmontés.
un trio composé de deux femmes, Margaret Sanger et Katherine McCormick, et d’un homme, Gregory Pincus. Margaret Sanger, infirmière new-yorkaise, assiste en 1912 à la mort d’une jeune mère de trois enfants qui avait tenté d’avorter seule. Cet événement achève de forger chez Margaret Sanger, issue d’une famille de onze enfants, la conviction que les femmes ne pourraient véritablement s’épanouir qu’une fois libérées de la crainte de grossesses non désirées. Elle se battra donc pendant quarante ans pour le contrôle des naissances et créera en 1923 à New York un Bureau d’information sur la contraception, qui fut le premier centre de planning familial. Katherine McCormick, elle, est issue d’une famille aisée d’avocats. Deuxième femme à obtenir un diplôme en sciences du MIT, c’est dans le cadre de ses activités militantes en faveur du droit de vote féminin qu’elle va rencontrer Margaret Sanger, elle aussi » suffragette « . A la mort de sa mère puis de son mari, Catherine McCormick hérite d’une fortune considérable qu’elle va en partie consacrer à la mise au point d’un contraceptif oral bon marché. source : lesechos.fr
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j’avais pris l’habitude d’envoyer des nudes sur internet
Que ce soit en personne ou par écran interposé, voir votre corps nu, c’est toujours voir votre corps nu. Par conséquent, vous ne devriez JAMAIS surprendre une personne avec une photo de nu tant que vous n’avez pas une relation de longue durée dans laquelle vous vous montrez fréquemment vos corps nus. Ok ? Evidemment, vous devriez seulement envoyer des nudes à quelqu’un qui en a demandé mais vous devriez aussi concevoir ce selfie de fesses de la même façon que la nudité de la vraie vie.
Donc, il faut commencer par échanger des sextos avant d’arriver à la partie visuelle. source : gqmagazine.fr
Sometimes I feel like a motherless child / Bambi
A long way is from home
A long way is from home
Do believe us, A long ways from home
A long ways from home
Louis Armstrong (youtube)

Lana del Rey : son combat contre la hausse du prix de l’essence
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