mais délivre-nous du Mal – Tomiyuki Kaneko : Apotropaic Daruma (transparent watercolor, pen, foil on Shirakawa Daruma, 2021)
L’adjectif apotropaïque (du grec apotropein, « détourner ») qualifie ce qui vise à conjurer le mauvais sort et à détourner vers quelqu’un d’autre les influences maléfiques. (Wikipedia)
Le photographe et artiste japonais Haruhiko Kawaguchi enveloppe les couples, les familles, les structures et les véhicules dans des sacs en plastique scellés pour représenter la connexion et l’unité.
« Je veux exprimer l’amour à travers mon travail, car tout dans le monde est basé sur l’amour. »
« Les gens qui s’aiment sont instinctivement attirés l’un vers l’autre et ils espèrent le devenir. Pour représenter ce pouvoir de l’amour, j’ai photographié des couples scellés sous vide – un projet que j’ai appelé « Flesh Love Returns ».
Pour cela, j’ai photographié les couples à leurs endroits les plus importants. Ils ont décidé de l’emplacement et j’ai décidé du meilleur angle là-bas. Certains couples ont choisi leur propre chambre, certains choisissent le lieu de travail où ils se sont rencontrés pour la première fois et certains ont choisi un restaurant où ils ont eu leur tout premier rendez-vous. source : theinspirationgrid.com
D’où vient l’expression « la lumière au bout du tunnel » ?
Cette expression métaphorique, que l’on ne trouve pas dans les dictionnaires, nous parle d’espérance.
« Voir le bout du tunnel », « sortir du tunnel », voilà des expressions consacrées qui émergent dans le dictionnaire à la fin du XIXe siècle, au moment de la révolution ferroviaire et de la percée de galeries souterraines pour laisser passer les locomotives.
« To see light at the end of the tunnel », existe en anglais et est datée du début du XIXe siècle. Mais sa traduction en français ne figure pas dans les dictionnaires. « On ne trouve pas l’expression en tant que telle, ni à “lumière” ni à “tunnel” ni à “sortir”, comme si la langue ne l’avait pas figée », remarque Sylvianne Rémi-Giraud, linguiste et sémiologue.
Dépasser la difficulté
Selon le Trésor de la langue française, le « tunnel » au figuré est une « longue période de difficultés, de souffrances physiques ou morales dont on ne voit pas la fin ». Et de donner un exemple dans la littérature qui associe un tunnel de souffrances à la lumière, comme dans un oxymore (figure de style consistant à associer deux mots au sens contradictoire) : « L’impression de sortir d’un tunnel, de trouver la lumière, de commencer vraiment une nouvelle vie ! », écrit Roger Martin du Gard dans son livre, Jean Barois, en 1913, un récit sur la perte de la foi dans le monde moderne.
« Cette combinaison de mots, figurée, “la lumière au bout du tunnel”, tout le monde, en France, la comprend de manière immédiate », souligne Sylvianne Rémi-Giraud. Mais la « lumière » s’avère peu définissable : « On voit très bien ce qu’est un tunnel, il est associé à un souterrain, sombre, mais la lumière ? C’est un nom commun accessible à tous, qui relève d’une expérience universelle, mais qui reste difficile à saisir. Il y a bien sûr la fonctionnalité de la lumière mais il y a aussi bien plus. »
Dans la métaphore de la lumière se niche une espérance, « au bout du tunnel », « qui est sur la ligne d’horizon, à laquelle on tend, » explique Gérard Haddad, psychanalyste et auteur de nombreux ouvrages dont Antonietta. Lettres à ma disparue (Éditions du Rocher). Selon lui, cette expression permet « d’entrevoir le dépassement du moment pénible que l’on vit ». Par Olivia Elkaim source : lavie.fr
et nous pisserons sur la lune – Pieter Bruegel the Elder : Whatever I do, I do not repent, I keep pissing against the Moon, 1558
Non, rien de rien Non, je ne regrette rien Ni le bien qu’on m’a fait Ni le mal Tout ça m’est bien égal Non, rien de rien Non, je ne regrette rien C’est payé, balayé, oublié Je pisse sur le passé
Edith Piaf
autres publications bretzel liquide taguées Pieter Bruegel l’ancien
ces longues promenades dans la campagne nous avaient rapprochés
ces longues promenades dans la campagne nous avaient rapprochés
Les balades en forêt sont bénéfiques à la santé des chiens, tant mentale que physique. Respirer le bon air de la forêt est sain pour leurs voies respiratoires, en plus de stimuler leur métabolisme.
tag : ma vie de chien, une chasseuse doit savoir sans son chien
Mon corps fait des choses incroyables – Rihanna by Annie Leibovitz for Vogue magazine, May 2022
« Mon corps fait des choses incroyables en ce moment, et je ne vais pas en avoir honte. Ce moment devrait être festif. Parce que pourquoi devriez-vous cacher votre grossesse ? »
Rihanna
Annie Leibovitz, de son vrai nom Anna Lou Leibovitz, née le 2 octobre 1949 à Waterbury, dans l’État du Connecticut, aux États-Unis, est une photographe américaine, spécialisée dans les portraits de célébrités et de stars. (Wikipedia)