Bucharest/Fine Art Institute ”N.Grigorescu,” Romania, an audiovisual artist, photographer and director. The first leaders of the postavangarde group Cerculdisparut / Vanishedcircle with Ivan Andreevici : Artnif
pleine lune – Lucian Bernhard (German 1883-1972) : Moonstruck, 1968
pleine lune – Lucian Bernhard (German, 1883-1972) : Moonstruck, 1968
Emil Kahn,
dit Lucian Bernhard (parfois Lucien Bernhard), né le 15 mars 1883 à Cannstatt, (Allemagne), mort le 29 mai 1972 (à 89 ans) à New York, est un graphiste, affichiste, créateur de caractères, architecte d’intérieur, professeur allemand et astronome amateur.
Né dans une famille juive,
Emil Kahn étudie à l’académie des arts de Munich. En 1901, il se rend à Berlin pour travailler auprès d’Ernst Gowold — le directeur de la plus grande agence de « proto- publicité » d’alors — pour l’imprimerie d’affiches Hollerbaum & Schmidt. Il réalise des affiches pour des sociétés importantes comme Stiller (chaussures), Pelikan, Manoli, Kaffee Hag, Bosch, Faber-Castell. Il prend alors le pseudonyme de Lucian Bernhard sous lequel il est universellement connu.
En 1911, il crée le magazine Plakat
(« Affiche »), qui deviendra plus tard Gebrauchsgrafik.
De 1910 à 1920, il est directeur artistique de la société Deutschen Werkstätter Hollerau, qui produit des meubles, des tapis et des luminaires.
Il est le créateur du Plakatstile, ou « style affiche », caractérisé par un dessin simple, des couleurs en aplat. Il crée des polices caractéristiques de sa personnalité, d’abord avec la Bernhard Antique pour la fonderie Flisch de Francfort (1913), puis une production abondante après la guerre pour la fonderie Bauer.
En 1923, il est nommé professeur en art publicitaire au Unterrichtsanstalt des Kunstgewerbemuseums de Berlin, l’équivalent de l’école des Arts décoratifs de Paris.
En 1925, il fait une tournée de conférences aux États-Unis.
Il n’obtient pas un grand succès et ne réussit pas à convaincre les directeurs artistiques de l’intérêt d’apporter un graphisme novateur, alors même qu’en Allemagne le Bauhaus fait ses premiers pas. Néanmoins, séduit par New York, il décide alors de s’y installer définitivement. Sa famille le rejoint. Il ouvre l’atelier de design Bernhard-Rosen. Son style n’attire pas les clients américains et il travaille essentiellement dans l’architecture d’intérieur. Il a réalisé de nouvelles polices pour la fonderie britannique Stephenson Blake.
Après la Seconde Guerre mondiale il se consacre, jusqu’à sa mort en 1972, à la peinture.
Il est déconseillé de mélanger le blanc et les couleurs, et ses fluides en général, car les tissus sombres ou de couleurs vives peuvent dégorger et colorer de façon permanente votre linge blanc, même à l’eau froide ou avec des sentiments tièdes. source : nos conseils de lessive pour la saint-valentin, Wikipedia
Valérie Pécresse au Zénith : une épreuve difficile
Valérie Pécresse au Zénith : une épreuve difficile
D’après l’auteur de la vidéo, cette grenouille malade est en cours de sauvetage.
« Mais enfin, vous ne voyez pas que cette femme souffre ? » déclare Xavier Bertrand
« On aurait dit Le Cid joué par une élève de 6ème », juge cruellement un élu LR.
Le premier grand raout de campagne de la candidate des Républicains a déçu les cadres du parti qui s’inquiètent des futurs sondages.
Pour le meeting qui devait relancer la campagne de Valérie Pécresse, après des mauvais sondages, les propos de Nicolas Sarkozy et la défection d’Éric Woerth, c’est raté. Les cadres du parti, pour la plupart présents au premier rang au Zénith de Paris, la prestation de la candidate de la droite n’était pas au niveau.
« Mais qu’est-ce qui se passe ? Qu’est-ce qui se passe ? » s’est demandée à haute voix sa conseillère internationale. « Accélère Valérie, accélère », l’a exhortée à distance depuis la salle Hervé Morin, le patron des Centristes.
La patronne de la Région Île -de-France a semblé mal à l’aise au début de ce grand raout, enchaînant les silences, gênée par les « Valérie présidente », que lancaient les Jeunes Républicains.
