L’Idéal du Moi désigne les valeurs positives auxquelles aspire le sujet, il est lié au narcissisme et à la seconde topique freudienne. Le Moi idéal désigne une instance reposant sur un idéal de toute-puissance infantile fondée sur le narcissisme infantile. Wikipedia
Et l’on s’aimera encore lorsque l’amour sera mort. Graveyard Kiss by Charles Hewitt 1949. Hop pickers working at Goudhurst in Kent escape from the farm to a quiet spot and find time for a little romance.
Et l’on s’aimera encore lorsque l’amour sera mort.
Toute la vie sera pareille à ce matin Aux couleurs de la saint-valentin
Joe Dassin (youtube) / Graveyard Kiss by Charles Hewitt, 1949.
abandonner ; cesser de résister ; s’avouer vaincu ; céder
Origine et définition
Cette expression date de la fin du XVIIIe siècle, époque à laquelle on disait aussi « coucher les pouces » Trois écoles s’affrontent sans pitié à propos de son origine.
La première, proposée par Alain Rey, suppose qu’elle vient de l’époque des Romains où, autour de l’arène, le pouce des spectateurs servait au vainqueur d’un combat à savoir s’il devait grâcier (pouces en l’air) ou achever (pouces tournés vers le sol) son adversaire vaincu. À la même époque, le pouce tourné vers le bas servait aussi au vaincu, paraît-il, à indiquer qu’il acceptait la défaite.
La seconde, défendue par Littré, dit que la locution vient du fait que le pouce ne peut se poser ou reposer dans la main qu’à partir du moment son propriétaire renonce à tenir une arme, acceptant ainsi sa défaite. Il étaye sa théorie à l’aide la phrase suivante, écrite en 1550 par Carloix, secrétaire de François de Scepeaux () : « Et faisant une belle révérence se retira, lui étant tombé le pouce dans la main [mettant les pouces, refusant de se battre] »
Enfin, selon la dernière, la locution viendrait de l’ancêtre des menottes, les poucettes, dans lesquelles le prisonnier, donc celui qui ne devait pas résister, devait placer ses pouces où ils étaient compressés et maintenus d’autant plus fermement que ces choses pouvaient aussi servir d’instrument de torture. source : expressio.fr
Jeffrey Knight Potter signant ses œuvres J. K. Potter
est un photographe et illustrateur américain né en Californie en 1956.
Pour Potter, « le grotesque est beau, le bizarre sublime et le macabre est un cru rare et délicieux ». Il privilégie des méthodes de travail « à l’ancienne » à savoir pellicule argentique noir-blanc sans apport informatique. Il considère que la plupart de ses clichés comportent un caractère de catharsis. L’un de ses maîtres à penser est le photographe Clarence John Laughlin. source : Wikipedia
parlez-moi de ce goût pour le sucre – Rémy Poncet – Freud au caramel
parlez-moi de ce goût pour le sucre
Le terme « addiction » mérite d’être introduit par une référence à son étymologie, plus par méthode que par souci d’inférer de son évolution sémantique le processus psychopathologique. Si, en latin, « ad dicere » signifiait « être dit à » (pour un esclave donné à un Maître en contrepartie d’une dette qu’il n’avait pu payer), si « l’addiction » désignait l’opération juridictionnelle de « contrainte par corps » d’un homme libre du fait de sa dette, que d’images pour une interprétation psychopathologique de la dépendance à un produit ou à une situation que le logos actuel a nommée « Addiction » ! Pour le discours psychanalytique, plusieurs expressions retiennent l’attention : la voie passive « être donné », l’esclavage, qui de Sénèque à Hegel, puis à Lacan, a marqué l’asymétrie des rapports humains, la dette avec ce qu’elle recèle ici de réel, le corps devenu autre, aliéné à l’autre, servant de substitution à une dette non soldée. Le rapprochement des termes, de leurs champs sémantiques, pour rhétorique qu’il paraisse, est pourtant évocateur d’une figuration des composantes psychopathologiques majeures de l’Addiction (Pedinielli & Rouan, 2000), phénomène clinique aux multiples visages, et, surtout, aux multiples discours. Que, dans le réel, le corps en vienne à être dédié à une dette impayée, à un manque, et s’en retrouve asservi, n’est peut-être pas seulement une image suscitée par la proximité sémantique.
