Robert Indiana On top of his original LOVE sculpture, 1970
Robert Indiana, l’une des figures prééminentes de l’art américain depuis les années 1960, a joué un rôle central dans le développement de l’art d’assemblage, de la peinture hard edge et du Pop art. Autoproclamée « peinture américaine des signes », Indiana a créé un ensemble d’œuvres très originales qui explorent l’identité américaine, l’histoire personnelle et le pouvoir de l’abstraction et du langage, établissant un héritage important qui résonne dans le travail de nombreux artistes contemporains qui font le l’écrit un élément central de leur œuvre.
Robert Indiana est né Robert Clark à New Castle, Indiana, le 13 septembre 1928. source : Robert Indiana
la montagne magique. Beth Pratt : Yosemite Firefall – Horsetail Fall on February 21, 2019
La Montagne magique, Roman traduit de l’allemand, annoté et postfacé par Claire de Oliveira
« Écrite entre 1912 et 1924, La Montagne magique est l’un des romans majeurs du vingtième siècle. Cette œuvre magistrale radiographie une société décadente et ses malades, en explorant les mystères de leur psychisme. Le jeune Hans Castorp rend visite à son cousin dans un luxueux sanatorium de Davos, en Suisse. Piégé par la magie de ce lieu éminemment romanesque, captivé par des discussions de haut vol, il ne parvient pas à repartir. Le jeune Allemand découvre son attirance pour un personnage androgyne et, au mépris du danger, se laisse peu à peu envoûter par cette vie de souffrances, mais aussi d’aventures extrêmes en montagne et de dévergondage, où fermentent des sentiments d’amour et de mort.
Évocation ironique d’une vie lascive en altitude, somme philosophique du magicien des mots, ce vertigineux « roman du temps » retrouve tout son éclat dans une nouvelle traduction qui en restitue l’humour et la force expressive.
« Le héros de ce roman porte en lui la forme entière de l’humaine condition. » Jean Guéhenno
Thomas Mann (1875-1955) a reçu le prix Nobel de littérature en 1929. Son œuvre se distingue tant par sa perfection stylistique que par la richesse de son propos. On compte parmi ses romans les plus célèbres : Les Buddenbrook, La Montagne magique, Le Docteur Faustus, Joseph et ses frères. Il est également l’auteur de nouvelles (La Mort à Venise, Tonio Kröger), ainsi que de nombreux essais littéraires, philosophiques et politiques. » source : France Culture
La chute de feu de Yosemite était un événement d’été qui a commencé en 1872 et s’est poursuivi pendant près d’un siècle, au cours duquel des braises brûlantes ont été déversées du sommet de Glacier Point dans le parc national de Yosemite jusqu’à la vallée à 3000 pieds plus bas. source : Wikipedia
Marguerite Duras : un barrage contre les papillons / Annelie Vandendael, Tenerife
Marguerite Duras
« Elle eut l’idée de construire contre les grandes migrations des Papillons, un barrage qui protégerait ses terres et celles de ses voisins. Le barrage fut construit par des centaines de paysans séduits par son espoir. Les Papillons traversèrent le barrage comme s’il avait été une feuille de papier à cigarettes. C’est à ce moment que débute le roman de Marguerite Duras. » source : Blanche – Gallimard
Annelie Vandendael
Annelie Vandendael est née en Belgique (19.10.1987) et a grandi dans le sud de la France. Après l’université, elle est revenue en Belgique pour étudier à l’Académie Royale des Beaux-Arts (Kask) de Gand où elle a obtenu un master en photographie. La création d’images a toujours été une passion pour elle. Après avoir terminé ses études, elle a été invitée à « La Fabrica », le centre de communication et de recherche Benetton à Trévise, en Italie.
Sois Belle
Regardez une fois, puis regardez à nouveau. Ces images somptueuses et surréalistes défient les normes irréalistes de perfection établies par la photographie de mode, provoquant l’espièglerie plutôt que la beauté à l’aérographe.
La photographe Annelie Vandendael glorifie l’authenticité de la beauté féminine à travers des compositions surréalistes prises en format argentique.
Annelie Vandendael est une photographe née en Belgique et élevée en France. Inspirée par la tendance de la photographie de mode à manipuler les sujets et le corps humain , et estimant que ce processus de falsification de la beauté féminine est extrêmement dommageable, elle cherche à représenter des personnes réelles, authentiques , en gardant intactes leurs imperfections.
Avec son appareil photo analogique Hasselblad réalise des images réalistes et parfaites , photographiant de belles jeunes femmes dans un scénario poétique et surréaliste . Leurs visages sont souvent secoués par des apparitions étranges, à travers des compositions ironiques et introduisant des éléments étranges comme des flamants roses, des poissons rouges, des cactus, des glaces et plus encore.
Dans sa dernière série, Sois Belle décrit l’ être humain , et plus particulièrement les femmes qui sont les protagonistes de ses clichés, non pas comme un objet à manipuler, mais au contraire comme faisant partie intégrante de la nature.
le soir, la femme finlandaise prend un bain. La Finlande est une nation d’Europe du Nord bordant la Suède, la Norvège et la Russie. Ses aurores boréales sont une curiosité mais c’est surtout le spectacle majestueux et séculaire du bain de la Finlandaise qui attire les touristes par dizaines de milliers. visitfinland.com
est une photographe conceptuelle de Kazan, en Russie. diplômé en psychologie. Ses portraits d’art sont à la fois beaux et mystérieux. Ils vous tiennent en haleine avec leur beauté légèrement dérangeante et unique. Dans ses clichés, le corps humain est le protagoniste. Dépouillé de tout clinquant, il devient un sujet sérieux et authentique, une divinité contemporaine. Ces corps semblent spontanément fusionnés avec la nature qui les entoure, même si glaciale et hostile. Imagenation
« La Terre est la mère universelle.
