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la vie de ma mère

Ricky Mujica la vie de ma mère
Ricky Mujica : la vie de ma mère

tag : charge mentale

« Utilisant un amalgame de procédures dérivées du formalisme de l’expressionnisme abstrait du XXe siècle, de la peinture rétinienne de l’impressionnisme du XIXe siècle et de la lumière et de la forme objectives du baroque du XVIIe siècle, et synthétisées à travers l’objectif pictural d’un drame shakespearien mis en scène, mon travail cherche à démontrer comment la vie s’étend au-delà de ses propres limites subjectives et raconte souvent des histoires qui illustrent les effets de la prise de conscience culturelle au cours de la seconde moitié du XXe siècle. Une époque qui nous a présenté un nouvel humanisme, avec la révolution sexuelle et avec le mouvement des femmes.

Je veux dire déconstruire les binaires que nous reconstruisons continuellement entre le « Drame » et l’« Usuel », entre le « Moi » et le « Collectif », entre la « Vie » et la « Mort ». En prenant comme sujet des moments extraordinaires mais collectifs de la vie quotidienne, et en sondant le rythme qui articule le flux de moments extraordinaires qui nous sont communs à tous, et en les imprégnant d’une partie de l’esthétique du théâtre en direct, et en le plaçant sur la toile en tant que scène, je tente de séduire le spectateur pour qu’il porte un regard neuf sur la condition humaine.

Je recherche la poésie de l’extraordinaire telle qu’elle est ancrée dans l’ordinaire. Sont choisis et dépeints des moments familiers de notre existence collective qui n’existent que pour ponctuer le drame humain et éclairer notre existence.

« Mère » est très souvent dépeinte dans ces événements extraordinaires comme le héros, la pourvoyeuse de vie, la racine de la civilisation. Elle est notre conscience collective. »

Ricardo José Mujica « Ricky Mujica »

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attaché de presse purée

bien dormi ? comme Dieu pendant l’holocauste

Journée de la mémoire de l’Holocauste et de la prévention des crimes contre l’humanité

« La France a retenu la date du 27 janvier, anniversaire de la libération du camp d’Auschwitz, pour cette journée de la mémoire.
[…] Cette journée de la mémoire devra faire prendre conscience que le mal absolu existe et que le relativisme n’est pas compatible avec les valeurs de la République. En même temps, il faut montrer que l’horreur s’inscrit dans une histoire qu’il convient d’approcher avec méthode, sans dérive ni erreur. Ainsi appartient-il à notre institution de faire réfléchir les élèves à l’Europe du XXème siècle, avec ses guerres et ses tragédies, mais aussi à ses tentatives de synthèse autour des valeurs des droits de l’homme et à sa marche vers l’unité. Il est nécessaire de montrer aux jeunes que ces valeurs ne sont pas de simples mots. Leur respect dans tous les pays du monde est fondamental et nécessite de la part de chacun d’être attentif à ce qui menace ces valeurs et actif pour les défendre. »
B.O. n°46 du 11 décembre 2003 : www.education.gouv.fr

Le bourreau tue toujours deux fois, la seconde fois par l’oubli » (Elie Wiesel)

tags : Shoah, Maman, conscience tranquille

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art liquide

la femme qui est sur facebook n’a plus vingt ans depuis longtemps

Francien Krieg painting
Fade by Francien Krieg / Serge Reggiani : Sarah

Dutch artist Francien Krieg (1973) lives in the countryside in the middle of the Netherlands with her two children and husband, working full-time in her studio.

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Ma (brette) Zèle Tophe !

la chambre noire

Andrei Tarkovsky : Polaroids
Andrei Tarkovsky : Polaroids

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