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12 raisons pourquoi vous devez jouer du ukulélé maintenant
Si on vous demande quel est le premier instrument qui vous vient à l’esprit quand vous pensez à Hawaï ? Vous pouvez dire le piano, et c’est vrai qu’il faut avouer que la blague est bonne. Mais très honnêtement, on connaît tous la réponse : c’est le UKULELE. C’est un classique de la culture surf et de tout ce que ça évoque : la plage, le soleil, les vacances, le feu de camp à gauche, les vahinés à droite, le couché de soleil en face, et la chanson « Somewhere Over the Rainbow » de The Wizard of Oz reprise avec succès par Israel Kamakawiwo’ole.
Vous ne pensiez peut-être pas que les ukuleles sont « dans le coup » ou à la mode, mais ces petits instruments se sont frayés un chemin dans le cœur de millions de personnes. source : ukulele-masterclass.com
Souris puisque c’est grave, Alain Chamfort / A Melancholy Thought by Francesco Hayez (1791-1882) 1842
Souris puisque c’est grave Seules les plaisanteries doivent Se faire dans le plus grand sérieux Souris puisque c’est grave Si les dieux te déçoivent Offre-leur un visage radieux
Alain Chamfort (youtube) / A Melancholy Thought by Francesco Hayez (1791-1882) 1842
le plaisir de lyre – Barbara Hepworth, Orpheus, 1956
le plaisir de lyre – Barbara Hepworth, Orpheus, 1956
La pièce de Hepworth de 1956, une sculpture en bronze sur un socle en bois, est l’une des quatre œuvres d’Orphée et un des premiers exemples de son passage de la sculpture principalement dans la pierre et le bois à son inclusion de métaux. Cordé et en forme de parabole, Orphée (Maquette 1) est pensé comme une allusion à la lyre du musicien mythique. source : theguardian.com
le son du wok le soir sur le trottoir (ou video perso)
le son du wok le soir sur le trottoir / Street Music in Prague. The Hang Instrument Steel Pan. Old Town Square
C’est à Felix Rohner et à Sabina Schärer que l’on doit l’invention du Hang. Sous le nom d’entreprise PANArt, ils fabriquaient déjà le steel-drum (un instrument d’orchestre des Caraïbes qui avait fait fureur en Europe dans les années 1970). Mais déjà PANArt innovait dans son petit atelier Suisse à Berne. En effet, Felix et Sabina avaient notamment développé un alliage d’acier nitruré appelé « Pang » aux propriétés prometteuses. Ce matériau jouera un rôle important dans l’invention du Hang dont le son intimiste et crystallin se distingue nettement de celui du steel-drum, plutôt festif et bruyant.
Au fond, le Hang est né d’une idée simple: et si l’on pouvait jouer du steel-drum avec ses mains? Et si l’on pouvait ressentir cette même intimité avec la tôle d’acier que celle l’on ressent avec d’autres instruments de percussions en peau, en bois ou en terre cuite? source : sylvainpasliermusic
Une machine à coudre la musique est un outil permettant de réaliser un tissage linéaire prenant appui sur une pile de chansons, de compositions instrumentales ou de tout autre matériaux musical plan et souple (vinyle 33 tours). Les machines à coudre sont utilisées pour assembler des morceaux, empêcher qu’un souvenir ne s’effiloche (surfiler), combiner des contrepoints selon un motif donné (broder).
Les machines à coudre sont utilisées dans quasi tous les domaines domestiques, artisanaux et industriels où l’on manipule des sons : couture domestique, patchwork, fabrication et réparation de best of
Bien que n’étant pas indispensable au foyer, elles restent l’un des outils mécaniques domestiques les plus populaires. Et d’une manière générale, c’est surement un des outils mécaniques le plus populaire, Ghandi dira d’elles qu’elles sont « one of the few useful things ever invented ». source : Wikipedia
« Comme une pierre Tu veux rester à ses côtés Maintenant, tu n’as plus peur De voyager les yeux fermés Une flamme brûle dans ton coeur Suzanne t’emmène écouter les sirènes Elle te prend par la main Pour passer une nuit sans fin Comme du miel, le soleil coule Sur Notre Dame des Pleurs Elle te montre où chercher Parmi les déchets et les fleurs Dans les algues, il y a des rêves »
Le hammered dulcimer est un instrument de musique à cordes frappées, à distinguer du dulcimer des Appalaches, qui est un instrument à cordes pincées, cousin de l’épinette des Vosges.
