
prenez ce sein que vous ne sauriez voir – Molière, Tartuffe / Julie Curtiss (French, 1982) – Untitled (2019)
prenez ce sein que vous ne sauriez voir – Molière, Tartuffe / Julie Curtiss (French, 1982) – Untitled (2019)
illuminée ! Vera Zorina
Vera Zorina, de son vrai nom Eva Brigitte Hartwig, née à Berlin le 2 janvier 1917 et morte à Santa Fe le 9 avril 2003, est une danseuse d’origine allemande et actrice dans des comédies musicales américaines. Wikipédia
tags : cercles concentriques, diffraction de la lumière, ouverture d’esprit, ricochets
les bronches du roi Midas – Debra Baxter, Catch Your Breath, albâtre, bronze et calcédoine blanche, 2021
Debra Baxter est une sculptrice et créatrice de bijoux qui combine l’albâtre sculpté avec des cristaux, des minéraux, des métaux et des objets trouvés. Elle a obtenu son MFA en sculpture du Bard College en 2008 et son BFA du Minneapolis College of Art and Design en 1996.
histoire du syndicalisme – Lee Miller ou la traversée du miroir
Lee Miller, née Elizabeth Miller le 23 avril 1907 à Poughkeepsie dans l’État de New York aux États-Unis et morte le 21 juillet 1977 à Chiddingly dans le Sussex de l’Est au Royaume-Uni, est une photographe et reporter américaine, égérie du surréalisme. Wikipédia
tag : muguet
les branches mentales – Igor Gusev (peintre ukrainien né en 1970) : Unobtrusive Tune for the First Lady (oil, canvas, 2019)
tag : coiffe
le regard de l’autre – Tom Adams
Thomas Charles Renwick Adams était un illustrateur et peintre anglo-écossais né aux États-Unis. Actif de longue date dans une variété de formats visuels, il est connu pour son travail en couverture de livre, en peinture de portrait, en affiche, en publicité et en album. Wikipédia
tag : stade du miroir
N’insiste pas – Alex Colville, Nu et mannequin, 1950. Nude and Dummy
Les images silencieuses de Colville sont statiques. Pourtant, pratiquement toutes racontent une histoire, dans une intrigue brève et concise qui n’a pas toujours de résolution. Les situations humaines fondamentales en sont les thèmes à la fois simples et complexes : solitude, isolement, séparation, travail, loisirs, éloignement, amour. Le seul laconisme subliminalement dramatique, souvent mélancolique, du contenu correspond à la précision absolue de la forme par laquelle il est véhiculé. Comme à peine un autre artiste, Colville maintient le difficile équilibre entre l’imagination et le calcul sobre, l’intérêt formel et l’engagement social. Derrière la surface réaliste de son imagerie se cache le surréel – mais un surréel dépourvu de toute trace de mise en scène théâtrale ou d’emprunt à la psychanalyse, dont Colville se méfie profondément des nouveaux mythes.
Extrait de L’art du XXe siècle, éd. Lingot. Walther. Vol. I Taschen, Cologne, 1998 au sujet d’Alex Colville
autres publications taguées Alex Colville
les gens se pressaient déjà sur les chemins des journées du Patrimoine – Paul Delvaux (Belgian, 1897 – 1994) : Procession, 1939