Vivianne Sassen est né en 1972 à Amsterdam et y vit. Elle a étudié le design de mode, puis la photographie à la Utrecht School of the Arts (HKU) et aux Ateliers Arnhem.
autres publications bretzel liquide taguées Viviane Sassen
la maman et la putain – Elliot Erwitt : Personal best
« Il s’agit de réagir à ce que vous voyez, espérons-le sans préjugés. Vous pouvez trouver des images n’importe où. Il s’agit simplement de remarquer les choses et de les organiser. Vous devez juste vous soucier de ce qui vous entoure et vous soucier de l’humanité et de la comédie humaine »
Christto & Andrew est un duo artistique né en 2012. Ses deux composantes, Christto Sanz (Puerto Rico, 1985) et Andrew Weir (Afrique du Sud, 1987), vivent et travaillent à Doha, au Qatar.
En 2018, ils ont été présélectionnés pour le New Discovery Award au Festival Les Rencontres de la Photographie à Arles. source : metronom.it
le passage du Christ à basse altitude – Misha Gordin : the silent arrow
le passage du Christ à basse altitude – Misha Gordin : the silent arrow
Misha Gordin est un photographe conceptuel né en Lettonie pendant l’occupation soviétique.
Depuis des décennies l’artiste produit des photos en noir et blanc utilisant les ombres, la répétition, les formes et surtout le corps humain. Les thèmes récurrents de son travail sont, la peur, l’aliénation, la résistance et la lutte de l’être humain pour son identité. Son travail est très sombre mais aussi très politique face à notre société d’uniformisation. texte : journal-du-design.fr
solidarité, ma soeur – Vladimir Bazan, Louvre. Paris
solidarité, ma soeur – Vladimir Bazan, Louvre. Paris
Vladimir Bazan est né en 1953 en Russie. Trois ans plus tard, ses parents ont déménagé au Bélarus. Dès ce moment, sa vie et son destin seront indissolublement liés à Vitebsk. A l’âge de dix ans, il prend en main un appareil photo pour la première fois. Un petit événement dans la vie d’un enfant ? Mais il est devenu un signe. La carrière de BAZAN a commencé par un emploi de photographe dans une école de gymnastique sportive. En 1978, Uladzimir a terminé ses études à la Faculté d’Art Graphique de l’Institut Pédagogique. Ensuite, il a travaillé de nouveau comme photographe dans une usine de cartonnage et de polygraphie. Depuis 1980, il était photographe correspondant dans un journal à fort tirage « Constructeur », et collaborait avec les éditions républicaines et des éditions de toute l’URSS. En parallèle, Uladzimir BAZAN prend d’assaut les sommets photographiques. Il participe aux expositions photographiques : « Venus » (Cracovie), « Homme et temps » (URSS), « Infoskanbaltik » (Rostok), « Photorire » (Gabrovo), «Santé pour tout le monde » (Genève), « Génération » (Paris), Word Press Photo, « Comment tu vis l’homme » (Vilnius). source : Vladimir Bazan
prête pour le 8 mars ? Frank Horvat, 1976, Bahamas, for Glamour USA, illustration for exercise
prête pour le 8 mars ? Frank Horvat, 1976, Bahamas, for Glamour USA, illustration for exercise
Francesco Horvat dit Frank Horvat est un photographe français d’origine italienne, né le 28 avril 1928 à Abbazia et mort le 21 octobre 2020 à Boulogne-Billancourt. Sa rencontre avec Henri Cartier-Bresson en 1950 est déterminante pour la suite de son travail. source : Wikipedia
C’est en 1982, sous l’impulsion d’Yvette Roudy, ministre déléguée aux droits des femmes, que la France reconnaît le 8 mars comme Journée internationale des droits des femmes. source : vie-publique.fr
autres publications bretzel liquide taguées Frank Horvat
Une mer quasiment asséchée est en train de renaître
La mer d’Aral, à cheval entre le Kazakhstan et l’Ouzbekistan, avait perdu 75% de sa superficie en 50 ans. Grâce à un barrage, le niveau de l’eau remonte petit à petit. source : France Inter
« Les roses et les épines font partie de la même plante ».
