la playmate du vendredi
tag : pêcheuse
la matière silencieuse des souvenirs – Alena Shymchonak
Alena Shymchonak (Estonia b. 1986) « One Summer Day », c. 2018 Oil on Canvas, 50 × 40 cm, sur instagram
les jours heureux à la mer – Angelica Alzona
Angelica Alzona est une directrice artistique et illustratrice philippine-américaine basée à New York et originaire de la région métropolitaine de DC. Elle est actuellement responsable des visuels chez G/O Media, dirigeant le département artistique de Gizmodo, Jezebel, Deadspin, Kotaku, The Root, Lifehacker et Jalopnik, et avant cela, Gawker et Splinter. Vous pouvez également trouver son travail dans les pages du New York Times, du Washington Post et du New Yorker.
On allait dans le désert, Avec mon père, ma sœur, ma mère
Michel Jonasz / Nick Hannes, Dubaï, désert d’Al Qudra
Nick Hannes est un artiste photographe belge né à Anvers en 1974 ; il vit et travaille à Ranst, en Belgique. Diplômé de l’Académie royale des beaux-arts (KASK) de Gand et ancien reporter d’images, il présente une imagerie universelle au sein de laquelle l’homme est confronté à son environnement. source : singulart.com
autres publications bretzel liquide taguées Nick Hannes
tags : plage, bout du monde, sécheresse
Nous irons jusqu’à San Francisco
Tiens bon la vague et tiens bon le vent
Hissez haut! Santiano !
Si Dieu veut, toujours droit devant
Hugues Aufray, youtube
souvenir de Palavas-Les-Flots – vintage Sea Serpent Poster Print Par Arthur Rackham (le rouge) 1908 : le poulpe colossal
Arthur Rackham (19 septembre 1867 – 6 septembre 1939), est un artiste britannique, illustrateur de nombreux livres. Wikipedia
tag : carte postale
faire surface
Michel Rajkovic, photographe
autres publications bretzel liquide taguées Michel Rajkovic
tag : sous-marin
le jour ET la nuit – Katrien de Blauwer
Katrien de Blauwer est née dans la petite ville provinciale de Ronse (Belgique). Après une enfance troublée, elle s’installe très jeune à Gand pour étudier la peinture. Plus tard, elle a fréquenté l’Académie royale d’Anvers pour étudier la mode. Une étude qu’elle a abandonnée. C’est à cette époque qu’elle réalise ses premiers cahiers de collages, en fait des études et des moodbooks pour des collections de mode. Plus tard, elle a commencé à collectionner, découper et recycler des images en tant qu’auto-investigation thérapeutique.
L’art est une garantie de santé mentale. Louise Bourgeois
Katrien De Blauwer se qualifie de « photographe sans appareil photo ». Elle collectionne et recycle des images et des photos de vieux magazines et journaux. Son travail est à la fois intimiste, correspondant directement à notre inconscient, et anonyme grâce à l’utilisation d’images trouvées et de parties de corps découpées. Ainsi, son histoire personnelle devient l’histoire de tous. Le collage opère une sorte d’universalisation, soulignant l’impossibilité de s’identifier à un seul individu, tout en permettant de se reconnaître dans l’histoire. L’artiste devient un intermédiaire neutre : sans être l’auteur des photographies, elle se les approprie et les intègre dans son propre monde intérieur, un monde qu’elle révèle à la troisième personne.
Nous ne voyons pas les choses telles qu’elles sont,
nous les voyons telles que nous sommes. Anaïs Nin
Katrien De Blauwer donne un nouveau sens et une nouvelle vie à ce qui est résiduel, sauvant les images de la destruction et les inscrivant dans une nouvelle narration qui allie intimité et anonymat. Son travail traite donc essentiellement de la mémoire. Mémoire par accumulation plutôt que par soustraction. Son travail rappelle les procédés du photomontage ou du montage de film. La coupe servant de cadre qui marque l’essentiel. source : Katrien de Blauwer
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le bout du monde – Hideo Tanaka — Rest (oil on linen, 2021)
Hideo Tanaka sur instagram
tag : Titanic