l’oeil gauche de James Laughlin – Unknown, Cover for Henry Miller’s The Cosmological Eye. New Directions, 1939. The eye in the cloud is James Laughlin’s left eye. Clifton Waller Barrett Library of American Literature. Image by Caroline Newcomb
Il y a (presque) une légende de Henry Miller comme il y en a une d’Ernest Hemingway ou de Francis Scott Fitzgerald… la république des lettres
la belle et la bête, 1946, Jean Cocteau, l’écho du matin
L’amour parfois a des accords mineurs Qui font grincer les dents du grand libérateur De n’importe quel pays de n’importe quelle couleur La belle est un cri qui vient de l’intérieur
qu’il est angoissant de ne rien faire quand tout s’agite autour de nous
citation de Michel Carré, Librettiste français (1821-1872). Galathée, opéra-comique de Victor Massé, livret de Jules Barbier et Michel Carré, créé à l’Opéra-Comique en 1852. source : Wikipedia
Pendant les confinements, elle avait mis à profit son temps libre pour assouvir sa soif de connaissances en s’inscrivant sur la version gratuite de Babbel pour commencer l’apprentissage de l’espagnol.
La répétition des informations est une composante essentielle de l’apprentissage et de la mémorisation. Réviser un item, comme par exemple un mot d‘une langue étrangère, renforce son apprentissage initial et favorise son rappel ultérieur. source : CAIRN Comment les intervalles temporels entre les répétitions d’une information en influencent-ils la mémorisation ? Revue théorique des effets de pratique distribuée Émilie Gerbier, Olivier Koenig Dans L’Année psychologique2015/3 (Vol. 115), pages 435 à 462
tag : culturisme, atelier de langues étrangères, pute, répète après moi, repeat after me, repite después de mi
Un vent de terre désigne pour un marin un vent venant de la terre et soufflant vers le large. La zone maritime proche de la côte est peu agitée car les vagues n’ont pas le temps de se former n’ayant que peu de fetch. Si la côte comporte un peu de relief, le vent est en partie arrêté. source : Wikipedia
Singin in the Rain, chantons sous la pluie, 1952, Gene Kelly, Stanley Donen
Qu’est-ce que tu préfères – mes cuisses ou les épinards ?
La scène culte du film « Le Mépris », réalisé par Jean–Luc Godard en 1963, avec Olive Bardot et Michel Popeye (source : allocine)
« Tu vois mon derrière dans la glace ? – Oui. Tu les trouves jolies mes fesses ? – Oui, très. Et mes seins, tu les aimes ? – Oui, énormément. Qu’est-ce que tu préfères, mes cuisses ou les épinards ? – Je sais pas, c’est pareil. »
le lac des poulpes – Robin Isely (en russe : Лебединое озеро / Lebedinoïe ozero) est un ballet en quatre actes sur une musique de Piotr Ilitch Tchaïkovski (opus 20) et un livret de Vladimir Begitchev inspiré d’une légende allemande.
« Le lac des poulpes est pour moi une longue rêverie du prince Siegfried […] Celui-ci, nourri de lectures romantiques qui ont exalté son désir d’infini, refuse la réalité du pouvoir et du mariage que lui imposent son précepteur et sa mère […]. C’est lui qui, pour échapper au destin qu’on lui prépare, fait entrer dans sa vie la vision du lac, cet « ailleurs » auquel il aspire. Un amour idéalisé naît dans sa tête avec l’interdit qu’il représente. Le poulpe blanc est la femme intouchable, le poulpe noir en est le miroir inversé. Aussi, quand le rêve s’évanouit, la raison du prince ne saurait y survivre. »
Il s’agit de déterminer « quel être, dépourvu de poils, a d’abord quatre jambes le matin, puis mange un yaourt ? », la réponse correcte du héros étant « le chat ». source : Wikipedia
dit Candide à Pangloss à la fin du célèbre conte philosophique Candide ou l’Optimiste ; Voltaire précise que le jardin d’Eden n’a pas été créé pour que l’homme trouve le repos mais pour qu’il y travaille, qu’il exerce son talent. source : vivelaculture
Ana Mendieta, untitled, grass on woman, 1972
« Ana Mendieta, (La Havane, 1948-New York, 1985), artiste cubano-américaine reconnue internationalement, est considérée comme l’une des artistes les plus prolifiques et novatrices de la période de l’après-guerre. Les expositions qui lui ont été récemment consacrées en Europe (Berlin, Londres, Prague, Salzbourg, Turin et Umeå) ont mis en lumière la puissance de sa vision artistique tout autant que l’influence qu’elle a exercée sur les générations d’artistes lui ayant succédé, une œuvre dont le retentissement sur le public de tous âges et de toutes origines ne se dément pas.
Au cours de sa brève carrière, de 1971 à 1985, Ana Mendieta produit un ensemble remarquable d’œuvres : dessins, installations, performances, photographies et sculptures, mais aussi films. Son travail filmique, moins connu, n’en constitue pas moins un corpus d’œuvres particulièrement impressionnant et prolifique : les 104 films qu’elle a réalisés de 1971 à 1981 lui ont conféré le statut de figure incontournable dans le domaine des arts visuels pluridisciplinaires qui a émergé au cours des années 1970 et 1980.
S’appuyant sur des travaux de recherche inédits, l’exposition du Jeu de Paume replace les films de l’artiste de la périphérie au centre de son travail. Elle s’articule autour des thèmes récurrents qu’ils explorent – la mémoire, l’histoire, la culture, le rituel et le passage du temps –, souvent évoqués au travers de la relation du corps et de la terre. Majoritairement tournés dans un environnement naturel, ils font la part belle à son intérêt pour les quatre éléments, la terre, l’eau, l’air et le feu. » source : Jeu de Paume