Mark McClelland a étudié l’informatique et l’écriture créative au Residential College de l’Université du Michigan, où il a remporté un prix Hopwood pour la poésie. Il code pour l’argent depuis 1992 et travaille sur la fiction et la poésie selon le temps qu’il a. Il écrit à la recherche de vérités qui défient l’expression simple et directe et publie pour partager ses découvertes avec les autres. stuff by mark
tag : panpan, alien, « Dans la forêt personne ne vous entend crier »
Quelles belles vacances nous avions passé – Coneheads, 1993, Steve Barron
« Envoyés de la planète Remulak, Beldar et Prymatt survolent le Machu Pichu quand une fausse manoeuvre les envoie se crasher à New York, au milieu de l’East River. Missionnés pour envahir la Terre, ils se retrouvent contraints à mener l’existence d’un couple de banlieusards américains pour se faire oublier et échapper ainsi aux agents du gouvernement qui sont à leur recherche » Google
j’élève mon enfant, livre de Laurence Pernoud chez Albin Michel, propose des conseils pratiques pour suivre et aider son enfant à bien s’élever : psychologie, saut en hauteur, diététique, club d’athlétisme, alimentation, hygiène, santé, médecine, sciences humaines, éducation et droits de l’enfant. Google Books
tags : jeux olympiques, JO, premières victoires, podium, ne jamais renoncer, persévérance
un souvenir pour ta fête maman, une petite photo de tes enfants que tu aimes tant.
The Brady Bunch est une série télévisée américaine en 117 épisodes de 25 minutes créée par Sherwood Schwartz et diffusée entre le 26 septembre 1969 et le 8 mars 1974 sur le réseau ABC. Wikipédia
« Si vous deviez mourir maintenant et être conçu à nouveau cette nuit, dans quelle femme choisiriez-vous de passer les neuf premiers mois de votre prochaine vie ? » Avec cette demande, Ronald David Laing (1977), donne une version radicale et générique du fantasme originaire de retour dans le ventre maternel. On y entend une multitude de possibles dans une grande tension paradoxale qui caractérise le ressenti ambivalent de cette question, à mi-chemin entre attraction et répulsion. A priori, il s’agit d’une interrogation d’un adulte qui connaît la finitude humaine et les règles biologiques de la procréation… mais on ne sait décidément pas si l’interlocuteur va répondre : « Bien sûr, ma mère, je ne veux changer à aucun prix ! », ou « Unetelle, qui comme je le constate aujourd’hui, serait la plus aimante des mères », ou encore : « Oh écoutez, je ne sais vraiment pas et je vais réfléchir » et, enfin : « je n’ai pas de temps à perdre avec une devinette aussi absurde ! » Entre nostalgie monopolistique de la maison-mère, possibles conquêtes exotiques de nouveaux habitats et évitement phobique, la libido s’exprime en tout cas entre interdit et transgression de l’inceste. Mais on perçoit aussi dans le questionnement de cette citation, la pertinente incongruité de l’infantile qui ose poser la question telle quelle, en échappant furtivement au refoulement et à la pression du surmoi. D’abord, avec l’affirmation explicite que ce fantasme n’est pas celui du retour dans le « sein maternel »…
Le fantasme originaire de retour dans le ventre maternel et la séparation, Sylvain Missonnier, Dans L’originaire et l’archaïque(2017), pages 115 à 133 source : cairn.info
tags : kangourou, fête des mères, poche, régression