Dans le monde entier, la baguette française représente un des symboles typiques de la France et bien sûr de la capitale française, Paris. Tout comme le béret, la marinière ou encore le vin français et le fromage. C’est à partir du XVIII ème siècle que des pains longs ont fait leurs apparitions en France. source : not-magazine
Faut pas prendre les canards sauvages pour des avions à réaction
Duck Swimming through Cherry Blossoms / la trajectoire du canard à réaction dans les fleurs de cerisier
Synopsis :
Rita a l’habitude de prendre des pilotes de ligne pour amants. Celui qui est actuellement en titre l’a grugée en ne lui donnant pas sa part dans un partage de lingots d’or. Furieuse, Rita decide de se venger. Elle fait appel a sa tante Léontine, une vieille dame qui a inspiré autrefois la terreur dans le monde de l’aviation. source : Allocine
« C’est finalement la proposition A « Ramons de toutes nos forces à contre-courant avant qu’il ne soit trop tard » qui l’emporte par 4 voix contre 2 et 1 abstention. »
« Voutch, de son vrai nom Olivier Vouktchevitch, est un dessinateur d’humour français né à Courbevoie en 1958. Il se fait parfois appeler Olivier Chapougnot.
Après des études de dessin publicitaire à Paris, et avoir travaillé de nombreuses années dans des agences de publicité, il se lance dans le dessin humoristique en 1995 et publie ses premiers dessins dans les magazines Lui, Télérama, Lire, Le Point, Playboy, Psychologies et Madame Figaro.
Voutch connait bien les travers du monde de l’entreprise et de la communication pour y avoir travaillé comme directeur artistique dans la publicité (et avoir été licencié, moment vécu par lui comme « une libération »).
Dans la ligne de Sempé (« un de mes pères »), Voutch commence par l’idée avant de trouver l’illustration à la gouache pour laquelle ses talents de coloriste sont reconnus. L’usage du pinceau sur des dessins au format « magazine » (ses clients) a d’ailleurs influencé le trait caractéristique : personnages au nez épais et corps en longueur, souvent situés dans une salle de réunion (car permettant la phrase absurde — solennellement énoncée par le personnage — écrite en bas du dessin). À la manière de Sempé, Voutch place souvent ses personnages dans de grands décors dont ils ne sont pas nécessairement l’élément central. Il en découle une impression de vacuité et d’écrasement qui fait écho aux sentiments de solitude ou de petitesse éprouvés par les personnages ou, inversement, qui souligne par contraste la futilité de leurs propos. » source : Wikipedia
Ce vendredi 11 février, le gouvernement a annoncé de nouveaux allègements du protocole sanitaire compte tenu de « l’amélioration de la situation sanitaire » et des « quatre semaines de baisse continue de l’incidence ». Le masque ne sera plus obligatoire dans les lieux clos soumis au pass vaccinal à partir du 28 février, soit dans tous les établissements recevant du public, à l’exception des transports.
« Le port du masque en intérieur sera maintenu dans les transports et les lieux clos non soumis au pass vaccinal. Dans les autres lieux clos soumis au pass vaccinal, le port du masque ne sera plus obligatoire », a détaillé le ministère de la Santé dans un communiqué de presse. Jusqu’au 28 février, le port du masque demeure obligatoire à l’intérieur, à partir de 6 ans et plus. source : linternaute
abandonner ; cesser de résister ; s’avouer vaincu ; céder
Origine et définition
Cette expression date de la fin du XVIIIe siècle, époque à laquelle on disait aussi « coucher les pouces » Trois écoles s’affrontent sans pitié à propos de son origine.
La première, proposée par Alain Rey, suppose qu’elle vient de l’époque des Romains où, autour de l’arène, le pouce des spectateurs servait au vainqueur d’un combat à savoir s’il devait grâcier (pouces en l’air) ou achever (pouces tournés vers le sol) son adversaire vaincu. À la même époque, le pouce tourné vers le bas servait aussi au vaincu, paraît-il, à indiquer qu’il acceptait la défaite.
La seconde, défendue par Littré, dit que la locution vient du fait que le pouce ne peut se poser ou reposer dans la main qu’à partir du moment son propriétaire renonce à tenir une arme, acceptant ainsi sa défaite. Il étaye sa théorie à l’aide la phrase suivante, écrite en 1550 par Carloix, secrétaire de François de Scepeaux () : « Et faisant une belle révérence se retira, lui étant tombé le pouce dans la main [mettant les pouces, refusant de se battre] »
Enfin, selon la dernière, la locution viendrait de l’ancêtre des menottes, les poucettes, dans lesquelles le prisonnier, donc celui qui ne devait pas résister, devait placer ses pouces où ils étaient compressés et maintenus d’autant plus fermement que ces choses pouvaient aussi servir d’instrument de torture. source : expressio.fr
Jeffrey Knight Potter signant ses œuvres J. K. Potter
est un photographe et illustrateur américain né en Californie en 1956.
Pour Potter, « le grotesque est beau, le bizarre sublime et le macabre est un cru rare et délicieux ». Il privilégie des méthodes de travail « à l’ancienne » à savoir pellicule argentique noir-blanc sans apport informatique. Il considère que la plupart de ses clichés comportent un caractère de catharsis. L’un de ses maîtres à penser est le photographe Clarence John Laughlin. source : Wikipedia