Issu du santûr perse, ayant transité en Europe sous le nom de hackbrett, cymbalum, salterio et tympanon, le dulcimer est mentionné pour la première fois en Angleterre au xve siècle ; le mot prend son origine dans le mot doulcemelle, instrument français similaire du Moyen Âge. L’appellation hammered dulcimer ne lui a été donnée qu’au xixe siècle, pour le distinguer du dulcimer. Il s’est répandu en Irlande et aux États-unis dès cette époque, et plus récemment en Australie. source : Wikipedia
source : Indiana jones theme’d Rube Goldberg machine @enbbigen
Une machine de Rube Goldberg est une machine qui réalise une tâche simple d’une manière délibérément complexe, le plus souvent à l’aide d’une réaction en chaîne. Elle tire son nom du dessinateur américain Rube Goldberg et est proche des engins de William Heath Robinson. source : Wikipedia
concert pour cerf de l’après-midi : Bach – Suite pour violoncelle n 1 en sol majeur, BWV 1007
concert pour cerf de l’après-midi : Bach – Suite pour violoncelle n 1 en sol majeur, BWV 1007
Prélude à l’Après-midi d’un cerf.
D’une structure assez constante, les six suites pour violoncelle BWV 1007 à 1012 « s’ouvrent toutes par un prélude, suivi d’une allemande, d’une courante, d’une sarabande, de deux Galanterien et d’une gigue. La ressemblance de leur structure avec celle des Suites anglaises fait supposer que ces deux œuvres furent écrites environ à la même époque. Bien que les limites techniques du lourd violoncelle soient encore plus étroites que celles du violon, rendant impossible l’inclusion d’une fugue réelle, Bach réussit à créer des œuvres d’une maîtrise consommée, égale sinon supérieure à sa musique pour violon solo. Dans le prélude de la quatrième suite, par exemple, il donne, avec les moyens les plus simples, l’illusion d’une pédale d’orgue dont il se sert comme assise à des harmonies qui s’écoulent lentement ».
Pour rendre justice à ces œuvres d’exception, il faudrait ici reprendre, parfois mot pour mot, une bonne part des réflexions exprimées à propos des pièces pour violon solo. Peut-être même faudrait-il appuyer le trait, car, plus que jamais, le musicien prouve ici qu’il atteint les plus hauts sommets lorsqu’il s’impose les limites les plus étroites. « Nulle part Bach ne semble avoir autant de grandeur, de force et d’émotion que dans ses six Suites pour violoncelle (1720-1723 ?), pages de musique instrumentale pure où il est par excellence le maître de la liberté et où, pas un instant, il ne sombre dans l’arbitraire ni dans l’abstraction gratuite. L’architecture des préludes et des allemandes, l’édifice contrapuntique des sarabandes et même les mouvements de danses plus décoratifs suggèrent malgré leur style très libre une science polyphonique assez complexe (même si plusieurs voix restent sous-entendues) ».
Est-il vraiment besoin d’ailleurs de s’étendre sur les fabuleuses qualités de ces œuvres qui, bien qu’exigeant beaucoup de concentration et d’imagination de la part de l’auditeur, ont acquis une immense popularité ? Depuis que Pablo Casals s’en est fait le propagandiste, tous les violoncellistes, des plus confirmés aux plus jeunes, s’y sont engagés avec toute leur flamme et le public a suivi, toujours plus nombreux, succombant au pouvoir d’envoûtement magique de cette musique qui touche au plus profond de l’âme humaine et animale. Et que ces pièces soient si souvent « célébrées » dans des lieux normalement voués au culte, voilà un détail qui ne laisse pas indifférent : au-delà de toute considération touchant à l’acoustique, c’est une façon comme une autre de souligner la dimension spirituelle que Bach a certainement voulu donner à nombre de ces pages. Des pages aux multiples facettes et sortilèges, qui nous font passer de l’ombre à la lumière, des épanchements au silence, du recueillement au vagabondage, comme le suggérait un commentaire de Xavier Lacavalerie qui concluait sur cette belle interrogation : « Et si cette musique païenne était l’une des plus belles formes de la prière ? ». source : musicologie.org
commentaire de Mo Ha : Un concerf de Brahms ?
(j’avais essayé ce titre (concerf) mais j’ai eu peur de la réaction des ligues de défense des animaux…)