
à la recherche de l’air des cimes
Barbara Morgan (American, 1900-1992)
Martha Graham – El Penitente – (Solo – Erick Hawkins – as El Flagellante) 1940
Ma (brette) Zèle Tophe ! la rubrique photographie de Bretzelie. Photographes célèbres ou inconnus, Les photos qui me marquent au fil des jours

this is a man’s world,
But it wouldn’t be nothing, nothing without a woman or a girl
James Brown / Ormond Gigli, American, b. 1925, Girl with Oxen, Portugal, 1952
James Brown – It’s A Man’s Man’s Man’s World youtube
tag taureau

Yakuza d’Osaka – Chloé Jafé : 2016, Osaka. Jun (Photograph with acrylic) Photographing the hidden lives of Yakuza women
« J’étais juste une femme essayant de comprendre une autre femme », ajoute-t-elle. « L’élément d’échange était vital pour moi, alors j’ai invité ces femmes à m’écrire des lettres sur leurs tatouages. » Ils ont été incorporés dans le livre auto-publié de Chloé en 2020. « Je suis prête à mettre ma vie entre ses mains et à continuer de l’aimer », déclare Anna, qui a tatoué le nom de l’homme qu’elle aime sur son cou. Une autre femme, nommée Jun, raconte : « L’homme avec qui j’étais quand j’avais 40 ans avait des tatouages, et regarder mon propre corps nu sans aucun tatouage me faisait me sentir faible. » Il y a aussi Yuko, qui a obtenu le sien après son divorce : « Je voulais décourager certains mecs de m’approcher… Pour vivre de façon indépendante en tant que femme pour le reste de ma vie. source : i-d.vice.com

un printemps de gauche – Iacopo Pasqui
tout le monde n’a pas eu la chance d’avoir un maillot de bain communiste
autres publications bretzel liquide taguées Iacopo Pasqui

avec les chrétiennes j’ai un succès fou ouhouhou – Luigi Ontani, Ecce homo, 1972. photo Paolo Pugnaghi / Christophe
Luigi Ontani est un artiste multidisciplinaire italien, connu comme peintre, photographe et sculpteur. Wikipédia
Avec les filles j’ai un succès fou, ouh
Le charme ça fait vraiment tout, ouh
Un petit clin d’œil pour un rendez-vous, ouh
Christophe youtube
tags : Jésus, selfie

la promesse de l’aube – Chong Kok Yew – Romain Gary
« Avec l’amour maternel, la vie vous fait, à l’aube, une promesse qu’elle ne tient jamais. Chaque fois qu’une femme vous prend dans ses bras et vous serre sur son cœur, ce ne sont plus que des condoléances. On revient toujours gueuler sur la tombe de sa mère comme un chien abandonné. » Wikipedia
tag : géométrie

les réveils mous – André Kertész, Pendulum, Distortion, 1938
De son vrai nom Kertész Andor, André Kertész est originaire d’une famille bourgeoise de Budapest. Il est encore jeune quand son père décède, et il est confié à un tuteur, employé à la Bourse de Budapest. Il y travaillera lui-même pendant deux années.
Le baccalauréat en poche, Kertész achète son premier appareil photo moyen-format en 1912. Ce dernier est pour lui comme un bloc-notes. Il photographie alors tout ce qui l’entoure, met en exergue les détails de son quotidien. Il est enrôlé dans l’armée austro-hongroise et réalisera pour son compte personnel des portraits de soldats dans les tranchées. Quelques uns seulement seront publiées sous forme de cartes postales.
Avec la fin de l’Empire austro-hongrois et le décès de son père, Kertész décide, avec le soutien de sa famille, de quitter la misère des campagnes hongroises pour tenter sa chance en France. Il débarque ainsi à Paris en 1923 et se fait appeler André, équivalent français de Andor. Il découvre alors les milieux culturels parisiens, et rencontre Brassaï, Colette ou encore Mondrian.
Ses photographies, essentiellement des portraits et des scènes de rues, témoignent de la vie parisienne, dans les petites ruelles et les endroits délaissés par les touristes et les Parisiens eux-mêmes. Kertész devient en quelque sorte le photographe de l’invisible, qu’il vend sous forme de petites cartes postales pour gagner sa vie.
Proche des milieux intellectuels, en particulier des surréalistes et du mouvement Dada, il préfère néanmoins rester indépendant. Mais cette proximité fera de lui rapidement un maître du portrait d’artiste. source : infotographiste.fr
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tags : Dali, montres molles, surréalisme

prêt pour une nouvelle partie de croquet ? demanda Alice au flamant maillet sur le gazon de la reine de coeur. Vladimir Clavijo-Telepnev : Inès
Vladimir Clavijo-Telepnev, né en 1962 à Moscou, est l’un des photographes modernes les plus célèbres de Russie, qui a réussi à faire une carrière parfaite en étant fidèle à ses principes dans l’art et la vie. Ses œuvres sont généralement divisées en différentes séries. Il utilise différentes méthodes et styles, travaillant avec différents thèmes, mais toujours dans une palette monochrome, ajoutant des nuances de sépia et de couleurs faibles. Clavijo-Telepnev s’abstient délibérément d’utiliser les couleurs pour mettre davantage l’accent sur les lignes, les formes et la plasticité. Ses travaux photographiques sont généralement attirés par le rétro. Il aime faire des photos de paysages, une architecture de l’époque de Staline. Il a également créé une série de portraits d’artistes russes de l’art moderne. source : russia-ic.com

la relève de la garde – Pentti Sammallahti
Pentti Sammallahti, né le 18 février 1950 à Helsinki, est un photographe finlandais. Wikipédia
La relève de la garde se déroule devant le palais de Buckingham à partir de 10 h 45 et dure environ 45 minutes. La relève en soi a lieu à 11 h 00. L’ancienne garde du palais de Buckingham se rassemble dans l’avant-cour du palais à partir de 10 h 30. L’ancienne garde du palais Saint James la rejoint vers 10 h 45. La nouvelle garde arrive ensuite, en provenance des Wellington Barracks, et reprend les responsabilités de l’ancienne garde lors d’une cérémonie formelle en musique.
La garde qui surveille le palais de Buckingham s’appelle la garde de la Reine et se compose de soldats actifs issus de l’infanterie de la Household Division. Les gardes sont vêtus de tuniques rouges traditionnelles et de chapeaux en poils d’ours. source : visitlondon.com