petite musique d’automne – Joe Vaux
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petite musique d’automne
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j’étais tranquille j’étais
j’étais tranquille j’étais – Jaap La Brijn (instagram) – Renaud
Brigitte Bardot : et mon doigt – tu l’aimes mon doigt ?
« Qu’est-ce que tu préfères, mes fesses ou mes doigts ? – Je sais pas, c’est pareil.” Une scène cuculte du film Le Mépris dans laquelle Brigitte Bardot se dévoile dans le plus simple appareil et fait des doigts d’honneur à une tortue
tags : les rôles de ma vie, hommage à Jean-Luc Godard
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vieillir quelque part
vieillir quelque part – WeavingWithAI @GanWeaving UNDERNEATH (we’re all the same) / Maxime Le Forestier
On choisit pas ses parents, on choisit pas sa famille
On choisit pas non plus les trottoirs de Manille
De Paris ou d’Alger pour commencer à décliner
Est-ce que les gens vieillissent égaux en droits
À l’endroit où ils vivent
Que les gens vieillissent pareils ou pas
tag : nul n’échappe au passage du temps
huit jours plus tard la reine bougeait encore – Robert Lamoureux (la chasse aux canard) (youtruc)
Vendredi 16 septembre : Le roi et la reine consort se rendent au pays de Galles, pour une nouvelle séance de condoléances des autorités locales, achevant ainsi leur tournée des quatre nations constitutives du Royaume-Uni (Angleterre, Écosse, Irlande du Nord et pays de Galles). France 24
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à la recherche de Camille
à la recherche de Camille – Jean-Luc Godard, Brigitte Bardot, Michel Piccoli
au secours ce sont les journées du patrimoine
Witches’ Sabbath, le sabbat des sorcières, Eugenio Lucas Velázquez (Spanish, 1817–1870), 1850–1855
la jalousie
tags : Les Sept Péchés capitaux, violences faites aux femmes, bus, cheveux, crêpage de chignon
couleur café – Serge Gainsbourg
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la notion de perspective
la notion de perspective – Julio Ojea
L’intransigeance naturelle à ne pas renoncer à la figuration s’exprime chez l’artiste espagnol avec le besoin de l’inscrire dans un espace qui se détache des apparences réelles. La figure est utilisée par Ojea comme élément sériel d’un rythme qui marque l’espace pictural pour suggérer des visions surréalistes dans lesquelles les plans chromatiques distinguent les relations émotionnelles des valeurs absolues des formes. « Ses » femmes, peintes avec différentes intensités chromatiques et lumineuses sur des supports en toile saupoudrés de sable pour créer un effet de peinture murale suggestive, deviennent une perception consciente de la valeur autonome de la forme-couleur qui s’est élevée à une relation dynamique entre signe et espace .
V. Esposito / Julio Ojea
autres publications taguées Julio Ojea