voir Deauville et mourir – Samy Bouguern (avec BZLTV) : Tempête à Deauville. Le vent est passé de 0 à plus de 100 kmh en une fraction de seconde.
Voir Venise… et …Et mourir sont deux bandes dessinées réalisées par Jean Van Hamme et Philippe Francq, formant un diptyque appartenant à la série Largo Winch, et éditées respectivement en 1998 et 1999 par Dupuis dans la collection Repérages. Ce diptyque constitue les neuvième et dixième tomes de la série. Wikipédia
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pensez à vous hydrater – Oasis, Liam Gallagher à Stocks House, Hertfordshire, 1997 photo : Michael Spencer Jones
C’était un tournage fou, vraiment. C’était à Stocks House, où vivait Victor Lownes. Je suis resté enfermé là-bas pendant environ trois jours. Je suis arrivé quelques jours plus tôt et je regardais les angles et la piscine. . . il y avait une clôture en bois autour de la piscine que j’ai enlevée. Ensuite, la piscine a été vidée et nous avons dû la faire repeindre et mettre la voiture dans la piscine.
Beaucoup de gens pensent que c’est Photoshopped, mais la voiture est en fait dans la piscine. C’était sur un échafaudage et l’échafaudage était recouvert d’une bâche bleue. Ils ont repeint la piscine, j’ai mis une bâche bleue autour de l’échafaudage, mais c’était un bleu différent de celui qu’ils ont peint, j’ai donc dû le leur faire repeindre.
Je suis arrivé à midi la veille du tournage. Je n’avais jamais rempli une piscine auparavant. J’ai pensé, tu prends juste un tuyau d’arrosage, tu ouvres le robinet et ce sera comme faire couler un bain. Alors j’ai ouvert le robinet et j’ai pensé: « Bon, ça se remplira du jour au lendemain. » Je me suis réveillé le matin et il y avait environ deux pouces, deux centimètres d’eau au fond. J’ai ouvert les rideaux le matin en m’attendant à voir une piscine pleine, et… c’est vide. Le groupe arrivait dans deux heures, alors j’ai paniqué. J’ai dû faire sortir les pompiers et ils ont pris un tuyau, l’ont attaché à une bouche d’incendie et ont détourné toute l’approvisionnement en eau de l’hôtel. C’était un hôtel cinq étoiles, tout le monde se levait le matin et il n’y avait rien qui sortait des robinets, ils ne pouvaient pas tirer la chasse d’eau. C’était le pandémonium dans l’hôtel car il n’y avait pas d’eau du tout. source : gq-magazine.co.uk
Passionné de cinéma noir, de l’Amérique d’Edward Hooper et de ligne claire piégée, Ted Benoit est un acteur discret et maniaque. Il était le seul à pouvoir dessiner un album de Blake et Mortimer sans être servile tout en restant humble. Né en 1947, Thierry Benoit, dit Ted, suit les cours de l’Institut des Hautes Études Cinématographiques. Il squatte les cinémathèques pour dévorer les films noirs américains des années 40-50. Jusqu’en 1971, il sera assistant-réalisateur à la télévision. Lorsque « Actuel » accueille ses premiers récits en bandes dessinées, Robert Crumb est son maître à dessiner. Après quelques années de collaboration avec la presse underground (« Géranomymo »), Ted Benoit rejoint, en 1975, « L’Écho des Savanes » que vient de créer Nikita Mandryka. Cette première période de sa carrière culmine dans Hôpital, un album au dessin expressionniste. D’une froideur carcérale, ce récit gagne le prix du scénario au Salon d’Angoulême en 1979. Son style mue radicalement lorsqu’il découvre Joost Swarte (« Art Moderne »), le dessinateur hollandais qui vient de remettre la Ligne Claire hergéenne à l’honneur. L’hommage à Swarte est évident dans les planches de Bingo Bongo que publie alors « Métal Hurlant ». Lorsque, en 1981, il réunit des courtes histoires -peu Ligne Claire- parues dans « Libération » et « Métal Hurlant », il choisit un titre en forme de manifeste : Vers la Ligne Claire. Sous une forme mal dégrossie, Ray Banana, son personnage emblématique, est déjà présent. Ted Benoit s’approprie les signes extérieurs de l’esthétique d’Hergé pour se livrer à un joyeux travail de distanciation. En 1980, (A Suivre) accueille La Berceuse électrique. Avec son physique de Clark Gable, Ray Banana est confronté à une étrange secte. Tout au long des 80 planches, Ted Benoit construit un univers hétéroclite et surréaliste. Futur proche et passé récent se mélangent dans une ville qui doit beaucoup à Hollywood. source : bedetheque.com
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