« C’était un naufrage. On a voulu lui faire faire un exercice qu’elle ne sait pas faire. Il aurait fallu la faire marcher sur scène, qu’elle dise dès le début ‘je ne suis pas une grande oratrice’… là, ce n’est juste pas possible », confie encore un ténor des Républicains.
la montagne magique. Beth Pratt : Yosemite Firefall – Horsetail Fall on February 21, 2019 (ou video perso)
la montagne magique. Beth Pratt : Yosemite Firefall – Horsetail Fall on February 21, 2019
La Montagne magique, Roman traduit de l’allemand, annoté et postfacé par Claire de Oliveira
« Écrite entre 1912 et 1924, La Montagne magique est l’un des romans majeurs du vingtième siècle. Cette œuvre magistrale radiographie une société décadente et ses malades, en explorant les mystères de leur psychisme. Le jeune Hans Castorp rend visite à son cousin dans un luxueux sanatorium de Davos, en Suisse. Piégé par la magie de ce lieu éminemment romanesque, captivé par des discussions de haut vol, il ne parvient pas à repartir. Le jeune Allemand découvre son attirance pour un personnage androgyne et, au mépris du danger, se laisse peu à peu envoûter par cette vie de souffrances, mais aussi d’aventures extrêmes en montagne et de dévergondage, où fermentent des sentiments d’amour et de mort.
Évocation ironique d’une vie lascive en altitude, somme philosophique du magicien des mots, ce vertigineux « roman du temps » retrouve tout son éclat dans une nouvelle traduction qui en restitue l’humour et la force expressive.
« Le héros de ce roman porte en lui la forme entière de l’humaine condition. » Jean Guéhenno
Thomas Mann (1875-1955) a reçu le prix Nobel de littérature en 1929. Son œuvre se distingue tant par sa perfection stylistique que par la richesse de son propos. On compte parmi ses romans les plus célèbres : Les Buddenbrook, La Montagne magique, Le Docteur Faustus, Joseph et ses frères. Il est également l’auteur de nouvelles (La Mort à Venise, Tonio Kröger), ainsi que de nombreux essais littéraires, philosophiques et politiques. » source : France Culture
La chute de feu de Yosemite était un événement d’été qui a commencé en 1872 et s’est poursuivi pendant près d’un siècle, au cours duquel des braises brûlantes ont été déversées du sommet de Glacier Point dans le parc national de Yosemite jusqu’à la vallée à 3000 pieds plus bas. source : Wikipedia
14 février ! artofolly : mante religieuse et saint valentin (Valentine’s Day)
14 février ! artofolly : mante religieuse et saint valentin (Valentine’s Day)
En Europe, la Mante religieuse devenue adulte s’accouple le 14 février, jour de la Saint-Valentin. Le mâle, comme tout animal s’approchant d’une mante, se fait parfois dévorer pendant ou après la copulation. Plusieurs accouplements peuvent avoir lieu, mais un seul est nécessaire pour la fécondation. Même après avoir eu la tête coupée, le mâle continue à copuler et transmettre ses spermatozoïdes. Contrairement à une idée reçue, le cannibalisme lors de l’accouplement n’est cependant pas essentiel pour que la femelle dispose des ressources protéïques nécessaires pour porter les œufs ; reste qu’il est quasiment systématique en vivarium. Certains y voient une forme de cannibalisme tandis que d’autres, d’un avis anthropomorphique, préfèrent y voir une forme d’abnégation. source : Wikipedia
tu sais quel jour on est ? Ryan Weideman : In the Shadows, Lower East Side 1992 – saint-valentin
tu sais quel jour on est ?
Ryan Weideman : In the Shadows, Lower East Side 1992 – saint-valentin
In My Taxi est une série composée de quarante photographies extraordinaires de Ryan Weideman, chauffeur de taxi et artiste à ses heures perdues. Ses images offrent une vue en plongée sur la diversité culturelle qui caractérise l’évolution de la ville de New York entre les années 1980 et le début du XXIe siècle. Une période où la ville a connu d’énormes changements économiques et sociaux. En photographiant ces personnages dans cette période en plein essor – mannequins, poètes, drag queens, célébrités, hommes d’affaires ou prostituées – Ryan Weideman a transformé son taxi en un studio d’artiste plutôt fonctionnel. Au travers de ces images, nous assistons au passage du temps d’une dizaine d’années, et tandis que les passagers vont et viennent, Weideman reste une constante, toujours sur le siège du conducteur. Il est ainsi aussi bien le photographe que la star de ce théâtre sur roues. source : loeildelaphotographie