Lucien est un jeune poète inconnu dans la France du XIXe siècle. Il nourrit de grands espoirs et veut forger son destin. Il quitte l’imprimerie familiale de sa province natale pour tenter sa chance à Paris au bras de sa protectrice des arts. Rapidement livré à lui-même dans cette ville fabuleuse, le jeune homme va découvrir les coulisses de ce monde voué à la loi du profit et du faux-semblant. roman d’Honoré de Balzac publié en trois parties entre 1837 et 1843
Le photographe et artiste japonais Haruhiko Kawaguchi enveloppe les couples, les familles, les structures et les véhicules dans des sacs en plastique scellés pour représenter la connexion et l’unité.
« Je veux exprimer l’amour à travers mon travail, car tout dans le monde est basé sur l’amour. »
« Les gens qui s’aiment sont instinctivement attirés l’un vers l’autre et ils espèrent le devenir. Pour représenter ce pouvoir de l’amour, j’ai photographié des couples scellés sous vide – un projet que j’ai appelé « Flesh Love Returns ».
Pour cela, j’ai photographié les couples à leurs endroits les plus importants. Ils ont décidé de l’emplacement et j’ai décidé du meilleur angle là-bas. Certains couples ont choisi leur propre chambre, certains choisissent le lieu de travail où ils se sont rencontrés pour la première fois et certains ont choisi un restaurant où ils ont eu leur tout premier rendez-vous. source : theinspirationgrid.com
résister à l’envahisseur – un étranger dans mon jardin
commentaire fait dans un groupe : « ce mâle cherche à s’accoupler , il ne lutte pas contre un envahisseur ». Je me disais aussi qu’il courait étonnamment vite. Par ailleurs, s’accoupler avec l’envahisseur comporte toujours des risques.
Marc Olivier Cléry : Jackie Raspaud Il ne cherche pas à s’accoupler avec une chaussure. C’est un comportement territorial fréquent chez les mâles.
Inter Brette : Marc Olivier Cléry oui, moi-même, j’ai tendance à marcher sur les pieds de mes rivaux potentiels
Marc Olivier Cléry : Inter Brette Ce genre de mâle si vous allez dans son enclos en tongues il vous mord les orteils.
Inter Brette : Marc Olivier Cléry c’est une excellente idée, je pense essayer
David et Goliath / Ukraine / un village peuplé d’irréductibles Gaulois résiste encore et toujours à l’envahisseur / résistance / fables de Jean de la Fontaine : le Lièvre est la tortue / invasion / attention, tortue méchante
Dieu est une image… Nietzsche s’exprime presque toujours de façon imaginée, il en joue avec brio, « Dieu » veut dire quelque chose qui possède une épaisseur philosophique. Pourquoi choisir ce mot ? Dieu représente le sacré, ce qu’on vénère, ce qu’on a plus de précieux quand on est croyant, ce qui constitue la norme indiscutable, objective, de l’existence, et c’est précisément cela que Nietzsche emprunte à la notion de Dieu pour le transporter à l’ensemble de la vie humaine… Par Dieu, il va désigner ces choses qui sont le sacré, les croyances fondamentales, capitales, réglant la vie humaine telle qu’elle est organisée en Occident. Nietzsche nous dit que ce qu’il y a de sacré, d’intouchable (ce qu’il va appeler techniquement des « valeurs » quand il s’adressera aux philosophes), ces valeurs sont en crise, et même, en train de perdre leur statut de valeurs, de normes, de références… source : France Culture
tags : Jésus, la chute des idoles
Andre Baraglioli : Il va moins bien marcher, maintenant…
Le jeune capitaine de navire Mitya tombe amoureux de la belle inconnue dès le premier regard, mais elle disparaît. Il doit trouver cette fille dans la grande ville, mais il ne connaît même pas son nom et son adresse.
Prenez un jour « normal », sans guerre, sans catastrophe, sans aucun viol, sans fermeture d’usine, sans expulsion… ç’est bon, vous l’avez trouvé ?
Cette journée internationale du bonheur existe bel et bien et elle a été décrétée par l’ONU à l’unanimité des pays membres. Ni la Russie ni la Chine n’ont exercé leur droit de veto.
