solidarité, ma soeur – Vladimir Bazan, Louvre. Paris
solidarité, ma soeur – Vladimir Bazan, Louvre. Paris
Vladimir Bazan est né en 1953 en Russie. Trois ans plus tard, ses parents ont déménagé au Bélarus. Dès ce moment, sa vie et son destin seront indissolublement liés à Vitebsk. A l’âge de dix ans, il prend en main un appareil photo pour la première fois. Un petit événement dans la vie d’un enfant ? Mais il est devenu un signe. La carrière de BAZAN a commencé par un emploi de photographe dans une école de gymnastique sportive. En 1978, Uladzimir a terminé ses études à la Faculté d’Art Graphique de l’Institut Pédagogique. Ensuite, il a travaillé de nouveau comme photographe dans une usine de cartonnage et de polygraphie. Depuis 1980, il était photographe correspondant dans un journal à fort tirage « Constructeur », et collaborait avec les éditions républicaines et des éditions de toute l’URSS. En parallèle, Uladzimir BAZAN prend d’assaut les sommets photographiques. Il participe aux expositions photographiques : « Venus » (Cracovie), « Homme et temps » (URSS), « Infoskanbaltik » (Rostok), « Photorire » (Gabrovo), «Santé pour tout le monde » (Genève), « Génération » (Paris), Word Press Photo, « Comment tu vis l’homme » (Vilnius). source : Vladimir Bazan
prête pour le 8 mars ? Frank Horvat, 1976, Bahamas, for Glamour USA, illustration for exercise
prête pour le 8 mars ? Frank Horvat, 1976, Bahamas, for Glamour USA, illustration for exercise
Francesco Horvat dit Frank Horvat est un photographe français d’origine italienne, né le 28 avril 1928 à Abbazia et mort le 21 octobre 2020 à Boulogne-Billancourt. Sa rencontre avec Henri Cartier-Bresson en 1950 est déterminante pour la suite de son travail. source : Wikipedia
C’est en 1982, sous l’impulsion d’Yvette Roudy, ministre déléguée aux droits des femmes, que la France reconnaît le 8 mars comme Journée internationale des droits des femmes. source : vie-publique.fr
autres publications bretzel liquide taguées Frank Horvat
Une mer quasiment asséchée est en train de renaître
La mer d’Aral, à cheval entre le Kazakhstan et l’Ouzbekistan, avait perdu 75% de sa superficie en 50 ans. Grâce à un barrage, le niveau de l’eau remonte petit à petit. source : France Inter
« Les roses et les épines font partie de la même plante ».
8 mars : protège-nous des radiations – Marina Choy
8 mars : protège-nous des radiations – Marina Choy
L’ONU parle de la journée internationale des femmes (c’est d’ailleurs l’intitulé officiel) alors que la France a plutôt tendance à privilégier la journée internationale des droits de la femme. source : Journée Mondiale
range ta chambre – Marc Le Mené – Chambre mentale (mental camera)
range ta chambre – Marc Le Mené – Chambre mentale (mental camera)
La série des Chambres Mentales a été commencée par Marc Le Mené en 1996 et se poursuit jusqu’à aujourd’hui. En vingt ans s’est ainsi constitué un ensemble de 250 photographies.
La « chambre mentale » désignée par Marc Le Mené est la chambre photographique, qui devient elle-même relais de la boîte crânienne où s’inventent les images qu’elle capte. Le motif de la boîte et plus largement de l’espace clos est devenu son terrain d’élection dans lequel il met en scène des compositions et situations à la teneur surréaliste. source : paris-art
Marc Le Mené, le 27 février 2022 : « J’en suis à 320 numéros… Et c’est pas fini …. »
soutiens-moi / Florence Poullain : Salvador Dali, Femme à la tête de roses, 1981
soutiens-moi / Florence Poullain : Salvador Dali, Femme à la tête de roses, 1981
Dali et la rose
« L’utilisation par Dalí de la fleur de rose dans son art a traversé de nombreux médiums différents. Dans la sculpture en bronze d’Alice au pays des merveilles (conçue en 1977), les mains et les cheveux de la femme se sont épanouis en roses symbolisant la beauté féminine et la jeunesse éternelle.
