depuis qu’elle était inscrite sur facebook, elle avait pris l’habitude, à la maison, de porter en permanence des cache-tétons. Elle avait aussi, dans le salon, mis au mur les Standards de la Communauté, qu’elle avait joliment brodés et mis sous verre.
Tétons absents, iris absinthe, baby doll Surfe sur les réseaux de ses idoles, Elon Musk, Twitter-Rex, Mark Alice Cooperberg, elle en est folle
Serge Gainsbourg – Variations sur Marilou, youtube
temps estival sur la France – Weng Weng Chim / 凱汀ZERO
Une grande partie de la France va connaître des températures estivales toute cette semaine. Selon Météo France, « cet épisode de chaleur, sans être inédit, est remarquable si tôt dans l’année ». source : francebleu.fr
Kazuma Ogaeri est un photographe Moso. Il capte l’illusion
Dans son travail il y a quelque chose de la beauté et de l’humanité des écrits d’Akira Yoshimura, de l’esthétique raffinée et figée du Shokuzai de Kiyoshi Kurusawa ou du Labyrinthe des Rêves de Sogo Ishii, quelque chose du Mirages d’été de Kazu Yusuki et de la tension sexuelle, de l’empathie pour les corps violés et soumis de certains films de Koji Wakamatsu, quelque chose enfin du fétishisme et de l’obsession pour les femmes de Nobuyoshi Araki.
Et puis la nature, omniprésente, sensuelle et apaisante.
Une esthétique figée chargée de tension sexuelle et de fétichisme. Une illusion érotique en 4 chapitres : 少女 la fille, 自然 la nature, 鉄道 le train, 女性 la femme. » source : ascenseurvegetal.com
J’veux du cuir, pas du Confo, pas du But – Alain souchon / Francis Giacobetti : Jane Birkin
Francis Giacobetti, né le 1ᵉʳ juillet 1939 à Marseille, est un photographe et réalisateur de cinéma français. (Wikipedia)
Arrêtez tout, dans les magazines Nouvel Homme, Tweed et fiches cuisines Amenez les jarretelles, les bas résilles Les sexy dentelles, les talons aiguilles
Mais si j’dis ça, je casse mon image (hou) Ce serait dommage (ha) (ce serait dommage) Mais si j’dis ça, je casse mon image (hou) Ce serait dommage d’être au chômage à mon âge (ha)
J’veux du cuir, pas du peep show, du vécu (hou) J’veux des gros seins, des gros culs, ah, ah (hou) J’veux du cuir Sade et Shade et Suzy Q (Sade et Shade et Suzy Q)
Arrachez toutes, vos pull-overs Amenez le stout, l’éther Les lames de rasoir, les tubes de colle Nus sous l’manteau à la sortie des écoles
Emmanuel Macron : renaissance, la sextape – Hare Krishna, Jonas Mekas
Lors d’une conférence de presse commune avec le patron du MoDem François Bayrou, le chef d’Horizons Edouard Philippe et le président de l’Assemblée nationale Richard Ferrand, Stanislas Guérini a annoncé ce jeudi 5 mai un changement de nom pour La République en Marche. Le parti présidentiel est rebaptisé « Renaissance ». source : nouvelobs.com
Zenon Żyburtowicz : Reporter et artiste photographe. Voyageur. Membre de l’Académie Internationale de Lutèce à Paris, de l’Association des Caricaturistes Polonais, de l’Association des Photographes d’Art Polonais et de l’Association Globtroter des Journalistes de Voyage. Il a photographié pour « Schweizer Illustrierte » et « Die Ganze Woche » viennois ainsi que « Reader’s Digest », « Viva », « Polityka ».
D’où vient l’expression « la lumière au bout du tunnel » ?
Cette expression métaphorique, que l’on ne trouve pas dans les dictionnaires, nous parle d’espérance.
« Voir le bout du tunnel », « sortir du tunnel », voilà des expressions consacrées qui émergent dans le dictionnaire à la fin du XIXe siècle, au moment de la révolution ferroviaire et de la percée de galeries souterraines pour laisser passer les locomotives.
« To see light at the end of the tunnel », existe en anglais et est datée du début du XIXe siècle. Mais sa traduction en français ne figure pas dans les dictionnaires. « On ne trouve pas l’expression en tant que telle, ni à “lumière” ni à “tunnel” ni à “sortir”, comme si la langue ne l’avait pas figée », remarque Sylvianne Rémi-Giraud, linguiste et sémiologue.
Dépasser la difficulté
Selon le Trésor de la langue française, le « tunnel » au figuré est une « longue période de difficultés, de souffrances physiques ou morales dont on ne voit pas la fin ». Et de donner un exemple dans la littérature qui associe un tunnel de souffrances à la lumière, comme dans un oxymore (figure de style consistant à associer deux mots au sens contradictoire) : « L’impression de sortir d’un tunnel, de trouver la lumière, de commencer vraiment une nouvelle vie ! », écrit Roger Martin du Gard dans son livre, Jean Barois, en 1913, un récit sur la perte de la foi dans le monde moderne.
« Cette combinaison de mots, figurée, “la lumière au bout du tunnel”, tout le monde, en France, la comprend de manière immédiate », souligne Sylvianne Rémi-Giraud. Mais la « lumière » s’avère peu définissable : « On voit très bien ce qu’est un tunnel, il est associé à un souterrain, sombre, mais la lumière ? C’est un nom commun accessible à tous, qui relève d’une expérience universelle, mais qui reste difficile à saisir. Il y a bien sûr la fonctionnalité de la lumière mais il y a aussi bien plus. »
Dans la métaphore de la lumière se niche une espérance, « au bout du tunnel », « qui est sur la ligne d’horizon, à laquelle on tend, » explique Gérard Haddad, psychanalyste et auteur de nombreux ouvrages dont Antonietta. Lettres à ma disparue (Éditions du Rocher). Selon lui, cette expression permet « d’entrevoir le dépassement du moment pénible que l’on vit ». Par Olivia Elkaim source : lavie.fr
La Ronde de l’amour (Love Circles), film de 1985 réalisé par Gérard Kikoine, avec John Sibbit, Marie-France, Josephine Jacqueline Jones.
« Jack ne vit que pour et par Suzy, une jeune femme sensuelle et envoûtante. L’emprise qu’elle exerce sur lui a pour sommet ultime la nuit passionnée qu’ils passent ensemble. Mais, le lendemain matin, Suzy a disparu, de même que le portefeuille de Jack. Ce dernier, n’écoutant que son coeur et son corps, part à la recherche de la belle voleuse. Il parcourt le monde et découvre, au gré de ses escales, les plaisirs de la chair ». source : google