Pour les trajets courts, privilégiez la marche ou le vélo
Pour les trajets courts, privilégiez la marche ou le vélo
À partir de mars 2022, la loi oblige les publicités pour les automobiles à afficher des messages encourageants un usage raisonnable de la voiture.
Voici les trois messages qui devront être apposés sur les publicités (papiers, affiches, vidéo, radio) : « Pour les trajets courts, privilégiez la marche ou le vélo », « Pensez à covoiturer » ou « Au quotidien, prenez les transports en commun ». Avec le hashtag (sauf à la radio) : #SeDéplacerMoinsPolluer. source : legifrance.gouv.fr
légende pour le groupe « c’est une pie, enculé » : c’est une piste cyclable, enculé !
Trop souvent, dit Ami Vitale, la photographie de nature exclut les humains dont la vie est intimement liée au monde naturel. Son projet d’une décennie, documentant les liens entre le peuple Samburu et la faune dans le nord du Kenya, inverse cette omission, racontant comment les gens de Samburu sont devenus des défenseurs des animaux sauvages et de leur habitat.
Pendant aussi longtemps que les Samburu ont brouté du bétail, leurs moyens de subsistance étaient apparemment en contradiction avec les éléphants, les rhinocéros, les girafes et les autres grands mammifères avec lesquels ils partagent leur patrie. Mais comme les braconniers ont décimé les populations d’éléphants (Mammalia proboscidea) au cours des dernières décennies, les éleveurs de Samburu ont réalisé que leur bétail souffrait également. Les éléphants favorisent la croissance de l’herbe en débroussaillant les broussailles et les petits arbres, de sorte que leur nombre diminue, il y a moins d’herbe pour les vaches. En réponse, le Samburu a lancé un sanctuaire pour réhabiliter les éléphants orphelins, ainsi que d’autres programmes de conservation qui profitent aux espèces menacées comme la girafe réticulée (Giraffa camelopardalis reticulata), illustrée ici.
Ces efforts changent les attitudes de longue date de Samburu envers la faune sauvage et montrent comment la santé des communautés humaines et animales est liée. «Les communautés autochtones détiennent la clé pour sauver les grands animaux d’Afrique», explique Vitale. «Là où ces communautés sont intactes, le braconnage a considérablement diminué.» source : dixielandtarragona.com
la mer à bout de bras – Volodymyr Tsisaryk : Holding the Ocean (bronze sculpture and aluminum, 2018)
la mer à bout de bras – Volodymyr Tsisaryk : Holding the Ocean (bronze sculpture and aluminum, 2018)
Volodymyr Tsisaryk, né le 3 septembre 1978 à Lviv. Volodymyr est un sculpteur ukrainien bien connu, auteur de monuments dans l’espace public de Lviv, fondateur de son propre atelier de sculpture.
Il expérimente la sculpture classique, les images mythiques et les formes modernes, construisant son propre style de personnages mystiques et de créatures bizarres. source : tsisaryk.com
Une mer quasiment asséchée est en train de renaître
La mer d’Aral, à cheval entre le Kazakhstan et l’Ouzbekistan, avait perdu 75% de sa superficie en 50 ans. Grâce à un barrage, le niveau de l’eau remonte petit à petit. source : France Inter
« Les roses et les épines font partie de la même plante ».
#flightshame si tu es fier d’être pilote tape dans tes mains
#flightshame si tu es fier d’être pilote tape dans tes mains
#flygskam n’aie pas honte, le corps social change, ce n’est pas sale
La honte de prendre l’avion est la honte ou le sentiment de culpabilité que ressent une personne informée ou sensibilisée à la protection de l’environnement de se déplacer en avion, un mode de transport. source : Wikipedia
tags : avion, Garuda Indonesia, Régis passe son brevet de pilote
Le lancer du sac poubelle est une discipline de l’athlétisme, originaire d’anciennes pratiques celtes, qui consiste à lancer un sac de 16 livres anglaises pour les hommes et 4 kg pour les femmes, dans le camion des éboueurs. source : Wikipedia
cinq battements par minute, Grand Prix à Cannes et César du meilleur film français, 5 Battements d’aile par minute retrace les premières années de l’association Ligue pour la protection des oiseaux – Paris, au début des années 1990, et restitue la rage de vivre de militants dévoués corps et âme à la protection des aigles. source : Telerama
L’eau n’est pas nécessaire à la vie – elle est la vie — Flavio Tavares / Antoine de Saint-Exupéry
L’eau n’est pas nécessaire à la vie – elle est la vie
Flavio Tavares / Antoine de Saint-Exupéry
Flávio Roberto Tavares de Melo
est né à João Pessoa, Paraíba, Brésil, le 15 février 1950, fils et petit-fils d’artistes.