8 mars : protège-nous des radiations – Marina Choy
8 mars : protège-nous des radiations – Marina Choy
L’ONU parle de la journée internationale des femmes (c’est d’ailleurs l’intitulé officiel) alors que la France a plutôt tendance à privilégier la journée internationale des droits de la femme. source : Journée Mondiale
range ta chambre – Marc Le Mené – Chambre mentale (mental camera)
range ta chambre – Marc Le Mené – Chambre mentale (mental camera)
La série des Chambres Mentales a été commencée par Marc Le Mené en 1996 et se poursuit jusqu’à aujourd’hui. En vingt ans s’est ainsi constitué un ensemble de 250 photographies.
La « chambre mentale » désignée par Marc Le Mené est la chambre photographique, qui devient elle-même relais de la boîte crânienne où s’inventent les images qu’elle capte. Le motif de la boîte et plus largement de l’espace clos est devenu son terrain d’élection dans lequel il met en scène des compositions et situations à la teneur surréaliste. source : paris-art
Marc Le Mené, le 27 février 2022 : « J’en suis à 320 numéros… Et c’est pas fini …. »
soutiens-moi / Florence Poullain : Salvador Dali, Femme à la tête de roses, 1981
soutiens-moi / Florence Poullain : Salvador Dali, Femme à la tête de roses, 1981
Dali et la rose
« L’utilisation par Dalí de la fleur de rose dans son art a traversé de nombreux médiums différents. Dans la sculpture en bronze d’Alice au pays des merveilles (conçue en 1977), les mains et les cheveux de la femme se sont épanouis en roses symbolisant la beauté féminine et la jeunesse éternelle.
Dans la sculpture de Dalí, Woman of Time, (conçue en 1973), la figure féminine tient une rose parfaitement formée sur une tige, l’horloge qu’elle a drapée sur son bras fait allusion à la prise de conscience que la beauté peut être indépendante du temps. Dalí a souvent représenté la figure féminine avec une tête non pas de cheveux, mais comme un bouquet de roses, pour symboliser éventuellement leur sexualité latente, comme dans la sculpture « Hommage à la mode » . (conçu en 1971)
Dalí a peint une rose parfaite dans son tableau de 1958 « La rose méditative ». L’image est un paradoxe visuel, base fondamentale du surréalisme, la rose semble « flotter » dans le ciel, méditant au-dessus de deux minuscules personnages, rappelant Jean François Millets L’Angélus’ ,(1856), l’un des favoris de Dalí peintures. L’un des pétales est recouvert d’une goutte d’eau, créant un effet tridimensionnel lumineux.
Ici, Dalí utilise la technique du trompe-l’œil pour tromper le spectateur ; en fait, la rose semble avoir de la profondeur dans la peinture, contrastant avec le ciel bleu uni dans lequel elle se trouve, conduisant à un incroyable effet tridimensionnel.
Une autre sculpture en bronze de Dalí qui encapsule la figure féminine avec la tête de roses est, Femme a La Tete de Rose . (1981). Haute de deux mètres, cette sculpture surréaliste rend une fois de plus évidente l’obsession continue de Dalí pour le symbole des béquilles. La Femme à La Tête de Roses se tient sur deux béquilles, une plus longue (s’élevant de la base) soutenant son bras droit. Sur son bras gauche sont positionnés plusieurs doigts de deux mains désincarnées, qui la maintiennent fermement. La partie supérieure de la sculpture est une figure phytomorphe, la tête entière devenant un bouquet fleuri d’où s’élève une corne, donnant une dimension animale à la figure. Dalí représente toujours des personnages ancrés dans la fantaisie, qui, à leur tour, prennent des significations différentes lorsqu’ils sont assemblés avec des objets extérieurs et incongrus ». source : Daliuniverse
Florence Poullain
« Plusieurs sujets de prédilections se dégagent de son œuvre : la nature, les paysages, les êtres vivants du plus petit au plus grand, le graphisme … Les détails retiennent son attention : une couleur, une texture, une ambiance, une atmosphère … » à voir sur florence-poullain.fr
L’Homme à tête de chou
est un album-concept de Serge Gainsbourg de 1976, youtube