
Tartines ! Children in blitzed north of England eating meal from bread and Lease Lend cheese, ca. 1940 – by Hans Wild (1912 – 1969), English
tag : donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien
les débuts de l’exploration spatiale
Michael Snyder : The Family at the End of the World, on the edge of the northernmost town in the world. Saga Bernlow, the Norwegian archipelago of Svalbard.
Michael O Snyder
Documenting Environmental Change |@Natgeo Contributor | Portrait of Humanity & Decade of Change Winner | EAWXXXIV | Blue Earth Alliance | C’ville, VA, instagram
voyage au centre de la terre – Jules Verne
Composition Toy in the shape of a globe, Nuremberg, c. 1860, Bayerisches Nationalmuseum
À partir du milieu du XIXe siècle, des globes de petit format ont commencé à entrer dans les salles de jeux des enfants des familles aisées en tant que jouets éducatifs. La connaissance de la géographie non européenne s’est développée à partir des connaissances spécialisées des commerçants et des voyageurs en un contenu éducatif commun. Composé de 38 parties, les différents continents de ce globe peuvent être étudiés en détail. Des cartes des continents sont attachées au sommet des six disques. Au bas de chaque disque, se trouvent des textes explicatifs et des illustrations qui présentent la flore et la faune typiques et les habitants humains de chaque continent. Bayerisches Nationalmuseum
tags : jouet, tranche de connaissance du monde
le banquet – Bartolomeo Passerotti : Merry company, Ca. 1577
Bartolomeo Passarotti ou Passerotti est un peintre et graveur italien maniériste de la Renaissance tardive. Wikipédia
tags : Platon, la cène, le repas du dimanche midi, en joyeuse compagnie, luxure, orgie, repas de famille
vieillir chez soi – Jacob Holdt, American Pictures 1970 – 1975
Au début des années 1970, Jacob Holdt quitte son Danemark natal et arrive aux États-Unis avec 40 dollars en poche. Il avait l’intention de traverser le pays en route vers l’Amérique du Sud, mais il a été tellement choqué et fasciné par ce qu’il a vu ici qu’il a décidé de rester un moment. Lorsque sa famille était sceptique quant à la pauvreté qu’il décrivait dans des lettres à la maison, son père a envoyé un appareil photo amateur bon marché, demandant des preuves, et Holdt a commencé à créer ce portrait de l’Amérique et de sa sous-classe.
En fin de compte, il a passé cinq ans comme vagabond, vendant son sang deux fois par semaine et faisant de l’auto-stop sur plus de 100 000 miles. Il s’est lié d’amitié avec celui qui lui proposait de le conduire, et un trajet devenait souvent une offre de rester quelques jours. Il n’a jamais dit non et a finalement visité plus de 350 maisons, où il a photographié les gens avec qui il vivait : familles pauvres, millionnaires, junkies, membres du Ku Klux Klan. Ses images font écho au travail de la WPA, et ont entre autres inspiré Lars Van Trier. Plus récemment, Holdt, qui est né en 1947 à Copenhague, a travaillé dans des pays du tiers monde, documentant la vie de ceux qui vivent dans la pauvreté. source : studioxol.com
Jacob Holdt sur instagram
Comment « vieillir chez soi » ? Derrière cette simple question, d’autres se profilent : celle de l’environnement, logement et voisinage, plus ou moins adaptés et accueillants, et aussi, à cause des handicaps des vieux jours, celle de la fourniture de l’aide et des soins dans cet environnement. On doit donc inévitablement se demander aussi qui finance ces dépenses, et comment. Si le logement conditionne, au moins en partie, le besoin de soin, si la fourniture de soin et ses coûts dépendent de l’environnement, si les inégalités, de santé, de durée de vie et de logement se sont cumulées au cours de la vie, on devine que les interrelations sont multiples.
Dans beaucoup de pays, dont la France, l’assurance maladie n’inclut pas une assurance dépendance (qu’on peut préférer appeler assurance « handicap ») ; cette fameuse distinction entre le sanitaire et le médico-social est en perpétuelle discussion. Quoi qu’il en soit de la prégnance de la distinction, la question du coût du logement, la partie « hébergement » du vieillir sur place, in place, se pose universellement. source : cairn.info
tags : vieille femme au revolver, gérontologie, USA
Emilie Bailhache : Elle semble avoir des pieds minuscules
Inter Brette : Emilie Bailhache c’est souvent le cas chez les femmes qui ont un gros revolver
les gens dans les soirées mondaines avec leur tête à funérailles – Jean Grémillon : Daïnah La Métisse, 1932 / Michel Jonasz
Une jeune et belle métisse, Dainah Smith, mariée à un noir, sème le trouble parmi les passagers du paquebot de luxe qui fait le voyage entre la France et la Nouvelle-Calédonie. Sous le regard complaisant de son mari, elle se prête à la cour assidue d’élégants oisifs, pendant que les femmes médisent de sa conduite. Cependant, son comportement va avoir des conséquences dramatiques. Google