Catégories
Agence France-Brette

encore un dimanche sans journal du dimanche

encore un dimanche sans journal du dimanche, les français indignés. 
Jean-Jacques Sempé Evergreen magazine cover 1967

encore un dimanche sans journal du dimanche, les français indignés

Jean-Jacques Sempé, Evergreen magazine cover, 1967

Alors que le « Journal du Dimanche » ne paraîtra pas dimanche 8 juillet pour la troisième semaine consécutive, les journalistes en grève interpellent le président de la République. Dans une lettre que Ouest-France publie, ils demandent à Emmanuel Macron de prendre position sur la question de l’indépendance de la presse, « condition indispensable à une information objective et de qualité », rappellent-ils dans leur lettre au Président. Ouest France

alt : à un kiosque à journaux, un homme écarte délicatement le journal qui cache le décolleté de le femme en couverture de celui du dessus

Catégories
Brette Ciel Liquide

L’Incal – tome 8 – ce qui est en haut

L'Incal - tome 8 - ce qui est en haut 
Moebius (Jean Giraud) drawing

L’Incal – tome 8 – ce qui est en haut

Moebius (Jean Giraud) drawing

tag : la garagiste hermétique

Catégories
nos amis les brette

un peu de légèreté

un peu de légèreté
Didier Hamey Flor Pointe sèche sur papier japon collé sur velin un peu de légèreté

un peu de légèreté – happy birthday Didier Hamey : Flor, Pointe sèche sur papier japon collé sur velin

autres publications taguées Didier Hamey

Catégories
art liquide comprendre les expressions françaises

l’autopor-trait

l'autopor-trait
l’autopor-trait – Saul Steinberg, Self Portrait, 1949
Catégories
psychologie (en partenariat avec spychologie magasine)

à la prochaine intersection prenez à gauche

à la prochaine intersection prenez à gauche
à la prochaine intersection prenez à gauche

à la prochaine intersection prenez à gauche – Saul Steinberg

tags : GPS, illusion de choix décisifs, libre arbitre, croisements de vie, avenir

Catégories
en attendant Dogot (l'infini pour les chiens)

you know what ? je suis propre

you know what ? je suis propre
you know what ? je suis propre

you know what ? je suis propre – Jochen Gerner, bichon cumulus

Jochen Gerner : le site web

autres publications taguées Jochen Gerner

Catégories
je suis complètement vous

comme disait Nietzsche, Colette

comme disait  Nietzsche, Colette
comme disait Nietzsche, Colette

comme disait Nietzsche, Colette, L’homme souffre si profondément qu’il a dû inventer le rire – Jean-Jacques Sempé (1932-2022)

« Colette, veux-tu écouter un instant mon rire énorme, Nietzschéen ? »

autres publications taguées Jean-Jacques Sempé

Catégories
Agence France-Brette this is the end yves

bonnes affaires dans l’immobilier

bonnes affaires dans l'immobilier
bonnes affaires dans l’immobilier

bonnes affaires dans l’immobilier

tags : feux, incendies, promotions, investissement, placement de bon père de famille, réchauffement climatique

Catégories
Brette Ciel Liquide

la voir souffrir de la canicule

la voir souffrir de la canicule
la voir souffrir de la canicule

la voir souffrir de la canicule me fendait le coeur – Milo Manara

tag : empathie

Milo Manara est né en Italie en 1945. Aussi à l’aise comme dessinateur que scénariste, il s’est d’abord imposé comme chef de file mondial de la bande dessinée réaliste à caractère érotique, avant d’être reconnu comme un génie du Neuvième art tout court. Parmi ses nombreuses œuvres, il faut entre autres retenir une adaptation du Décaméron de Boccace en 1974, la saga Giuseppe Bergman initiée en 1978, Le Déclic en 1983, Le Parfum de l’invisible en 1985, ainsi qu’Un Été Indien et El Gaucho, deux romans graphiques réalisés en collaboration avec son ami et mentor Hugo Pratt. Avec le célèbre réalisateur et scénariste italien Federico Fellini, Manara réalise les deux albums Voyage à Tulum (1990) et Le Voyage de G. Mastorna (1996). Mais Manara est également un illustrateur de génie, comme on peut s’en rendre compte dans ses beaux-livres tels Peintre et Modèle. En 2004, il signe le premier épisode de la sulfureuse série Borgia, en collaboration avec Jodorowsky au scénario, qui comptera quatre volumes. En 2015, Manara concrétise un projet qu’il caresse de longue date, en entamant un ambitieux diptyque consacré au célèbre peintre Le Caravageauquel il voue une admiration sans borne. Il fête ses cinquante ans de carrière en 2019 avec Sublimer le réel, une somme imposante qui évoque toutes les facettes son travail. En 2020, les éditions Glénat publient Passion Femmes, une anthologie de dessins consacrée à l’un des sujets qu’il apprécie le plus : le beau sexe. En 2022 paraîtra l’édition anniversaire du Déclic, pour célébrer les 40 ans de la première publication de ce livre culte, ainsi que l’autobiographie de l’artiste, un ouvrage riche de passionnantes anecdotes sur sa longue et foisonnante carrière. source : Editions Glénat

autres publications bretzel liquide taguées Milo Manara

Catégories
gif animés avez-vous donc une âme

dessine-moi un humain

dessine-moi un humain
dessine-moi un humain

dessine-moi un humain – Jean Cocteau drawing in La.Villa Santo Sospir, 1952

En 1949, le poète Jean Cocteau au cours du tournage des Enfants Terribles, film réalisé d’après son célèbre roman par un tout jeune cinéaste de l’époque, Jean Pierre Melville, fit la connaissance de Francine Weisweiller. Nicole Stéphane (de son vrai nom Nicole de Rothschild), l’actrice principale du film, cousine d’Alec Weisweiller, présenta le poète à Francine ; il y eut entre eux un véritable coup de foudre d’amitié.

Au Printemps 1950, après le montage des Enfants Terribles,  Francine invita Jean Cocteau, ainsi que son fils adoptif Edouard Dermit (interprète du rôle de Paul dans le film), à venir passer une petite semaine de vacances dans sa maison de St Jean Cap Ferrat surplombant la baie de Villefranche.

La villa Santo Sospir, construite peu de temps après la guerre, avait été achetée par Alec et Francine en 1946. Utilisée comme maison de vacances, les murs de la villa étaient restés vides. Quelques jours après son arrivée, Jean Cocteau dira : « l’oisiveté me fatigue je m’y dessèche…. ». Il demanda à Francine s’il pouvait dessiner au fusain la tête d’Apollon au-dessus de la cheminée du salon. De fil en aiguille, il tatoua de fresques tous les murs de la maison. Matisse lui avait dit : « Quand on décore un mur on décore les autres, il avait raison ». Cocteau disait également : « Picasso a ouvert et fermé toutes les portes, restait de peindre sur les portes, c’est ce que j’ai essayé de faire.  Mais les portes donnent dans les chambres, les chambres ont des murs et si les portes sont peintes les murs ont l’air vides… »