amour et vérité – Roland Topor : The adventures of Pinocchio, Carlo Collodi, 1972
vérité : nom féminin
1. Ce à quoi l’esprit peut et doit donner son assentiment (par suite d’un rapport de conformité avec l’objet de pensée, d’une cohérence interne de la pensée) [opposé à erreur, illusion].
2. Connaissance conforme au réel ; son expression (opposé à erreur, ignorance ou à mensonge). Connaître, dire la vérité sur qqch. Google
les premiers mensonges – Roland Topor : The adventures of Pinocchio, Carlo Collodi, 1972
Roland Topor, né à Paris, le 7 janvier 1938, et mort dans la même ville, le 16 avril 1997, est un illustrateur, dessinateur, peintre, écrivain, poète, metteur en scène, chansonnier, acteur et cinéaste français. Wikipédia
ce qui compte c’est l’amour – Nicolas Le Bault : La dimension perdue
« Nicolas Le Bault est un auteur et artiste visuel français né en 1986, s’exprimant principalement par la voie du dessin. Il réalise également des bandes dessinées dans lesquelles s’incarnent des thèmes souvent marginalisés, comme la violence, les névroses familiales, l’automutilation, l’anorexie, l’inceste, la vie intime et la sexualité, les relations ambivalentes et toxiques entre les êtres… dans une ambiance à la fois trouble et enfantine, souvent imprévisible et cauchemardesque. Inspiré par la psychanalyse et par les sciences sociales, ainsi que par toutes les formes de la culture populaire, il est également auteur de textes qui mêlent critique sociale radicale et réflexion esthétique. Il dirige depuis fin 2017 la maison d’édition indépendante White Rabbit Prod et le magazine d’art contemporain et de transgression White Rabbit Dream, à travers lesquels il défend sa vision de l’art comme vecteur d’émancipation individuelle et collective, et comme réponse esthétique au malaise dans la civilisation. « Autant dire tout de suite que l’on aime ou que l’on déteste cet imaginaire fait de rêves, de cauchemars, d’illusions, de fantômes, de perversions et de personnages ambivalents. En tout cas, la patte de Nicolas Le Bault est reconnaissable entre toutes : dessins tout droit sortis de l’enfance, visages expressifs, couleurs vives. L’univers de l’enfance est récupéré, recyclé et dynamité à la TNT afin de mettre à nu toute la cruauté du monde et son absurdité. » (Bruno Chiron) » source : nicolaslebault.com
« Les explorations de Phillip Dvorak sont enracinées dans les possibilités érotiques, subconscientes et émotionnelles du corps humain. Quelle que soit la forme, Dvorak invite le spectateur dans un univers intensément anthropomorphique. La biologie de ses dessins au fusain et au pastel peut parfois se concentrer si intensément sur le corps humain qu’il devient microscopique. Le spectateur trouve des structures cellulaires, des organites et d’étranges protubérances ressemblant à des cheveux s’engageant dans une frénésie active à travers la surface du papier. L’effet est positivement sexuel. — RF
J’explore la forme humaine : l’extérieur et l’intérieur, le réel et l’imaginaire, l’effrayant et l’érotique. Je n’ai rien trouvé de plus stimulant, provocant ou gratifiant que cela.
Alors pourquoi pas s’asseoir – Eames shell chair with Saul Steinberg drawing, 1950 / Alain Souchon
Pendant 60 ans, Saul Steinberg (1914-1999), artiste américain d’origine roumaine, a illustré de son talent les pages et couvertures du New Yorker . En plus de son travail de dessinateur, Saul Steinberg fut également un immense propagandiste, caricaturiste, illustrateur, graphiste, muraliste, dessinateur de mode et de publicité, scénographe, créateur infatigable de livres d’images, et artiste de galerie. source : henricartierbresson.org
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