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Chaud ? Moi ? Jamais !

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Chaud ? Moi ? Jamais ! – David Blaine, l’illusionniste controversé, s’immerge à New York pour une semaine en mai 2006

David Blaine, né le 4 avril 1973 dans le quartier de Brooklyn à New York, est un prestidigitateur et illusionniste américain spécialisé en close-up et en magie de rue. Il est également mondialement connu pour ses nombreuses performances à grand spectacle dans le domaine de l’endurance. Wikipédia

tags : Damart, scaphandre, plongée, canicule

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comment affronter la nouvelle semaine ?

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comment affronter la nouvelle semaine ? Robin de Puy : la position du cavalier couché

Les photographies de Robin de Puy (née en 1986 aux Pays-Bas) partent d’un désir de raconter sa propre histoire à travers les visages des autres. Qu’il s’agisse de l’adolescente aux taches de rousseur qu’elle a remarquée alors qu’elle faisait le plein dans le Wyoming, de l’auteur, poète et chroniqueur néerlandais Remco Campert, ou du garçon Randy qu’elle a rencontré au Nevada lors de son road trip américain, de Puy voit l’appareil photo comme une aide pour comprendre le les traits et les histoires de chaque personne, et comment ils révèlent aussi quelque chose sur elle-même. Beaucoup de ses rencontres sont éphémères; un regard sincère dans la vie de quelqu’un d’autre avant que le temps ne reprenne son rythme effréné. Dans d’autres, comme Randy, ces mêmes expériences passagères se transforment en relations profondes et durables. Quelle que soit la fin qu’ils ont, Les photographies de de Puy sont toujours empreintes d’une sensibilité et d’une intemporalité qui incitent à un regard lent sur la condition humaine. Ses images sont des opportunités pour une véritable connexion humaine et, en les partageant avec le monde, nous permettent de prendre part à de tels moments. source : Robin de Puy

tag : Jean-Patrick Manchette

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la nuit toutes les mains sont bleues

la nuit toutes les mains sont bleues
la nuit toutes les mains sont bleues

la nuit toutes les mains sont bleues – Kenro Izu – Blue #1114B, 2004

Kenro Izu est un photographe japonais installé aux États-Unis, lauréat de l’édition 2000 des prix de la Société de photographie du Japon dans la catégorie « avancement culturel ». Izu fréquente l’école d’art de l’université Nihon à Tokyo de 1969 à 1972. Wikipédia

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nous irons nous baigner demain

nous irons nous baigner demain
nous irons nous baigner demain

nous irons nous baigner demain – Niki Boon, Her backyard, Summer, 2016

Né du désir de documenter la vie de mes enfants d’une manière qui leur soit fidèle, sauvage et courageuse, créative et libre, sale et frustrante. Des photos qui vivaient au delà des chérubins, et douceurs que j’ai vues dépeintes sur les réseaux sociaux.

C’est ce point de vue unique que j’apporte aux familles que j’ai eu l’honneur de photographier au cours des 10 dernières années.

Niki Boon

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cette fois les vacances avaient bel et bien commencé

cette fois les vacances avaient bel et bien commencé
cette fois les vacances avaient bel et bien commencé

cette fois les vacances avaient bel et bien commencé

la vieille qui trempait dans la mer est un roman policier français signé San-Antonio, pseudonyme notoire de l’écrivain Frédéric Dard, publié en 1988 par les éditions Fleuve Noir.

Lady M. est une vieille femme riche et excentrique, qui ne se résout pas à ne plus plaire aux hommes. En compagnie de son ami Pompilius, un ancien diplomate roumain, elle passe son temps à mettre au point des petites arnaques et de lucratifs chantages. Sensible à la flatterie d’un plagiste au physique d’Apollon, Lady M. le met au parfum de leurs activités illégales. Prenant ses quartiers sur la Côte d’Azur, le trio mijote déjà un nouveau coup. Google

tags : fauteuil roulant, on allait au bord de la mer, grand bain, EHPAD, vieux

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il y a du café ?