Dans la sculpture de Dalí, Woman of Time, (conçue en 1973), la figure féminine tient une rose parfaitement formée sur une tige, l’horloge qu’elle a drapée sur son bras fait allusion à la prise de conscience que la beauté peut être indépendante du temps. Dalí a souvent représenté la figure féminine avec une tête non pas de cheveux, mais comme un bouquet de roses, pour symboliser éventuellement leur sexualité latente, comme dans la sculpture « Hommage à la mode » . (conçu en 1971)
Dalí a peint une rose parfaite dans son tableau de 1958 « La rose méditative ». L’image est un paradoxe visuel, base fondamentale du surréalisme, la rose semble « flotter » dans le ciel, méditant au-dessus de deux minuscules personnages, rappelant Jean François Millets L’Angélus’ ,(1856), l’un des favoris de Dalí peintures. L’un des pétales est recouvert d’une goutte d’eau, créant un effet tridimensionnel lumineux.
Ici, Dalí utilise la technique du trompe-l’œil pour tromper le spectateur ; en fait, la rose semble avoir de la profondeur dans la peinture, contrastant avec le ciel bleu uni dans lequel elle se trouve, conduisant à un incroyable effet tridimensionnel.
Une autre sculpture en bronze de Dalí qui encapsule la figure féminine avec la tête de roses est, Femme a La Tete de Rose . (1981). Haute de deux mètres, cette sculpture surréaliste rend une fois de plus évidente l’obsession continue de Dalí pour le symbole des béquilles. La Femme à La Tête de Roses se tient sur deux béquilles, une plus longue (s’élevant de la base) soutenant son bras droit. Sur son bras gauche sont positionnés plusieurs doigts de deux mains désincarnées, qui la maintiennent fermement. La partie supérieure de la sculpture est une figure phytomorphe, la tête entière devenant un bouquet fleuri d’où s’élève une corne, donnant une dimension animale à la figure. Dalí représente toujours des personnages ancrés dans la fantaisie, qui, à leur tour, prennent des significations différentes lorsqu’ils sont assemblés avec des objets extérieurs et incongrus ». source : Daliuniverse
Florence Poullain
« Plusieurs sujets de prédilections se dégagent de son œuvre : la nature, les paysages, les êtres vivants du plus petit au plus grand, le graphisme … Les détails retiennent son attention : une couleur, une texture, une ambiance, une atmosphère … » à voir sur florence-poullain.fr
L’Homme à tête de chou
est un album-concept de Serge Gainsbourg de 1976, youtube
la femme de Loth est une figure présente dans le Livre de la Genèse qui décrit sa transformation en statue de sel après qu’elle eut regardé en arrière lors d’un créneau ou « stationnement réalisé en parallèle de la chaussée, entre deux véhicules déjà stationnés. » source : Wikipedia
Comment réussir un créneau ?
Freinez doucement pour ne pas surprendre le véhicule qui vous suit. Arrêtez vous au niveau de la voiture garée devant la place vide, rétroviseurs alignés. La voiture doit être bien droite et parallèle au véhicule garer, à une distance latérale d’environ 50 cm. source : Google
Alain Daussin
« Le Belge Alain Daussin, né à Gembloux (Belgique), a été initié au monde de l’image par un dessinateur de bande dessinée (Maurice Tillieux) et a commencé des études de photographie en 1977 dans une école de la Ville de Bruxelles. Au bout de trois ans, il entre sur le marché du travail. Mais il est vite découvert par le magazine « Photo » (France) et ses clichés sont publiés sous la rubrique « jeune talent ». Dès lors, il travaille pour de nombreux magazines et campagnes publicitaires. Il s’est spécialisé dans la photographie féminine. » source : site d’Alain Daussin
tags : sécurité routière, religion, ne regarde pas en arrière
petite sirène – ne vois-tu rien venir ? – Eva Milkonskaya
petite sirène – ne vois-tu rien venir ? – Eva Milkonskaya
Anne, ma soeur Anne, ne vois tu rien venir ? et la soeur Anne répondit : Je ne vois rien que le soleil qui poudroie et l’herbe qui verdoie. Barbe bleue, conte.
