mes amis ont toujours été là pour moi
tag : crocodiles, amis de trente ans
mes amis ont toujours été là pour moi
tag : crocodiles, amis de trente ans
il était un phare pour ses contemporains
Adam Niklewicz — Sometime Last January I Had Awoken in the Morning with A Hand Up [conceptual sculpture; fabric, wood, light bulb, rotating device, 2005]
Claude François « Phare d’Alexandrie, Alexandra » (1978) youtube (1978)
autres publications bretzel liquide taguées Adam Niklewicz
tag : repassage
en avant !
Throne of Blood ‘蜘蛛巣城’ 1957 · dir. Akira Kurosawa
« Macbeth » japonais avec un samurai et sa femme malhonnête : Alors qu’ils traversent une forêt après une bataille, les généraux Washizu et Miki rencontrent un esprit. Celui-ci prédit que Washizu deviendra seigneur du Château de l’araignée, mais que ce seront les descendants de Miki qui lui succéderont. source : google
Ça vit d’air pur et d’eau fraîche un oiseau
Fais comme l’oiseau
Michel Fugain et le Big Bazar par l’INA
Ça vit d’air pur et d’eau fraîche, un oiseau
D’un peu de chasse et de pêche, un oiseau
Mais jamais rien ne l’empêche, l’oiseau
D’aller plus haut
tag : barbarie de prédation
les musiciens du coeur – @ecologyhomestones
tags : la musique elle vient de là elle vient du coeur, viande romantique, les meilleurs morceaux
le matin en banlieue – Aymeric Louis
Aymeric Louis est né en 1975 à Dijon, il vit et travaille à Marseille. Le Steampunk, « futur à vapeur », est un genre de science-fiction proche de l’univers de Jules Verne. C’est aussi la station improbable d’un réseau underground, en construction, composé de l’ensemble des œuvres, des lieux, des espaces passés présents et futurs que l’artiste a investi pendant sa résidence sur Rodez. Peuplé de monstres improbables, l’univers d’Aymeric Louis avoue quelque parenté avec le surréalisme mais reste ancré dans un quotidien décalé où animaux, végétaux et objets domestiques atteignent des proportions gigantesques.
S. SERRA
tags : King Kong vert, Hulk, fête des voisins, Qu’elle était verte ma banlieue
La chevauchée des Walkyries – Thomas Dodd : Night Flight, vol de nuit
Walkürenritt ou Ritt der Walküren est le terme populaire pour désigner le prélude de l’acte III de l’opéra Die Walküre composé par Richard Wagner.
Painterly Photography by Atlanta artist Thomas Dodd
autres publications bretzel liquide taguées Thomas Dodd
la lumière au bout du tunnel
D’où vient l’expression « la lumière au bout du tunnel » ?
Cette expression métaphorique, que l’on ne trouve pas dans les dictionnaires, nous parle d’espérance.
« Voir le bout du tunnel », « sortir du tunnel », voilà des expressions consacrées qui émergent dans le dictionnaire à la fin du XIXe siècle, au moment de la révolution ferroviaire et de la percée de galeries souterraines pour laisser passer les locomotives.
« To see light at the end of the tunnel », existe en anglais et est datée du début du XIXe siècle. Mais sa traduction en français ne figure pas dans les dictionnaires. « On ne trouve pas l’expression en tant que telle, ni à “lumière” ni à “tunnel” ni à “sortir”, comme si la langue ne l’avait pas figée », remarque Sylvianne Rémi-Giraud, linguiste et sémiologue.
Selon le Trésor de la langue française, le « tunnel » au figuré est une « longue période de difficultés, de souffrances physiques ou morales dont on ne voit pas la fin ». Et de donner un exemple dans la littérature qui associe un tunnel de souffrances à la lumière, comme dans un oxymore (figure de style consistant à associer deux mots au sens contradictoire) : « L’impression de sortir d’un tunnel, de trouver la lumière, de commencer vraiment une nouvelle vie ! », écrit Roger Martin du Gard dans son livre, Jean Barois, en 1913, un récit sur la perte de la foi dans le monde moderne.
« Cette combinaison de mots, figurée, “la lumière au bout du tunnel”, tout le monde, en France, la comprend de manière immédiate », souligne Sylvianne Rémi-Giraud. Mais la « lumière » s’avère peu définissable : « On voit très bien ce qu’est un tunnel, il est associé à un souterrain, sombre, mais la lumière ? C’est un nom commun accessible à tous, qui relève d’une expérience universelle, mais qui reste difficile à saisir. Il y a bien sûr la fonctionnalité de la lumière mais il y a aussi bien plus. »
Dans la métaphore de la lumière se niche une espérance, « au bout du tunnel », « qui est sur la ligne d’horizon, à laquelle on tend, » explique Gérard Haddad, psychanalyste et auteur de nombreux ouvrages dont Antonietta. Lettres à ma disparue (Éditions du Rocher). Selon lui, cette expression permet « d’entrevoir le dépassement du moment pénible que l’on vit ». Par Olivia Elkaim source : lavie.fr
Gif of an Icon – Audrey Hepburn
L’exposition Gifs of an Icon consacrée à Audrey Hepburn à la National Portrait Gallery fut l’événement culturel de l’été 2015 à Londres (2/07 – 28/10/15). Y furent dévoilées, en plus des grands clichés animés de l’inoubliable actrice pris par les meilleurs créateurs de gifs de l’époque, des images et des couvertures de magazines jamais publiées appartenant à ses proches, notamment à son fils Luca Dotti qui a suivi de très près l’organisation de ce projet. source : booknode.com
de la difficulté de choisir un bon premier ministre – Monty Python Flying Circus : ministry of silly walks ( ministère des démarches ridicules )
Le Premier ministre « dirige d’un pas ferme l’action du gouvernement » (art. 21 de la Constitution). – Il applique les orientations politiques du président de la République.
C’est l’une de ses marques de fabrique, son empreinte, sa signature. Emmanuel Macron aime remanier lentement. Alors que s’affolent les bookmakers politiques, que d’improbables castings occupent les conversations autour du zinc et du petit noir, lui cogite, consulte et semble prendre un malin plaisir à user les nerfs des partants tout autant que des impétrants. « Il faut faire les choses en bon ordre. Écouter, respirer : il y a un apaisement à avoir avec toutes et tous, on sort de cette campagne présidentielle où il y a eu parfois un peu de tensions, il est important qu’on agisse et qu’il y ait un retour au calme et à la concorde », a-t-il lancé lors de son déplacement, vendredi, dans les Hautes-Pyrénées. Et d’ajouter : « c’est la première fois depuis 1965 qu’on a une continuité, donc il faut accepter avec beaucoup de délicatesse humaine de dire on a une équipe qui termine ce mandat […], on continue à préparer la suite, et puis l’investiture étant faite, pouvoir se reprojeter ». source : ladepeche.fr