
le soleil est déjà là – Jon Flobrant
Ma (brette) Zèle Tophe ! la rubrique photographie de Bretzelie. Photographes célèbres ou inconnus, Les photos qui me marquent au fil des jours
je crois que je vais rester encore un peu au frais – Man Ray, Marcel Proust on his deathbed, 1922
Man Rayphotographe dadaïste et surréaliste (1890-1976)
Man Ray, de son vrai nom Emmanuel Rudnitsky, naît en 1890 à Philadelphie. Ses parents travaillent dans la confection, lui, décide d’étudier l’architecture puis la peinture et la photographie. Dès 1912, il fréquente l’avant-garde artistique new yorkaise et rencontre en 1915 Marcel Duchamp qui devient son compagnon de route dans le mouvement Dada. Ne voyant pas d’avenir pour les dadaïstes en Amérique, il part à Paris en 1921 où il fréquente les artistes surréalistes.
Man Ray se consacre de plus en plus à la photographie, ses photos de mode ainsi que ses portraits de célébrités sont reconnus et il collabore à de nombreuses revues. Innovant sans cesse dans la technique pour faire advenir des images surréalistes, il remet au goût du jour le procédé d’effet spécial de solarisation des silhouettes. Il meurt à Paris le 18 novembre 1976. source : radiofrance.fr
tag : lit de mort, canicule
this is a man’s world,
But it wouldn’t be nothing, nothing without a woman or a girl
James Brown / Ormond Gigli, American, b. 1925, Girl with Oxen, Portugal, 1952
James Brown – It’s A Man’s Man’s Man’s World youtube
tag taureau
Yakuza d’Osaka – Chloé Jafé : 2016, Osaka. Jun (Photograph with acrylic) Photographing the hidden lives of Yakuza women
« J’étais juste une femme essayant de comprendre une autre femme », ajoute-t-elle. « L’élément d’échange était vital pour moi, alors j’ai invité ces femmes à m’écrire des lettres sur leurs tatouages. » Ils ont été incorporés dans le livre auto-publié de Chloé en 2020. « Je suis prête à mettre ma vie entre ses mains et à continuer de l’aimer », déclare Anna, qui a tatoué le nom de l’homme qu’elle aime sur son cou. Une autre femme, nommée Jun, raconte : « L’homme avec qui j’étais quand j’avais 40 ans avait des tatouages, et regarder mon propre corps nu sans aucun tatouage me faisait me sentir faible. » Il y a aussi Yuko, qui a obtenu le sien après son divorce : « Je voulais décourager certains mecs de m’approcher… Pour vivre de façon indépendante en tant que femme pour le reste de ma vie. source : i-d.vice.com
un printemps de gauche – Iacopo Pasqui
tout le monde n’a pas eu la chance d’avoir un maillot de bain communiste
autres publications bretzel liquide taguées Iacopo Pasqui
avec les chrétiennes j’ai un succès fou ouhouhou – Luigi Ontani, Ecce homo, 1972. photo Paolo Pugnaghi / Christophe
Luigi Ontani est un artiste multidisciplinaire italien, connu comme peintre, photographe et sculpteur. Wikipédia
Avec les filles j’ai un succès fou, ouh
Le charme ça fait vraiment tout, ouh
Un petit clin d’œil pour un rendez-vous, ouh
Christophe youtube
tags : Jésus, selfie
la promesse de l’aube – Chong Kok Yew – Romain Gary
« Avec l’amour maternel, la vie vous fait, à l’aube, une promesse qu’elle ne tient jamais. Chaque fois qu’une femme vous prend dans ses bras et vous serre sur son cœur, ce ne sont plus que des condoléances. On revient toujours gueuler sur la tombe de sa mère comme un chien abandonné. » Wikipedia
tag : géométrie
les réveils mous – André Kertész, Pendulum, Distortion, 1938
De son vrai nom Kertész Andor, André Kertész est originaire d’une famille bourgeoise de Budapest. Il est encore jeune quand son père décède, et il est confié à un tuteur, employé à la Bourse de Budapest. Il y travaillera lui-même pendant deux années.
Le baccalauréat en poche, Kertész achète son premier appareil photo moyen-format en 1912. Ce dernier est pour lui comme un bloc-notes. Il photographie alors tout ce qui l’entoure, met en exergue les détails de son quotidien. Il est enrôlé dans l’armée austro-hongroise et réalisera pour son compte personnel des portraits de soldats dans les tranchées. Quelques uns seulement seront publiées sous forme de cartes postales.
Avec la fin de l’Empire austro-hongrois et le décès de son père, Kertész décide, avec le soutien de sa famille, de quitter la misère des campagnes hongroises pour tenter sa chance en France. Il débarque ainsi à Paris en 1923 et se fait appeler André, équivalent français de Andor. Il découvre alors les milieux culturels parisiens, et rencontre Brassaï, Colette ou encore Mondrian.
Ses photographies, essentiellement des portraits et des scènes de rues, témoignent de la vie parisienne, dans les petites ruelles et les endroits délaissés par les touristes et les Parisiens eux-mêmes. Kertész devient en quelque sorte le photographe de l’invisible, qu’il vend sous forme de petites cartes postales pour gagner sa vie.
Proche des milieux intellectuels, en particulier des surréalistes et du mouvement Dada, il préfère néanmoins rester indépendant. Mais cette proximité fera de lui rapidement un maître du portrait d’artiste. source : infotographiste.fr
autres publications bretzel liquide taguées André Kertész
tags : Dali, montres molles, surréalisme