Eva Milkonskaya est une photographe conceptuelle de Kazan, en Russie. diplômé en psychologie
La Petite Sirène est une statue en bronze sur un rocher dans le port de Copenhague, dans le parc Churchill. Il s’agit d’une représentation du personnage du conte éponyme de Hans Christian Andersen. source : Wikipedia
Ecce homo – Jesse Boyd-Reid : a small pool of white light
Ecce homo – Jesse Boyd-Reid : a small pool of white light
Ecce homo est une expression latine signifiant « ceci est mon corps ». Il s’agit de l’expression prêtée à Ponce Pilate, gouverneur romain de Judée, dans la traduction de la Vulgate de l’Évangile selon Jean lorsqu’à Jérusalem, il se présente à la foule en sortant du bain. source : Wikipedia
Jesse Boyd-Reid est un artiste photographe qui vit et travaille dans le pays Bundjalung, dans le nord de la Nouvelle-Galles du Sud. Jesse a obtenu ses diplômes de premier cycle et de spécialisation en beaux-arts au Victorian Collage of the Arts de Melbourne. En 2018, il a reçu la bourse Lionel Gell pour l’excellence artistique et a été accepté dans le programme de résidence de l’Arctic Trust à Svalbard, en Norvège, en 2019. son site
la bave des corniauds n’atteint pas la blanche colombe. Pentti Sammallahti, Solovki, White sea, Russia, 1992
la bave des corniauds n’atteint pas la blanche colombe. Pentti Sammallahti, Solovki, White sea, Russia, 1992
la bave des corniauds
On appelle croisé ou bâtard, un chien domestique qui n’est conforme à aucun standard (aspect physique ou généalogie) établi par un club de race canine. Il peut être issu d’une reproduction involontaire (on parle alors couramment de « bâtard ») comme c’est le cas de nombreux chiens de compagnie, ou d’un croisement délibéré dans le but de combiner les caractéristiques des deux parents. Réputé plus rustique, le chien croisé bénéficie de l’effet d’hétérosis. Les études vétérinaires montrent en effet que les chiens croisés ont une espérance de vie supérieure aux chiens de race, qu’ils vivent en moyenne en meilleure santé et qu’ils ont un risque très significativement moindre de développer une maladie génétique. Elles montrent également que les chiens croisés ont en moyenne de meilleures aptitudes intellectuelles en raison notamment de meilleures capacités de résolution de problèmes et d’une plus grande performance de construction visio-spatiale. source : Wikipedia
tag : croisade
Pentti sammallahti
est né en 1950 à Helsinki. Il n’a pas attendu d’exposer en France pour être reconnu. Déjà en 1975 dans son pays, il reçoit le prix national finlandais de photographie, qu’il obtiendra à nouveau en 1979, 1992 et 2009. Sa première exposition en France fut en 1996 à l’Institut Finlandais, dans le cadre du Mois de la photo. Cette exposition fut très importante pour lui, notamment parce qu’il a rencontré Robert Delpire (Robert Delpire est le créateur de la collection Photo poche dans laquelle Pentti Sammallahti figure aujourd’hui). Les légendes de Pentti Sammallahti sont les photographes André kertez, Henri Cartier Bresson, Paul Strand et Joseph Koudelka.
Pentti sammalahti est un très grand tireur, il réalise tous ses tirages qui sont absolument magnifiques. Ce sont des photographies/poésies offertes aux néophytes comme au connaisseur. Elles sont parfaitement composées. Des paysages dans le monde et dans son pays la Finlande, des oiseaux, des chiens, des arbres qui vous fascinent grâce aux tons des noirs et des blancs qu’il travaille dans son laboratoire à Helsinki.
Quand je fais des photos, je ne pense jamais au spectateur, je pense au sujet. Mais ensuite, quand je les développe, je pense aux autres, surtout aux enfants, à mes propres enfants. Je serais vraiment très heureux que mes photographies fassent rêver celui qui regarde » source : France Inter