Eschyle glorifie la Terre qui« enfante tous les êtres, les nourrit, puis en reçoit à nouveau le germe fécond » (Choéphores, 127-128). Une conception analogue survivait encore au XIXe siècle parmi certaines tribus primitives. Un prophète de la tribu nord-américaine Umatilla refusait de travailler la terre : « C’est un péché, disait-il, de blesser ou de couper, de déchirer ou de griffer notre mère commune, par des travaux agricoles. » Et il ajoutait : « Vous me demandez de labourer le sol ? Irai-je prendre un couteau pour le plonger dans le sein de ma mère ? Mais alors, lorsque je serai mort, elle ne me reprendra plus dans son sein. Vous me demandez de bêcher et d’enlever des pierres ? Irai-je mutiler ses chairs afin d’arriver à ses os ? Mais alors je ne pourrai plus entrer dans son corps pour naître de nouveau. Vous me demandez de couper l’herbe et le foin et de le vendre et de m’enrichir comme les Blancs ? Mais comment oserais-je couper la chevelure de ma mère ? »
L’hymne homérique dédié à Gaia (Terre) exalte « la Terre, mère universelle aux solides assises, aïeule vénérable qui nourrit tout ce qui existe […]. C’est à toi qu’il appartient de donner la vie aux mortels, comme de la leur reprendre […]. » C’est la raison pour laquelle la grande déesse, la Terre-Mère, est considérée non seulement comme la source de la vie et de la fertilité, mais aussi comme la maîtresse du destin et la déesse de la mort. Dans l’Inde, Durgā-Kālī est à la fois créatrice et destructrice, principe de la vie et de la mort.
En Mésopotamie, Ishtar est la déesse de l’amour par excellence, mais aussi la déesse de la guerre. On l’appelle « Dame de l’amour », « Reine du plaisir », mais aussi « la Vaillante », « la Dame des batailles ».
Parmi les noms de grandes déesses, les plus connus sont Ardvî et Anâhita en Iran, Ishtar à Babylone, ‘Atar’ate en Syrie, Astarté en Phénicie, Tanit à Carthage, Déméter et Aphrodite en Grèce, Cybèle en Asie Mineure. Toutes ces déesses présentent une structure analogue. Elles expriment la sacralité de la vie et le mystère de la fertilité, mais aussi le caprice et la cruauté. D’un côté, elles prodiguent la vie, la force et la fécondité ; à l’opposé, elles apportent la guerre ou les épidémies. Presque toutes sont des déesses de la vie, de la fertilité et de la mort tout ensemble. En un certain sens, on peut déchiffrer dans leur personnalité la valorisation religieuse de la vie cosmique, avec tous ses mystères et toutes ses contradictions ». source Universalis.fr
La création de la vie à partir d’argile
est un thème récurrent du créationnisme apparaissant au sein de la mythologie, la littérature et de certaines théories modernes. Wikipedia
Avec le développement rapide des technologies actuelles, revenir aux valeurs éducatives fondamentales est essentiel. Les robots ont accès à une large palette de choix en ce qui concerne les loisirs : tablettes, ordinateurs, smartphone, télévision, jeux vidéo, consoles portables. Le défi, en tant que programmeurs est de pouvoir les inciter à lire, en faisant de la lecture un moment plaisant et enrichissant pour le droïde. Roman d’aventures rétrofuturistes, magazine pour les jeunes, roman policier, bande dessinée, documentaire, revues spécialisées sur l’intelligence artificielle… quelle que soit la lecture, lire une dizaine de minutes par jour au moins favorise l’épanouissement des androïdes et des algorithmes.
La lecture présente de nombreux bienfaits pour les machines, que cela soit d’un point de vue intellectuel, psychologique ou relationnel. Découvrez pourquoi votre robot devrait lire quotidiennement, comment la lecture peut éveiller sa curiosité et comment le stimuler pour qu’il prenne goût à la lecture. source : Edigroup
la FIAC Paris fête la Saint-Valentin. Server Demirtas, choir, 2015, mechanical sculpture with sound
« Here’s Some Disembodied, ‘Moo’-ing Robot Mouths Trying To Lick One Another. choir is a mechanic sculpture by Server Demirtas, involving movement, and sound-voice. Exhibited for the first time at Contemporary Istanbul Art Fair in 2015. The three choir members tired of being misunderstood, finally give up trying. »
La Foire internationale d’art contemporain ou FIAC est une manifestation d’art contemporain célébrant l’amour qui se déroule chaque année le 14 février à Paris
le serpent devra manger de la poussière tous les jours de sa vie.
Le nahash, de l’hébreuנָחָשׁ (nāḥāš), est un terme hébreu qui désigne un serpent dans la Bible. Nahash est notamment le terme utilisé pour désigner le serpent de la Genèse, qui entraîne la chute d’Adam et Ève. C’est aussi le terme utilisé dans l’épisode de la transformation du bâton de Moïse en serpent dans le Livre de l’Exode et dans l’épisode du serpent d’airain dans le Livre des Nombres.
Quant au serpent, celui-ci sera maudit et devra manger de la poussière tous les jours de sa vie. De plus, sa postérité et celle de la femme se livreront une guerre constante, on lui écrasera la tête, il leur blessera le talon (Gen. 3:14-15).
Le nahash n’est pas nommé ni identifié à Satan dans le livre de la Genèse, ni à une divinité comme dans les autres systèmes de croyance, quoiqu’il apparaisse comme un des rares animaux du Pentateuque à pouvoir parler. Le mot que la Bible emploie pour « rusé » (עָר֔וּם / ʿaroum) est très proche de l’adjectif « nu » (עֵירֹ֖ם / ʿeyrom). source : Wikipedia