House (ハウス, Hausu) est un film d’horreur japonais réalisé par Nobuhiko Ōbayashi, sorti en 1977
Une jeune lycéenne nommée « Angel » se rend à la maison de campagne de sa grand-tante malade, accompagnée de six de ses camarades de classe : Gari, Merodî, Kunfû, Makku, Suîto et Fanta. Les sept filles devront faire face à des évènements surnaturels. (Wikipedia)
Betty Boop est l’héroïne d’une série de dessins animés américains créée par Fleischer Studios. Le personnage apparaît pour la première fois en 1930 (Wikipedia)
Une bulle de savon est un mince film d’eau retenu par une pellicule de molécules savonneuses, formant une sphère, dont la surface est chatoyante. Cette bulle, remplie d’air, reste stable quelques instants, durant lesquels elle est capable de flotter dans l’atmosphère, mais elle est sensible au contact avec des corps solides. (Wikipedia)
Hans Wolf – Bellenblazen, 1950-59
Vers 1930, Hans Wolf entre en contact avec Joris Ivens et est son assistant pendant une courte période. Par la suite, à l’invitation du cinéaste Jean Dréville, il travaille à Paris comme assistant caméraman pour le film Pomme d’Amour . En raison de la crise économique, il n’a pas pu trouver de travail dans l’industrie cinématographique après ce film.
En errant dans Paris, Wolf a commencé à prendre des photos. Plusieurs de ses images expérimentales saisissantes ont été publiées par le magazine Filmliga . A son retour de Paris, il entre en contact avec le groupe de Paul Schuitema et s’installe un temps au centre communautaire de Voorburg, où habite également Emmy Andriesse. En 1935 et 1936, il est l’assistant de Piet Zwart.
Étant un communiste dévoué, les amis et clients de Wolf venaient de cercles avec des convictions similaires. Après la Seconde Guerre mondiale, par exemple, il était le photographe permanent d’ Uilenspiegel . De plus, il réalise principalement des portraits d’enfants. Ces photos devaient être publiées à la fin des années 1950 par la maison d’édition d’Amsterdam Paris, mais malgré un contrat le livre n’a jamais été publié. Cette rupture de contrat a poussé Hans Wolf à abandonner la photographie et à devenir professeur de français. source : geheugen.delpher.nl
la nuit du chasseur (The Night of the Hunter) est un film noir américain réalisé par Charles Laughton, sorti sur les écrans en 1955.
Un prêcheur inquiétant poursuit dans l’Amérique rurale deux enfants dont le père vient d’être condamné pour vol et meurtre. Avant son incarcération, le père leur avait confié dix mille dollars, dont ils ne doivent révéler l’existence à personne. Pourchassés sans pitié par ce pasteur psychopathe et abandonnés à eux-mêmes, les enfants se lancent sur les routes. allocine
aux Champs-Elysées – J.J. Grandville : from A Comet’s Journey, from Un Autre Monde, published 1844
aux Champs-Elysées – J.J. Grandville : from A Comet’s Journey, from Un Autre Monde, published 1844 / Joe Dassin
Jean-Jacques Grandville
Illustrateur et caricaturiste français (1803-1847)
« Né à Nancy dans une famille d’artistes et de comédiens, Jean-Jacques Grandville fait très tôt preuve d’un talent de caricaturiste, s’initiant en recopiant les dessins qu’il trouve dans la presse satirique. Il commence sa carrière artistique comme apprenti miniaturiste dans l’atelier de son père, puis dans celui d’un miniaturiste parisien, Léon Larue, qui le fait venir à la capitale. Dès 1820, il conçoit des créatures hybrides, mi-hommes mi-animaux, qui deviendront rapidement la marque de son talent. Au dessin, il associe volontiers les jeux de mots teintés d’ironie. La lithographie, nouvelle technique d’impression et de représentation, connait du succès et contribuera singulièrement à la gloire de Grandville.
C’est avec « Les Métamorphoses du jour » (1828-29), une série de 70 scènes dans lesquelles des personnages humains sont représentés avec une tête d’animal en situation pour un rôle dans la comédie humaine, qu’il connait le succès. Dès lors, des journaux tels que La Silhouette, L’Artiste, La Caricature, Le Charivari lui passent commandes. Ses caricatures politiques suscitent également l’engouement mais la censure l’en détourne et à partir de 1835, il se tourne vers l’illustration de livres où la satire sociale et l’opposition politique s’exprime encore. Il illustre alors divers ouvrages, tels que « Scènes de la vie privée et publique des animaux », une satire initiée par Jules Hetzel en référence à « La Comédie humaine », et au « Diable à Paris ». Il illustre également des œuvres d’Honoré de Balzac, les chansons de Béranger, les Fables de La Fontaine (1838) et celles de Florian, Don Quichotte de Cervantes, les Voyages de Gulliver de Swift, Robinson Crusoé de Daniel Defoe. Il a également continué à publier des recueils de lithographies : Les Fleurs animées (1830), Un autre monde (1844), Les Cent Proverbes (1845). De nombreux commentateurs postérieurs le voient comme une sorte de précurseur des grands maîtres de l’animation au cinéma ». source : Galerie Glénat
L’anémochorie est la dispersion par le vent des songes et diaspores. Il s’agit d’un des trois types de dissémination assurée par un agent extérieur (allochorie). C’est le mode de dispersion principal d’environ 90 % des espèces végétales (surtout les arbres, en raison de leur taille). source : Wikipedia
On m’a vu dans le Vercors, lâcher des spores (Alain Bashung)