tiens-moi la main – sculptrice : Katharina Kierzek
L’artiste berlinoise Katharina Kierzek dirige son atelier-boutique « Real » sur la Lutherstrasse à Kiel. Ses sculptures « Eumel », sont réalisées à partir d’anciens objets du quotidien collectés en Scandinavie et ailleurs. source : terras-design.de
Oh Marie si tu savais – Johnny Hallyday – Soasig Chamaillard : Vierge Marie en jean
Issue d’une société occidentale chrétienne, ma réfléxion est influencée par mon environnement.
Par le jeu d’associations d’icônes, de transformations physiques, ou de combinaisons improbables, je parle avant tout de la femme, de sa place et de son rôle dans cette société. Ces questionnements m’ont amenés à travailler sur l’image sacrée de la Vierge Marie. Je travaille à partir de statues abîmées, provenant de brocantes ou de dons, que je restaure et transforme.
Je ne cherche pas à choquer ceux qui croient. Je ne cherche qu’à toucher ceux qui voient.
vivre dans son univers – Alberto Giacometti and his sculptures, Paris, France, 1951 – by Gordon Parks (1912 – 2006), American
Alberto Giacometti grandit en Suisse dans le Val Bregaglia, à quelques kilomètres de la frontière italo-helvétique. Son père, Giovanni Giacometti(1868-1933) est un peintre impressionniste estimé des collectionneurs et des artistes suisses. Il partage avec son fils ses réflexions sur l’art et la nature de l’art.
Alberto Giacometti réalise à 14 ans, dans l’atelier de son père, sa première peinture à l’huile, Nature morte aux pommes (vers 1915) et son premier buste sculpté, la petite Tête de Diego sur socle. Son père et son parrain, le peintre symboliste Cuno Amiet (1868-1961), sont deux figures essentielles dans le développement artistique du jeune Alberto. En 1922, Giacometti part étudier à Paris et entre à l’Académie de la Grande-Chaumière, où il suit l’enseignement du sculpteur Antoine Bourdelle (1861-1929). Des dessins de nus témoignent de cet apprentissage, et, comme ses premières sculptures cubistes, de l’influence de Jacques Lipchitz et de Fernand Léger. source : fondation-giacometti.fr
Cette amulette représente deux doigts humains stylisés qui sont à peu près grandeur nature. Les amulettes à deux doigts étaient utilisées exclusivement pour les morts et étaient souvent placées sur l’incision d’embaumement, qui a été faite pendant le processus de momification. Ces amulettes étaient destinées magiquement à guérir la blessure. Les premiers exemples de ce type d’amulette datent de la dynastie 26. Leur matériau préféré était l’obsidienne ou d’autres pierres sombres. Parfois, les amulettes étaient dorées, et de faibles traces de dorure sont présentes sur cet exemple.
Verre et noir-bleu. Basse Epoque, ca. 664-332 avant JC. Maintenant au Metropolitan Museum of Art. 66.99.182 egypt-museum.com
L’invention de la pâte à modeler s’inspire de la terre glaise utilisée par les sculpteurs, qui a l’avantage de durcir en séchant. Pour des esquisses, pour l’utilisation par les enfants, ou plus récemment, pour du travail en animation, il convient d’avoir un matériau qui ne durcit pas définitivement, elle a donc naturellement évolué vers des matériaux plus consistants et malléables. Wikipedia
le plaisir de lyre – Barbara Hepworth, Orpheus, 1956
le plaisir de lyre – Barbara Hepworth, Orpheus, 1956
La pièce de Hepworth de 1956, une sculpture en bronze sur un socle en bois, est l’une des quatre œuvres d’Orphée et un des premiers exemples de son passage de la sculpture principalement dans la pierre et le bois à son inclusion de métaux. Cordé et en forme de parabole, Orphée (Maquette 1) est pensé comme une allusion à la lyre du musicien mythique. source : theguardian.com
la mer à bout de bras – Volodymyr Tsisaryk : Holding the Ocean (bronze sculpture and aluminum, 2018)
la mer à bout de bras – Volodymyr Tsisaryk : Holding the Ocean (bronze sculpture and aluminum, 2018)
Volodymyr Tsisaryk, né le 3 septembre 1978 à Lviv. Volodymyr est un sculpteur ukrainien bien connu, auteur de monuments dans l’espace public de Lviv, fondateur de son propre atelier de sculpture.
Il expérimente la sculpture classique, les images mythiques et les formes modernes, construisant son propre style de personnages mystiques et de créatures bizarres. source : tsisaryk.com
Il faut mettre le feu à la maison, dit le Lapin – Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles / a rare Khorrassan bronze lamp in the form of a rabbit, North East Iran, 12th century
Il faut mettre le feu à la maison, dit le Lapin – Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles / a rare Khorrassan bronze lamp in the form of a rabbit, North East Iran, 12th century
« Le lapin est stylistiquement formé avec de longues oreilles, un nez prononcé et une courte queue recourbée, avec deux becs sortant des pattes antérieures et un sous la queue, le dos de la tête avec une bande de dessin géométrique ajouré et palmette, un trou en forme de goutte à l’arrière, la tête séparée et jointe par un joint à baïonnette, quelques zones de corrosion, la majorité de la surface avec une riche patine rouge.
Cette lampe à huile en forme de lapin est une combinaison très rare d’une forme zoomorphe très expressive à becs multiples. Une lampe à huile Khorassan en forme de lièvre avec plusieurs becs dans une collection privée a des oreilles triangulaires pointues très similaires et un nez prononcé. Notre lampe en forme de lapin a une tête tournée vers l’avant dans une pose plus frappante et alerte. Les jambes fines et légèrement incurvées et le corps élégamment arrondi de notre lapin témoignent du savoir-faire de cette tradition bien établie de la métallurgie. » source : Christie’s