« Flávio Tavares fait partie des artistes les plus importants du nord-est du Brésil et il jouit d’une confortable réputation parmi les artistes figuratifs brésiliens de sa génération. » Jacob Klintowitz , critique d’art. site de Flavio Tavares
l’eau source de vie
De l’apparition de la vie sur Terre aux branchies que porte l’embryon humain jusqu’à 7 semaines, tout ce qui existe est lié à l’eau. Et à son mystère.
Antoine de Saint-Exupéry a résumé en une phrase l’essence même de l’eau : elle est à la fois le creuset originel et l’élément primordial de la vie. C’est dans l’eau des océans primitifs, il y a plus de 4 milliards d’années, que sont apparus les premiers micro-organismes qui, évoluant au fil du temps, ont essaimé et colonisé notre petite planète : un désert inerte à ce moment-là. source : science-et-vie
l’arbre respiratoire – Daniel Popper 10 m tall sculpture : Ven a la Luz (come to the light)
l’arbre respiratoire – Daniel Popper 10 m tall sculpture : Ven a la Luz (come to the light)
L’artiste sud-africain Daniel Popper , connu pour ses sculptures figuratives massives, a construit une nouvelle œuvre d’art dans le cadre d’un festival des arts et de la culture à Tulum, au Mexique. L’installation imposante est intitulée Ven a la Luz (entrez dans la lumière) et est composée de bois et de corde façonnés en une figure féminine. Son torse est rempli de plantes vertes luxuriantes, ce qui crée une arche pour les spectateurs. source : thisiscolossal
est une photographe conceptuelle de Kazan, en Russie. diplômé en psychologie. Ses portraits d’art sont à la fois beaux et mystérieux. Ils vous tiennent en haleine avec leur beauté légèrement dérangeante et unique. Dans ses clichés, le corps humain est le protagoniste. Dépouillé de tout clinquant, il devient un sujet sérieux et authentique, une divinité contemporaine. Ces corps semblent spontanément fusionnés avec la nature qui les entoure, même si glaciale et hostile. Imagenation
« La Terre est la mère universelle.
Eschyle glorifie la Terre qui« enfante tous les êtres, les nourrit, puis en reçoit à nouveau le germe fécond » (Choéphores, 127-128). Une conception analogue survivait encore au XIXe siècle parmi certaines tribus primitives. Un prophète de la tribu nord-américaine Umatilla refusait de travailler la terre : « C’est un péché, disait-il, de blesser ou de couper, de déchirer ou de griffer notre mère commune, par des travaux agricoles. » Et il ajoutait : « Vous me demandez de labourer le sol ? Irai-je prendre un couteau pour le plonger dans le sein de ma mère ? Mais alors, lorsque je serai mort, elle ne me reprendra plus dans son sein. Vous me demandez de bêcher et d’enlever des pierres ? Irai-je mutiler ses chairs afin d’arriver à ses os ? Mais alors je ne pourrai plus entrer dans son corps pour naître de nouveau. Vous me demandez de couper l’herbe et le foin et de le vendre et de m’enrichir comme les Blancs ? Mais comment oserais-je couper la chevelure de ma mère ? »
L’hymne homérique dédié à Gaia (Terre) exalte « la Terre, mère universelle aux solides assises, aïeule vénérable qui nourrit tout ce qui existe […]. C’est à toi qu’il appartient de donner la vie aux mortels, comme de la leur reprendre […]. » C’est la raison pour laquelle la grande déesse, la Terre-Mère, est considérée non seulement comme la source de la vie et de la fertilité, mais aussi comme la maîtresse du destin et la déesse de la mort. Dans l’Inde, Durgā-Kālī est à la fois créatrice et destructrice, principe de la vie et de la mort.
En Mésopotamie, Ishtar est la déesse de l’amour par excellence, mais aussi la déesse de la guerre. On l’appelle « Dame de l’amour », « Reine du plaisir », mais aussi « la Vaillante », « la Dame des batailles ».
Parmi les noms de grandes déesses, les plus connus sont Ardvî et Anâhita en Iran, Ishtar à Babylone, ‘Atar’ate en Syrie, Astarté en Phénicie, Tanit à Carthage, Déméter et Aphrodite en Grèce, Cybèle en Asie Mineure. Toutes ces déesses présentent une structure analogue. Elles expriment la sacralité de la vie et le mystère de la fertilité, mais aussi le caprice et la cruauté. D’un côté, elles prodiguent la vie, la force et la fécondité ; à l’opposé, elles apportent la guerre ou les épidémies. Presque toutes sont des déesses de la vie, de la fertilité et de la mort tout ensemble. En un certain sens, on peut déchiffrer dans leur personnalité la valorisation religieuse de la vie cosmique, avec tous ses mystères et toutes ses contradictions ». source Universalis.fr
La création de la vie à partir d’argile
est un thème récurrent du créationnisme apparaissant au sein de la mythologie, la littérature et de certaines théories modernes. Wikipedia