Emmanuel Macron : renaissance, la sextape – Hare Krishna, Jonas Mekas
Lors d’une conférence de presse commune avec le patron du MoDem François Bayrou, le chef d’Horizons Edouard Philippe et le président de l’Assemblée nationale Richard Ferrand, Stanislas Guérini a annoncé ce jeudi 5 mai un changement de nom pour La République en Marche. Le parti présidentiel est rebaptisé « Renaissance ». source : nouvelobs.com
Au clair de la Lune Mon ami Pierrot Prête-moi ta plume Pour écrire un mot
– Quels sont les photographes qui vous ont influencé ? VP : Je me sens plus proche des chefs opérateurs – et de l’univers du cinéma en général – que des photographes. J’ai beaucoup regardé les images de Time & Life et j’aime vraiment des photographes comme Richard Avedon, Bruce Davidson, ou Elmut Newton. Mais le travail de quelqu’un comme Greg Toland (directeur de la photo entre 1926 et 1948, notamment sur Citizen Kane), ou de Gordon Willis, dans les années 70, chef opérateur sur Le Parrain par exemple, ou Manhattan, de Woody Allen, me parle davantage – Manhattan étant, à mes yeux, l’un des plus beaux films en noir et blanc du cinéma.
– Vous n’êtes pas passé par une école de photo ? VP : Non. À 17 ans, je me suis fait virer du lycée, en Allemagne. Ma mère est donc allée m’inscrire à l’école de Beaux-Arts où elle-même avait fait ses études. Par le circuit scolaire normal il fallait 50 points pour être admis. Hors scolarité, il fallait passer « le test du talent » fixé à 100 points. J’ai passé le test. J’ai obtenu 99 points. Ma mère a insisté pour que je sois admis quand même, mais le message qu’on voulait me faire passer était : « c’est bien, mais tu es encore un peu trop jeune pour entrer dans cette école. Il faudra revenir dans quelques années, quand tu auras mûri ». Alors en attendant, j’ai décidé de faire un stage comme assistant de photographe. Le soir de la première journée de stage – je me souviens très bien, on était arrêtés à un feu rouge – j’ai dit : « Je veux être photographe ». Je revois tout. Le feu rouge, la voiture, le photographe… Depuis, rien n’a vraiment changé. Je ne savais pas trop quoi faire de ma vie, et tout à coup, c’était évident. Je suis devenu photographe. Je me suis acheté un appareil photo, un Mamiya RZ, et c’est toujours le même que j’utilise aujourd’hui, je shoote toujours en films. Et puis finalement, à l’époque, le photographe m’a viré parce que je n’y connaissais vraiment rien et que ce n’est pas un métier si facile, mais il me restait encore pas mal de temps avant de pouvoir intégrer l’école des Beaux-Arts. Ma mère m’a donné 1000 Deutsche Marks pour aller à New-York et essayer de devenir assistant photographe là-bas. source : processusphoto.com
un accord a été trouvé – Keith Carter, Hands, 1991
Le travail de Keith Carter explore le temps, le lieu et la culture vernaculaire. Décrit comme un « poète de l’ordinaire » par le Los Angeles Times, ses photographies ont été exposées dans plus de cent quinze expositions personnelles dans treize pays. source : keithcarterphotographs.com
Avec le retour des beaux jours, c’est aussi celui des allergies. Le redoux de ces derniers jours fait éclore les espoirs de changement et les pollens s’envolent. Le réseau national de surveillance aérobiologique (RNSA) classe une grande partie de la France en« risque élevé » pour les allergies au pollen de Jedi.
Rejetez légèrement les épaules en arrière et tenez-vous aussi droite que possible. C’est cette posture qui vous confèrera le plus la prestance d’un mannequin. Gardez votre corps détendu. Pour vous tenir droite, pas besoin d’être rigide.
Le modèle est le porte-manteau de la création, sur laquelle doit se concentrer l’attention du client. Vincent Lappartient écrit encore: «[…] il faut « casser le vêtement, déformer la manière dont il est porté pour le mettre en valeur », c’est pour cette raison que leur démarche paraît si peu naturelle.» source : google
partagé sur facebook : 19 K j’aime, 1,8 K commentaires, 2,9 M vues le 16 juillet 2022
Dans le petit bois de Trousse chemise – Charles Aznavour
Quand la mer est grise et qu’on l’est un peu On fait des bêtises, souviens-toi nous deux On était partis pour Trousse chemise Guettés par les vieilles derrière leurs volets On était partis la fleur à l’oreille Avec deux bouteilles de vrai muscadet
Et j’ai renversé à Trousse chemise Malgré tes prières à corps défendant Et j’ai renversé le vin de nos verres Ta robe légère et tes dix-sept ans Quand on est rentré de Trousse chemise La mer était grise, tu ne l’étais plus Quand on est rentré la vie t’a reprise T’as fait ta valise t’es jamais revenue
On coupe le bois à Trousse chemise Il pleut sur la plage des mortes saisons On coupe le bois, le bois de la cage Où mon cœur trop sage était en prison
l’éblouissement – Catherine Jourdan, l’Eden et après, Alain Robbe-Grillet, 1970
Violette fait partie d’une bande d’étudiants qui a l’habitude de se réunir dans un café appelé L’Éden. Ils y imaginent des projets libres, inventant des saynètes de jeu et de fantaisie. Un soir arrive un certain Duchemin de dix ans leur aîné, qui se mêle avec passion aux jeux du groupe et en devient rapidement le metteur en scène. À la fermeture du café, Duchemin propose à Violette de le retrouver près d’une usine désaffectée. Lorsque la jeune fille s’y rend, elle découvre le corps sans vie de l’étranger. allocine
« Tout au long de ma carrière, j’ai toujours été un peintre de l’évasion narrative, mon travail évoquant des liens personnels pour chaque spectateur. Parce qu’il est exécuté de manière surréaliste, il permet au spectateur de créer sa propre histoire et sa propre signification. »
la nuit je marche – Ivan Kramskoy : Somnambulant, la somnambule (1871) / Alain Bashung
Ivan Nikolaïevitch Kramskoï, né le 27 mai 1837 à Ostrogojsk et mort le 24 mars 1887 à Saint-Pétersbourg, est un peintre et critique d’art russe, ainsi qu’une très importante figure intellectuelle des années 1860-1880, chef de file du mouvement de l’art démocratique russe. (Wikipedia)