Réalisé par l’une des moitiés de l’atelier de création graphique français Brest Brest Brest, Rémy Poncet imagine « History and chips », une série de collages en noir et blanc accompagné d’un élément alimentaire coloré.
Un jour, presque par hasard, l’un des deux acolytes, Rémy Poncet colle un chewing-gum sur une vieille photo du film Un Américain à Paris. C’est le début de « History and chips », une série personnelle de long terme qui a débuté en mars dernier et qui vient de se terminer. Oeuf, moutarde, jambon, chewing-gum, spaghettis, sauce, dentifrice… Chaque mois, l’artiste réalisait une seule et unique nouvelle image. Le résultat est superbe, retrouvez l’origine de la série ici et on vous conseille de faire un tour sur le portfolio de Brest Brest Brest
les yeux en face des trous, l’iris dans le trou palpébral.
L’iris est le disque pigmenté à l’origine de la « couleur » des yeux, percé d’un orifice de diamètre variable avec le degré de luminosité appelé pupille. L’iris joue le role de diaphragme dans l’oeil en régulant la quantité de lumière destinée à atteindre la rétine.
Le diamètre pupillaire varie de façon réflexe sous l’effet de 2 muscles antagonistes responsables de l’oculomotricité intrinsèque : – le muscle sphincter de l’iris de forme annulaire responsable de la réduction du diamètre pupillaire ou myosis, – le muscle dilatateur de l’iris inséré radiairement dans l’épaisseur de l’iris et à l’origine de la dilatation de la pupille ou mydriase. source : polevision.fr
Alberto Cittone, aka Cy Tone, is a 38 years-old industrial and graphic designer from Turin, ITALY. He studied Graphic Design at the European Institute of Design and defines his work as “test, experiments, results”. source Behance
Photographe depuis 1984 Marc Lafon a collaboré régulièrement comme portraitiste avec des magazines tels que Playboy France, ELLE, Premiere, Figaro Magazine, Capital…. Images redistribuées à l’etranger par les agences Stills, Gamma et Starface.
Le photographe Marc Lafon vit et travaille à Montpellier depuis 2011.
Son travail sur le nu artistique a commencé en 1998 et fait l’objet d’expositions.
le mardi c’est bowling. The robot studio : robot anthropomimétique Cronos
le mardi c’est bowling
En mars 2011 s’est tenu à Lyon le tout premier salon InnoRobo qui réunit des professionnels de la robotique de service. Ceux-ci présentent aux visiteurs leurs dernières créations destinées à remplacer l’homme. Une centaine de robots venant des quatre coins du monde et dotés de multiples envies. De la surveillance au divertissement en passant par le bowling, ils pourraient très bientôt changer notre quotidien.
Le fabricant The robot studio tente de concevoir des robots qui bougent et ressemblent à de véritables systèmes biologiques le robot anthropomimétique Cronos. source : Maxisciences
Marguerite Duras : un barrage contre les papillons. Annelie Vandendael, Tenerife 20_02-12 001
Marguerite Duras : un barrage contre les papillons / Annelie Vandendael, Tenerife
Marguerite Duras
« Elle eut l’idée de construire contre les grandes migrations des Papillons, un barrage qui protégerait ses terres et celles de ses voisins. Le barrage fut construit par des centaines de paysans séduits par son espoir. Les Papillons traversèrent le barrage comme s’il avait été une feuille de papier à cigarettes. C’est à ce moment que débute le roman de Marguerite Duras. » source : Blanche – Gallimard
Annelie Vandendael
Annelie Vandendael est née en Belgique (19.10.1987) et a grandi dans le sud de la France. Après l’université, elle est revenue en Belgique pour étudier à l’Académie Royale des Beaux-Arts (Kask) de Gand où elle a obtenu un master en photographie. La création d’images a toujours été une passion pour elle. Après avoir terminé ses études, elle a été invitée à « La Fabrica », le centre de communication et de recherche Benetton à Trévise, en Italie.
Sois Belle
Regardez une fois, puis regardez à nouveau. Ces images somptueuses et surréalistes défient les normes irréalistes de perfection établies par la photographie de mode, provoquant l’espièglerie plutôt que la beauté à l’aérographe.
