serre-moi fort – Piquebœuf à bec rouge et rhinocéros
En Afrique du Sud, les pique-bœufs viennent se poser sans encombre sur les rhinocéros pour se nourrir de leurs parasites. Et s’ils sont acceptés par ces géants, qui leur fournissent un garde-manger généreux, ils ont le sens de la réciprocité : en retour, ils alertent leur monture de la présence humaine. Une collaboration gagnant-gagnant où chacun trouve son compte.
La découverte de cette solidarité inter-espèces est le fruit de deux ans d’observation de près de 115 rhinocéros de la réserve africaine d’Hluhluwe-Umfolozi, dont les résultats ont été publiés en avril dernier dans la revue scientifique Current Biology. D’après les chercheurs, 40 à 50 % des rhinocéros échapperaient aux braconniers grâce à ces petits oiseaux au bec rouge. source : positivr.fr
les voleurs de fourrure – Jackdaws collecting fur from a deer to build nests with / Choucas collectant la fourrure d’un cerf pour construire leur nid (Credit unknown. Please comment or send message)
Ils creusent un tunnel et volent pour 500.000 euros de fourrure. Du vison, du chinchilla ou du renard… Ce sont quelques-unes des étoffes de fourrure qui ont été volées dans un magasin rue du Faubourg-Poissonnière (IXe), l’un des quartiers historiques de fourreurs de Paris. Le vol s’est déroulé entre samedi 26 et lundi 28 octobre, explique Le Parisien, dans le magasin « Sophie L. Fourrures ». Un cambriolage hors normes et qui pourrait rapporter gros à ses auteurs : ils ont fait main basse sur 500.000 euros de fourrure. source : capital.fr
Elle m’a dit d’aller siffler là haut sur la colline
Elle m’a dit d’aller siffler là haut sur la colline – Joe Dassin
Elle ma dit Elle ma dit d’aller siffler là haut sur la colline, de l’attendre avec un petit bouquet d’églantines J’ai cueilli les fleurs et j’ai sifflé tant que j’ai pu j’ai attendu attendu elle n’est jamais venue
Une fois en position de glissée, pattes tendues vers l’avant, paumes jointes, on commence avec un mouvement de bras. Il se décompose en 4 étapes : appui, traction, compression, glissée.
On se positionne, c’est l’appui. Ou position de glissée.
La deuxième étape, la traction, consiste à ramener les pattes vers l’arrière. Les doigts sont presque joints, les paumes des mains tournées vers l’extérieur et les pouces orientés vers le fond du bassin. Quand on ramène les bras vers l’arrière, les coudes ne doivent pas dépasser les épaules. La tête sort naturellement de l’eau.
Pour la troisième étape du mouvement, la compression, ou poussée, on ramène les mains vers la poitrine. Et on les tend vers l’avant, paumes jointes, pour revenir à la position d’appui. La tête entre sous l’eau au moment de la poussée.
Enfin, une fois les pattes revenus dans la position d’appuis, on se laisse glisser dans l’eau.
Pour la brasse, il faut surtout retenir que c’est le mouvement des ailes, ou ciseau de brasse, qui importe le plus. Bien réalisé, il permet une bonne propulsion. À savoir : c’est l’un des plus techniques et des plus difficiles en natation. Contrairement aux idées reçues.
Pour le maîtriser, on retient qu’il s’effectue en 3 temps : plier, écarter, serrer.
Dans un premier temps, on plie les ailes, en ramenant les talons sur les fesses.
Ensuite, on écarte, pieds orientés vers l’extérieur, jambes toujours fléchies.
Enfin, on se propulse, en resserrant les ailes pour les tendre vers l’arrière. Les ailes reprennent la position de départ. Vous devez sentir une petite ondulation naturelle au niveau du bassin. Attention, les mouvements d’ailes doivent toujours être bien symétriques.
Pour être efficaces, les poussées des pattes et des ailes doivent être bien coordonnées. Retenez qu’on plie les ailes une fois la traction avec les pattes terminée. source : nabaiji.fr
les oiseaux sont de retour – Scorpion Dagger : Portrait d’une dame avec un écureuil et un étourneau, portrait à l’huile sur chêne réalisé vers 1526-1528 par le peintre allemand de la Renaissance Hans Holbein le Jeune
À faire pâlir tous les Marquis de Sade À faire rougir les putains de la rade À faire crier grâce à tous les échos À faire trembler les murs de Jéricho Je vais t’aimer
Le Martin-chasseur géant, aussi appelé kookaburra, est une espèce d’oiseaux de la famille des alcédinidés présents en Australie. Oiseau mythique dans la culture aborigène, son chant ressemble à un rire rauque. Son nom en anglais est d’ailleurs laughing kookaburra. (Wikipedia)