Une journée alibi ?
La résolution de l’assemblée générale de l’ONU est explicite, elle invite chaque état-membre à célébrer cette Journée comme il se doit, notamment dans le cadre d’initiatives éducatives et d’activités de sensibilisation. source : Journée mondiale
Je suis venu te dire que je m’en vais Tes sanglots longs n’y pourront rien changer Comme dit si bien Verlaine au vent mauvais Je suis venu te dire que je m’en vais Tu t’souviens … et tu pleures Tu sanglotes, tu gémis à présent qu’a sonné l’heure Des adieux à jamais (ouais) Je suis au regret D’te dire que je m’en vais Car tu m’en a trop fait
Années passées, vendu, jeté Porté par des aborigènes Ce p’tit pull de laine Petit pull de laine Je l’ai retrouvé sur un marché Il me va si bien je l’aime
Et voilà qu’un jour, j’étais fou d’amour Un énergumène, une mauvaise chienne M’a volé ma laine, mon p’tit pull de laine Et j’ai eu la haine Petit pull de laine Je l’ai reconnu au bout d’une rue Elle faisait l’tapin sans gène Sous mon pull de laine Petit pull de laine La trop c’est trop, j’sors le couteau, Et j’dis fini, j’veux plus qu’on l’aime Ce p’tit pull de laine Qu’était pas pur laine Mélangé de peine Vilain pull de laine Maudit pull de laine
avec le temps, mes tissus s’étaient relâchés – Jakob Hunosoe
avec le temps, mes tissus s’étaient relâchés – Jakob Hunosoe
Avec le temps Avec le temps, va, tout s’en va L’autre à qui l’on croyait pour un rhume, pour un rien L’autre à qui l’on donnait du vent et des bijoux Pour qui l’on eût vendu son âme pour quelques sous Devant quoi, l’on s’traînait comme traînent les chiens Avec le temps, va, tout va bien
« Entre sculpture et photographie – entre le physique et l’éphémère – les œuvres de Jakob Hunosøe se déploient. Dans ses images, le monde quotidien des objets est assemblé dans des constellations inhabituelles. Sur l’une des photographies, une cruche à vide est en équilibre sur l’abat-jour inversé d’un lampadaire ; ici, les deux objets vont étonnamment bien ensemble. Au moment même où l’équilibre réussit, un petit tableau se produit, un tableau harmonisé en termes de couleur et de forme ; une possibilité qui ne peut être réalisée qu’en un seul instant et qui est maintenue dans la photographie comme un état permanent.
Le processus de fabrication de « l’ abat-jour aligné avec le bord d’une table » .
En manipulant des objets du quotidien, Hunosøe met en scène une série de moments sculpturaux spéciaux à immortaliser par la caméra. Une tomate rouge brille comme une ampoule colorée d’une prise de courant, la partie en verre d’une cafetière se gonfle en gonflements mous, un tas de verres à bière balance, soutenant une rampe. Le potentiel sculptural inné d’objets plutôt communs tels que des chaises, des lampes, des radiateurs, des ustensiles de cuisine, des équipements de salle de bain, des raquettes et des outils est libéré dans la photographie.
IL NE MANIPULE PAS À L’AIDE D’UN ORDINATEUR, MAIS RÉORGANISE PLUTÔT LE MONDE RÉEL«
« Olaf Martens revient sans cesse à Saint-Pétersbourg. La magnifique métropole de la Neva l’attire irrésistiblement. Il n’est pas seulement fasciné par l’abondance de motifs brillants, matière pour l’appareil photo d’un insatiable curieux.
Cela commence par la photographie grotesque d’un modèle féminin pompeux en papier mâché. La silhouette imposante roule sur un camion à plateau sur les pavés d’une rue bordée de façades wilhelminiennes en ruine. Les photographies d’Olaf Martens ne laissent personne indifférent », c’est ainsi que le conservateur Harald Kunde a un jour décrit les réactions souvent passionnées à vos œuvres ». source : Klaus Honnef sur le site d’Olaf Martens
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