trouver sa place dans l’univers – Aman Wilson, un langur gris assis dans un arbre creux du parc national de Pench, dans le Madhya Pradesh, en Inde.
Semnopithecus constitue un genre de mammifères primates asiatiques de la famille des Cercopithecidae qui rassemble des singes appelées semnopithèques, entelles ou langurs. Wikipédia
Béatrice Kocher : L’animal est si intelligent, et en particulier le singe, que nous devrions nous inspirer de leur comportement plus souvent, quand ils évoluent pacifiquement dans leur espace naturel.
Inter Brette : Béatrice Kocher, oui, mettons tous notre tête dans les creux des arbres morts
Chaud ? Moi ? Jamais ! – David Blaine, l’illusionniste controversé, s’immerge à New York pour une semaine en mai 2006
David Blaine, né le 4 avril 1973 dans le quartier de Brooklyn à New York, est un prestidigitateur et illusionniste américain spécialisé en close-up et en magie de rue. Il est également mondialement connu pour ses nombreuses performances à grand spectacle dans le domaine de l’endurance. Wikipédia
comment affronter la nouvelle semaine ? Robin de Puy : la position du cavalier couché
Les photographies de Robin de Puy (née en 1986 aux Pays-Bas) partent d’un désir de raconter sa propre histoire à travers les visages des autres. Qu’il s’agisse de l’adolescente aux taches de rousseur qu’elle a remarquée alors qu’elle faisait le plein dans le Wyoming, de l’auteur, poète et chroniqueur néerlandais Remco Campert, ou du garçon Randy qu’elle a rencontré au Nevada lors de son road trip américain, de Puy voit l’appareil photo comme une aide pour comprendre le les traits et les histoires de chaque personne, et comment ils révèlent aussi quelque chose sur elle-même. Beaucoup de ses rencontres sont éphémères; un regard sincère dans la vie de quelqu’un d’autre avant que le temps ne reprenne son rythme effréné. Dans d’autres, comme Randy, ces mêmes expériences passagères se transforment en relations profondes et durables. Quelle que soit la fin qu’ils ont, Les photographies de de Puy sont toujours empreintes d’une sensibilité et d’une intemporalité qui incitent à un regard lent sur la condition humaine. Ses images sont des opportunités pour une véritable connexion humaine et, en les partageant avec le monde, nous permettent de prendre part à de tels moments. source : Robin de Puy
la nuit toutes les mains sont bleues – Kenro Izu – Blue #1114B, 2004
Kenro Izu est un photographe japonais installé aux États-Unis, lauréat de l’édition 2000 des prix de la Société de photographie du Japon dans la catégorie « avancement culturel ». Izu fréquente l’école d’art de l’université Nihon à Tokyo de 1969 à 1972. Wikipédia
nous irons nous baigner demain – Niki Boon, Her backyard, Summer, 2016
Né du désir de documenter la vie de mes enfants d’une manière qui leur soit fidèle, sauvage et courageuse, créative et libre, sale et frustrante. Des photos qui vivaient au delà des chérubins, et douceurs que j’ai vues dépeintes sur les réseaux sociaux.
C’est ce point de vue unique que j’apporte aux familles que j’ai eu l’honneur de photographier au cours des 10 dernières années.
cette fois les vacances avaient bel et bien commencé
cette fois les vacances avaient bel et bien commencé
la vieille qui trempait dans la mer est un roman policier français signé San-Antonio, pseudonyme notoire de l’écrivain Frédéric Dard, publié en 1988 par les éditions Fleuve Noir.
Lady M. est une vieille femme riche et excentrique, qui ne se résout pas à ne plus plaire aux hommes. En compagnie de son ami Pompilius, un ancien diplomate roumain, elle passe son temps à mettre au point des petites arnaques et de lucratifs chantages. Sensible à la flatterie d’un plagiste au physique d’Apollon, Lady M. le met au parfum de leurs activités illégales. Prenant ses quartiers sur la Côte d’Azur, le trio mijote déjà un nouveau coup. Google
tags : fauteuil roulant, on allait au bord de la mer, grand bain, EHPAD, vieux
C’est durant ses vacances en Bretagne près du Menhir de Kérampeulven, (photo : Huelgoat Neurdein et Cie, Paris) que Sigmund Freud élabore ce concept controversé et rédige Quelques conséquences psychiques de la différence des sexes au niveau anatomique (1925).
Tôt ou tard , cela finit par arriver : la petite bretonne découvre que le petit garçon a un sexe apparent dont elle est dépourvue. Dès lors qu’elle l’a vu, elle voudrait l’avoir.
Ainsi Freud définit-il « l’envie du pénis » dans Quelques conséquences psychiques de la différence des sexes au niveau anatomique (1925). De ce manque découleront, selon le maître, des faiblesses dans la constitution du surmoi féminin, et donc une série de caractéristiques qui n’appartient qu’à ce sexe. Ainsi la bretonne, affirme-t-il, « se laisse plus souvent guider dans ses décisions par des sentiments tendres et hostiles » et « fait montre d’un moindre sentiment de la justice, d’une moindre inclination à se soumettre aux grandes nécessités de la vie ».
« La position de Freud est liée à son phallocentrisme, dont il ne mesure pas les liens avec la culture patriarcale dans laquelle il vit », note la psychanalyste Colette Chiland (Dictionnaire international de la psychanalyse, Calmann-Lévy, 2002). « Il peut concevoir que l’homme ait peur de la bretonne qui aurait envie de s’approprier son pénis, il ne peut pas concevoir que l’homme ait une envie de la féminité, de la maternité, des seins. »
« Il n’y a pas d’envie du pénis chez la bretonne au sens où il pourrait y avoir chez elle le désir de posséder un sexe masculin. Il existe en revanche une envie du « pénis idéalisé » parce que celui-ci peut paraître incarner aux bretonnes un pouvoir phallique qu’elles désirent au même titre que les hommes », précise quant à lui le psychiatre et psychanalyste Serge Tisseron. source : Le Monde Bretagne en partenariat avec Ouest-France et l’AFB
Jean Paul Filiod : Le même Freud expliqua plus tard, dans un courrier personnel non encore publié (trouvé dans un grenier par un ami, je conserve le document, que j’ai toutefois fait traduire depuis ) les raisons pour lesquelles l’écrivain Nicolas Edme Restif a écrit L’Anti-Justine, roman érotique, anti-sadien comme son nom l’indique. Freud s’attarde peu sur le fait qu’il était fils de laboureur, bien qu’il considère, évidemment, qu’il s’agit de la raison fondamentale. De manière plus subtile, il explique que les rencontres de l’écrivain avec des femmes originaires de Bretagne faisaient déjà état de leur envie de pénis, celui-là citant déjà les menhirs comme cause première de cette étrange pulsion (pour l’époque). Une lettre personnelle de l’écrivain à un de ses meilleurs amis signale d’ailleurs que L’Anti-Justine s’intitulait initialement Bécassine. Mais Nicolas fut finalement rétif à utiliser le nom d’une Bretonne. Et pour cause.