tu sais quel jour on est ? Ryan Weideman : In the Shadows, Lower East Side 1992 – saint-valentin
tu sais quel jour on est ?
Ryan Weideman : In the Shadows, Lower East Side 1992 – saint-valentin
In My Taxi est une série composée de quarante photographies extraordinaires de Ryan Weideman, chauffeur de taxi et artiste à ses heures perdues. Ses images offrent une vue en plongée sur la diversité culturelle qui caractérise l’évolution de la ville de New York entre les années 1980 et le début du XXIe siècle. Une période où la ville a connu d’énormes changements économiques et sociaux. En photographiant ces personnages dans cette période en plein essor – mannequins, poètes, drag queens, célébrités, hommes d’affaires ou prostituées – Ryan Weideman a transformé son taxi en un studio d’artiste plutôt fonctionnel. Au travers de ces images, nous assistons au passage du temps d’une dizaine d’années, et tandis que les passagers vont et viennent, Weideman reste une constante, toujours sur le siège du conducteur. Il est ainsi aussi bien le photographe que la star de ce théâtre sur roues. source : loeildelaphotographie
que cuisiner pour la saint-valentin ? Andrey Korotich
que cuisiner pour la saint-valentin ? Andrey Korotich
Saint-Valentin : les recettes à savourer en tête-à-tête
Pour fêter la Saint-Valentin, vous avez décidé de mettre les petits plats dans les grands pour passer une soirée gourmande avec votre bien-aimé(e) ? Foie gras, saumon fumé et noix de Saint-Jacques font leur come-back pour un dîner aux allures chics et poétiques. Pour un repas basé sur des produits du quotidien, misez sur des petites bouchées au fromage frais, un burger en forme de cœur, une mousse au chocolat. Le choix ne manque pas. Des recettes simples aux plus originales, il y en a pour tous les goûts. Prêt pour un tête-à-tête explosif en saveurs ? Dressez la nappe, allumez la bougie, et bon appétit 🙂 Et pour les âmes célibataires : on a toujours une bonne raison de célébrer l’amour. Famille ou amis : avec ces recettes gourmandes, dites à vos proches que vous les aimez !
Parce qu’on a tous une bonne raison de célébrer l’amour !
Faites le plein de recettes pour préparer une soirée placée sous l’oeil de Cupidon. De bons petits plats qui en jettent, des recettes simples et gourmandes…. Allumez les chandelles ! Autre option, pour satisfaire tous les amoureux : le brunch de Saint-Valentin ! La cerise sur le gâteau ? Le servir au lit ! source : cuisineaz.com
tag : dîner en amoureux, les feux de l’amour
Andrey Korotich
Andrey Korotich, Créateur digital, Fashion video director and photographer. Son travail sur 500px
saint-valentin : J-2 – Ulrich Lebeuf Antonyme de la pudeur 2007
saint-valentin : J-2
Un bloc de départ ou cale de départ ou starting-block
(de l’anglais) est un engin réglable constitué de deux cales pour les pieds, utilisé en amour pour la saint-valentin.
La fixation se fait en posant simplement le bloc de départ sur la piste, il est composé à sa base de petites pointes en acier, qui empêchent celui-ci de glisser quand le coureur s’élance et peut être rapidement retiré une fois l’athlète parti. Ils permettent aux amoureux de donner une plus grande impulsion au départ d’une course. Ils sont employés sur toutes les distances égales ou inférieures à 400 mètres.
Le coureur règle son bloc de départ en fonction de sa taille de façon à poser ses mains derrière la ligne de départ. Pour le 100 mètres, les lignes de départ (et non les blocs de départ) sont sur une même ligne alors que pour le 200 mètres et le 400 mètres, elles sont décalées pour compenser la distance plus grande à l’extérieur des virages. source : Wikipedia
Ulrich Lebeuf
est un photographe français, né en 1972. Il est également directeur artistique du Festival de photographie MAP à Toulouse et anime des ateliers en France et à l’étranger.
Membre de l’agence MYOP depuis janvier 2007, son travail photographique a été publié dans Le Monde, Libération, L’équipe, Géo, National Geographic. Depuis plus de quinze ans, les photographies d’Ulrich Lebeuf sont réalisées sur le théâtre de l’actualité : lieux de conflits ou de pouvoir, lieux où l’histoire se décide et s’écrit. Son approche est directe, documentaire et frontale, avec détachement et richesse du détail.