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tags : grasse matinée, petit-déjeuner au lit

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Bretagne : l’envie du pénis

Bretagne : l'envie du pénis
Bretagne : l’envie du pénis

Bretagne : l’envie du pénis

C’est durant ses vacances en Bretagne près du Menhir de Kérampeulven, (photo : Huelgoat Neurdein et Cie, Paris) que Sigmund Freud élabore ce concept controversé et rédige Quelques conséquences psychiques de la différence des sexes au niveau anatomique (1925).

Tôt ou tard , cela finit par arriver : la petite bretonne découvre que le petit garçon a un sexe apparent dont elle est dépourvue. Dès lors qu’elle l’a vu, elle voudrait l’avoir.

Ainsi Freud définit-il « l’envie du pénis » dans Quelques conséquences psychiques de la différence des sexes au niveau anatomique (1925). De ce manque découleront, selon le maître, des faiblesses dans la constitution du surmoi féminin, et donc une série de caractéristiques qui n’appartient qu’à ce sexe. Ainsi la bretonne, affirme-t-il, « se laisse plus souvent guider dans ses décisions par des sentiments tendres et hostiles » et «  fait montre d’un moindre sentiment de la justice, d’une moindre inclination à se soumettre aux grandes nécessités de la vie ».

« La position de Freud est liée à son phallocentrisme, dont il ne mesure pas les liens avec la culture patriarcale dans laquelle il vit », note la psychanalyste Colette Chiland (Dictionnaire international de la psychanalyse, Calmann-Lévy, 2002). « Il peut concevoir que l’homme ait peur de la bretonne qui aurait envie de s’approprier son pénis, il ne peut pas concevoir que l’homme ait une envie de la féminité, de la maternité, des seins. »

« Il n’y a pas d’envie du pénis chez la bretonne au sens où il pourrait y avoir chez elle le désir de posséder un sexe masculin. Il existe en revanche une envie du « pénis idéalisé » parce que celui-ci peut paraître incarner aux bretonnes un pouvoir phallique qu’elles désirent au même titre que les hommes », précise quant à lui le psychiatre et psychanalyste Serge Tisseron. source : Le Monde Bretagne en partenariat avec Ouest-France et l’AFB

Jean Paul Filiod : Le même Freud expliqua plus tard, dans un courrier personnel non encore publié (trouvé dans un grenier par un ami, je conserve le document, que j’ai toutefois fait traduire depuis ) les raisons pour lesquelles l’écrivain Nicolas Edme Restif a écrit L’Anti-Justine, roman érotique, anti-sadien comme son nom l’indique. Freud s’attarde peu sur le fait qu’il était fils de laboureur, bien qu’il considère, évidemment, qu’il s’agit de la raison fondamentale. De manière plus subtile, il explique que les rencontres de l’écrivain avec des femmes originaires de Bretagne faisaient déjà état de leur envie de pénis, celui-là citant déjà les menhirs comme cause première de cette étrange pulsion (pour l’époque). Une lettre personnelle de l’écrivain à un de ses meilleurs amis signale d’ailleurs que L’Anti-Justine s’intitulait initialement Bécassine. Mais Nicolas fut finalement rétif à utiliser le nom d’une Bretonne. Et pour cause.

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vieillir chez soi

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vieillir chez soi – Jacob Holdt, American Pictures 1970 – 1975

Au début des années 1970, Jacob Holdt quitte son Danemark natal et arrive aux États-Unis avec 40 dollars en poche. Il avait l’intention de traverser le pays en route vers l’Amérique du Sud, mais il a été tellement choqué et fasciné par ce qu’il a vu ici qu’il a décidé de rester un moment. Lorsque sa famille était sceptique quant à la pauvreté qu’il décrivait dans des lettres à la maison, son père a envoyé un appareil photo amateur bon marché, demandant des preuves, et Holdt a commencé à créer ce portrait de l’Amérique et de sa sous-classe.