La photographe Annelie Vandendael glorifie l’authenticité de la beauté féminine à travers des compositions surréalistes prises en format argentique.
Annelie Vandendael est une photographe née en Belgique et élevée en France. Inspirée par la tendance de la photographie de mode à manipuler les sujets et le corps humain , et estimant que ce processus de falsification de la beauté féminine est extrêmement dommageable, elle cherche à représenter des personnes réelles, authentiques , en gardant intactes leurs imperfections.
Avec son appareil photo analogique Hasselblad réalise des images réalistes et parfaites , photographiant de belles jeunes femmes dans un scénario poétique et surréaliste . Leurs visages sont souvent secoués par des apparitions étranges, à travers des compositions ironiques et introduisant des éléments étranges comme des flamants roses, des poissons rouges, des cactus, des glaces et plus encore.
Dans sa dernière série, Sois Belle décrit l’ être humain , et plus particulièrement les femmes qui sont les protagonistes de ses clichés, non pas comme un objet à manipuler, mais au contraire comme faisant partie intégrante de la nature.
« Relaxer son corps, apaiser son esprit pour être zen, passent aussi par la présence d’éléments zen dans son environnement. On agrémentera les pièces de la maison d’éléments invitant à l’harmonie et la spiritualité comme une fontaine d’intérieur ou des plantes vertes, on utilisera du linge de lit en matière naturelle comme le chanvre, on diffusera des huiles essentielles et on évitera la présence de fauves sauvages et sanguinaires.
La relaxation n’est pas une simple détente, elle exerce ses bienfaits sur tout le corps : elle permet de relâcher les tensions musculaires, de se rééquilibrer, d’être zen, d’améliorer sa circulation sanguine, de prendre du recul et d’agir avec des idées claires et non sous le coup de l’émotion, d’avoir des relations plus harmonieuses avec son entourage… » source : couleur-chanvre.com
Le ski de fond est un sport d’hiver de la famille du ski nordique, populaire notamment en Europe du Nord, Canada, Russie ou l’Alaska. De ce sport, se sont développées d’autres disciplines telles que le saut à ski, le combiné nordique (combinaison du saut à ski et du ski de fond) et le biathlon (combinaison du tir à la carabine et du ski de fond). Ce sport se pratique sur des terrains plats ou vallonnés avec la présence de la neige.).
Les skis utilisées sont longs, étroits, ne possèdent pas de carres métalliques et sont fixés uniquement à l’avant du pied. Deux techniques de ski existent : la technique traditionnelle, dite « pas alternatif » (« classique »), qui consiste à avancer dans deux traces parallèles et depuis les années 1980 la technique du « pas de patineur » (« skating ») dont le style au niveau des jambes peut s’apparenter au roller ou au patin à glace. La surface de leur semelle est globalement plate, lisse sur toute sa longueur pour le ski de skating, et comprenant soit des écailles, soit une chambre à fart en son centre pour le ski de classique, afin de permettre la propulsion en avant. Le ski de fond skating est le sport nécessitant le plus fort VO2 max (puissance respiratoire), devant la course à pied, la natation et le cyclisme. source : Fédération Française de Ski
Mario Giacomelli
Naissance : 01.08.1925 à Senigallia, Italie Mort : 25.11.2000 Site web
L’homme qui est devenu peintre, poète et photographe a débuté sa vie professionnelle, en 1938, comme typographe dans une imprimerie. Pendant la guerre, il commence à peindre des compositions abstraites ainsi qu’à aimer la poésie. En 1952, nourri par ses lectures – Borges, Turoldo, Dickinson – et par la peinture de Nicolas de Staël et de Serge Poliakoff, Mario Giacomelli achète son premier appareil photo et crée son laboratoire de photographie.
En cinquante ans de carrière, ce disciple de Giuseppe Cavalli n’a cessé de s’intéresser à un monde en voie de disparition. Il regarde le paysage comme un artisan poète, gribouille ses photos, les donne aux gens pour qu’ils les accrochent chez eux. Du grand maître de la photographie italienne, on se souvient des vols de mouettes sur les plages des Marches, des rides et des dos courbés des vieillards de Scanno, des rondes étranges des séminaristes sur la neige et de ses images extrêmement contrastées de champs arides rongés par les sillons des machines agricoles.
La galerie Polka représente Mario Giacomelli depuis 2016.