Son travail a fait l’objet d’expositions et de projections, dont « AZF » au Centre d’art et d’architecture de Toulouse (2003), « Violence moderne » au festival Terre d’images de Biarritz (2004), « Palestine » lors du Festival du Scoop à Angers et « Keep the Distance » à l’Espace Lhomond à Paris (2005). Initiateur du projet culturel « Territoires de fiction », ses séries « Ère de jeux » et « En attendant mon tour » ont été présentées en ouverture des Rencontres de la photographie à Arles (2006) , la galerie du Château d’eau à Toulouse, la Maison Européenne de la Photographie et à la Villette à Paris (2007).
Aujourd’hui, tout en poursuivant son travail pour la presse, il se concentre davantage sur son travail personnel, où la recherche occupe une place importante, et où il alterne les procédés photographiques selon le sujet traité : de la couleur au noir et blanc, en passant par le Polaroid, ou des procédés proches à la peinture. source : agence MYOP
Les parfums ne font pas frissonner sa narine – Bosse Barck – la liberté couchée
Les parfums ne font pas frissonner sa narine – Bosse Barck – la liberté couchée
Les cheveux dans les hortensias, elle dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, elle fait un somme : Nature, berce-le chaudement : elle a froid.
Arthur RIMBAUD 1854 – 1891 La dormeuse du val / Bosse Barck
Pulitzer Center : « Misha Friedman est un photographe avec une formation en relations internationales et en économie. Son travail apparaît dans les principales publications internationales et a été reconnu par un certain nombre de prix et de bourses. Il est l’auteur de trois livres, dont « Never Remember » (Columbia Global Reports, 2018) et « Lyudmila and Natasha: Russian Lives » (The New Press, 2015). » Le site de Misha Friedman
autres publications bretzel liquide taguées Misha Friedman
L’Idéal du Moi désigne les valeurs positives auxquelles aspire le sujet, il est lié au narcissisme et à la seconde topique freudienne. Le Moi idéal désigne une instance reposant sur un idéal de toute-puissance infantile fondée sur le narcissisme infantile. Wikipedia
Et l’on s’aimera encore lorsque l’amour sera mort. Graveyard Kiss by Charles Hewitt 1949. Hop pickers working at Goudhurst in Kent escape from the farm to a quiet spot and find time for a little romance.
Et l’on s’aimera encore lorsque l’amour sera mort.
Toute la vie sera pareille à ce matin Aux couleurs de la saint-valentin
Joe Dassin (youtube) / Graveyard Kiss by Charles Hewitt, 1949.
abandonner ; cesser de résister ; s’avouer vaincu ; céder
Origine et définition
Cette expression date de la fin du XVIIIe siècle, époque à laquelle on disait aussi « coucher les pouces » Trois écoles s’affrontent sans pitié à propos de son origine.
La première, proposée par Alain Rey, suppose qu’elle vient de l’époque des Romains où, autour de l’arène, le pouce des spectateurs servait au vainqueur d’un combat à savoir s’il devait grâcier (pouces en l’air) ou achever (pouces tournés vers le sol) son adversaire vaincu. À la même époque, le pouce tourné vers le bas servait aussi au vaincu, paraît-il, à indiquer qu’il acceptait la défaite.
La seconde, défendue par Littré, dit que la locution vient du fait que le pouce ne peut se poser ou reposer dans la main qu’à partir du moment son propriétaire renonce à tenir une arme, acceptant ainsi sa défaite. Il étaye sa théorie à l’aide la phrase suivante, écrite en 1550 par Carloix, secrétaire de François de Scepeaux () : « Et faisant une belle révérence se retira, lui étant tombé le pouce dans la main [mettant les pouces, refusant de se battre] »
Enfin, selon la dernière, la locution viendrait de l’ancêtre des menottes, les poucettes, dans lesquelles le prisonnier, donc celui qui ne devait pas résister, devait placer ses pouces où ils étaient compressés et maintenus d’autant plus fermement que ces choses pouvaient aussi servir d’instrument de torture. source : expressio.fr
Jeffrey Knight Potter signant ses œuvres J. K. Potter
est un photographe et illustrateur américain né en Californie en 1956.
Pour Potter, « le grotesque est beau, le bizarre sublime et le macabre est un cru rare et délicieux ». Il privilégie des méthodes de travail « à l’ancienne » à savoir pellicule argentique noir-blanc sans apport informatique. Il considère que la plupart de ses clichés comportent un caractère de catharsis. L’un de ses maîtres à penser est le photographe Clarence John Laughlin. source : Wikipedia