En fin de compte, il a passé cinq ans comme vagabond, vendant son sang deux fois par semaine et faisant de l’auto-stop sur plus de 100 000 miles. Il s’est lié d’amitié avec celui qui lui proposait de le conduire, et un trajet devenait souvent une offre de rester quelques jours. Il n’a jamais dit non et a finalement visité plus de 350 maisons, où il a photographié les gens avec qui il vivait : familles pauvres, millionnaires, junkies, membres du Ku Klux Klan. Ses images font écho au travail de la WPA, et ont entre autres inspiré Lars Van Trier. Plus récemment, Holdt, qui est né en 1947 à Copenhague, a travaillé dans des pays du tiers monde, documentant la vie de ceux qui vivent dans la pauvreté. source : studioxol.com

Jacob Holdt sur instagram

Comment « vieillir chez soi » ? Derrière cette simple question, d’autres se profilent : celle de l’environnement, logement et voisinage, plus ou moins adaptés et accueillants, et aussi, à cause des handicaps des vieux jours, celle de la fourniture de l’aide et des soins dans cet environnement. On doit donc inévitablement se demander aussi qui finance ces dépenses, et comment. Si le logement conditionne, au moins en partie, le besoin de soin, si la fourniture de soin et ses coûts dépendent de l’environnement, si les inégalités, de santé, de durée de vie et de logement se sont cumulées au cours de la vie, on devine que les interrelations sont multiples.

Dans beaucoup de pays, dont la France, l’assurance maladie n’inclut pas une assurance dépendance (qu’on peut préférer appeler assurance « handicap ») ; cette fameuse distinction entre le sanitaire et le médico-social est en perpétuelle discussion. Quoi qu’il en soit de la prégnance de la distinction, la question du coût du logement, la partie « hébergement » du vieillir sur place, in place, se pose universellement. source : cairn.info

tags : vieille femme au revolver, gérontologie, USA

Emilie Bailhache : Elle semble avoir des pieds minuscules

Inter Brette : Emilie Bailhache c’est souvent le cas chez les femmes qui ont un gros revolver

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il faut vivre pour manger Ma (brette) Zèle Tophe !

souvent nous pique-niquions

souvent nous pique-niquions
souvent nous pique-niquions

souvent nous pique-niquions – Tony Ray Jones, A Day Off, Angleterre 1965-1967

Parce qu’il traquait dans ses photos la folie douce qui gouverne le quotidien des Anglais, Tony Ray-Jones a directement influencé le travail de Martin Parr. Les deux sont exposés à la Galerie Clémentine de La Féronnière à Paris.

Sur les images en noir et blanc, on voit ici un couple d’Anglais, elle en robe longue, lui en chemise blanche, pique-niquant au milieu des vaches. Là, autour d’une minuscule table, des retraités prennent le thé, avec le mot « TEA » écrit au-dessus de leurs têtes en gros caractères. Ailleurs, sur un talus, deux couples en imperméable et bottes de caoutchouc, serviette de table blanche sur les genoux, scrutent le ciel avec des jumelles. Ou encore, sur un autre cliché, un gars en chapeau et cravate, un pied sur l’escabeau et l’autre dans le vide, bricole en équilibre le haut d’une porte. Pour le visiteur de l’exposition « In black & white » , réunissant Martin Parr et Tony Ray-Jones, difficile de dire qui de l’un ou de l’autre est l’auteur de chaque photo. Il y a chez ces deux-là, dans leur observation attentive de la société anglaise, un goût pour l’humour, toujours mâtiné de tendresse. source : telerama.fr

tags : pique-nique entre les vaches, vacances à la campagne

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avec l'Otan, va, tout s'en va Ma (brette) Zèle Tophe !

tu m’aimes toujours ?

tu m'aimes toujours ?
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tu m’aimes toujours ? André Kertész, Marionnettes de Pilsner. 1929

Une marionnette est une figurine articulée ou non, en bois, carton ou toutes autres sortes de matériaux, manipulée par une ou plusieurs personnes, traditionnellement cachées dans un castelet. Wikipédia

tag : la femme et le pantin