« Les explorations de Phillip Dvorak sont enracinées dans les possibilités érotiques, subconscientes et émotionnelles du corps humain. Quelle que soit la forme, Dvorak invite le spectateur dans un univers intensément anthropomorphique. La biologie de ses dessins au fusain et au pastel peut parfois se concentrer si intensément sur le corps humain qu’il devient microscopique. Le spectateur trouve des structures cellulaires, des organites et d’étranges protubérances ressemblant à des cheveux s’engageant dans une frénésie active à travers la surface du papier. L’effet est positivement sexuel. — RF
J’explore la forme humaine : l’extérieur et l’intérieur, le réel et l’imaginaire, l’effrayant et l’érotique. Je n’ai rien trouvé de plus stimulant, provocant ou gratifiant que cela.
faut-il lutter contre la podophilie ? Horst P Horst : Barefoot Beauty, 1941
Sigmund Freud y voyait un symbole phallique (le fétiche, agissant comme un simulacre, faisant écran à une crainte de castration), mais le neuro-scientifique Vilanayar Ramachandran, qui dirige le centre du cerveau à l’Université de California, située à San Diego, a trouvé d’autres explications. En explorant les réactions du cerveau chez des personnes amputées, le docteur Ramachandran semble avoir résolu le mystère de la podophilie. Après avoir publié une étude sur les dysfonctionnements du cerveau conduisant au syndrome du membre fantôme (les amputés sentent leur membre manquant comme s’ils étaient encore attachés à leurs corps), un homme qui avait perdu sa jambe, lui a raconté avec beaucoup d’embarras, qu’il ressentait du plaisir sexuel là où son pied n’était plus: « à chaque fois que j’ai des rapports sexuels, depuis 2 mois que j’ai perdu ma jambe, j’ai des sensations dans mon pied fantôme, je sens mon orgasme dans le pied. Mes orgasmes sont bien plus grands qu’avant, parce qu’ils ne se limitent plus à mes parties génitales ».
Cela a été une révélation pour Ramachandran. Les parties du cerveau qui ont à voir avec le sexe sont, comme celles qui ont à voir avec les pieds, dans le cortex sensoriel. Pour lui, cela fait tout à fait sens qu’il y ait un chevauchement entre les deux et qu’ainsi le pied puisse également être une zone érogène. Ainsi existe également la probabilité que toutes les personnes dites « normales » aiment que l’on s’occupe de leurs pieds pour les mêmes raisons.
Le fétichisme des pieds remonte à loin: les premières traces dans l’histoire remontent à 1000 ans avant Jésus-Christ, on le trouve en Egypte comme chez les Arabes et les Romains (ces derniers interdisaient aux prostituées de porter des chaussures). Et au dire de certains historiens, la pratique grandit à chaque fois que surviennent des épidémies de maladies sexuellement transmissibles: aux XIIe, XVIe et XIXe siècle, avec la gonorrhée et la syphilis, et à nouveau au début des années 80, avec le sida.
Pour le chercheur James Giannini de l’université d’État de l’Ohio (USA), l’émancipation féminine aurait également eu un impact sur les désirs de pieds, reflets d’une posture où la femme est dominante. Sigmund Freud avait déjà suggéré, en son temps, l’existence d’un lien entre l’intérêt sexuel pour les pieds et la soumission. Rien ne semble le contredire aujourd’hui, car sur Internet, les sites spécialisés font corréler l’érotisme du pied, et l’érotisme de la femme dominante avec un homme soumis. source : huffingtonpost.fr
autres publications bretzel liquide taguées Horst P Horst
Jean Gabin, Michèle Morgan, Le Quai des brumes, Marcel Carné, 1938
La poésie désenchantée du tandem Carné-Prévert, les décors nocturnes et embrumés d’Alexandre Trauner, l’atmosphère onirique des images d’Eugen Schüfftan.
La Royal Society of Chemistry recommande de boire du thé entre 60 et 65 degrés, tandis que l’Université de Northumbria indique que la température idéale pour boire son thé serait entre 48 et 60 degrés. Pour cela, il vous faudrait attendre seulement 6 minutes après avoir versé l’eau bouillante, pour que votre thé ait le temps de refroidir.
En 2016, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) avait déjà alerté sur les dangers des boissons trop chaudes. Au-delà de 65 degrés, le thé ou le café sont dans tous les cas dangereux pour notre oesophage.
L’Agence Internationale pour la Recherche sur le Cancer a également indiqué qu’il n’y avait aucune preuve que c’était le thé ou le café responsable des cancers, mais plutôt la chaleur de la boisson. Le Docteur Christopher Wild, directeur de cette agence, explique : « Les résultats suggèrent que boire des boissons très chaudes est l’une des causes principales du cancer de l’oesophage. Peu importe la boisson, c’est la température qui porte préjudice à notre gorge ». source : terrafemina.com
tags : combien de temps faut-il pour refroidir une tasse de thé, comment refroidir une boisson chaude, Fernand Raynaud
À la claire fontaine M’en allant promener J’ai trouvé l’eau si belle
Il y a longtemps que je t’aime Jamais je ne t’oublierai !
Au milieu des années 1960, j’ai commencé à photographier les rues de New York. Depuis lors, j’ai photographié lors de mes voyages à travers la plupart des pays européens, l’Inde et à travers les États-Unis. Mes projets les plus récents ont été de photographier la figure humaine abstraite par l’eau, et de photographier la faune et d’autres images dans la nature.
J’ai appris la photographie au fil des ans, dans des conférences, des ateliers, des critiques et en étudiant les photographies elles-mêmes. J’ai suivi des cours à la School of the Museum of Fine Arts de Boston et à la New School de New York et j’ai assisté à des conférences et à des ateliers avec Larry Fink, Lisette Model, Dianne Arbus, Ernst Haas et de nombreux autres photographes.
Mon travail a été présenté dans plus de 40 expositions collectives avec jury à travers les États-Unis et dans près d’une douzaine d’expositions solo ou d’artistes vedettes.
L’Ascension est une fête chrétienne célébrée le quarantième jour à partir de Pâques. Elle marque la dernière rencontre de Jésus avec ses disciples après sa résurrection et son élévation au ciel. Wikipédia
La rose est l’une des plantes les plus cultivées au monde et elle occupe la première place dans le marché des fleurs. Mais on oublie souvent que les rosiers sont aussi des plantes sauvages (le plus connu en Europe est l’églantier) aux fleurs simples à cinq pétales, qui sont devenus à la mode, pour leur aspect plus naturel, depuis quelques décennies sous le nom de « roses botaniques ».
Les rosiers cultivés sont le résultat de plusieurs millénaires de transformations, d’abord empiriques puis, dès la fin du XVIIIe siècle, méthodiques, en particulier par l’hybridation. Les variétés sont innombrables, on estime à plus de trois mille le nombre de cultivars disponibles actuellement dans le monde. L’existence des roses remonte à bien avant l’antiquité, preuve en sont les fossiles retrouvés dans l’Ouest américain et datés de plus de quarante millions d’années. Wikipedia