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jamais Lacan on a besoin de toi les belles histoires de tonton yves

maman disait toujours : fais attention à ton pénis

maman disait toujours : fais attention à ton pénis. Minos, as the judge in hell, wrapped up in a penis-biting serpent. 19th century etching after Michelangelo’s Last Judgment. Flögel’s Geschichte des Grotesk-Komischen. 1862. e-rara & british museum

maman disait toujours : fais attention à ton pénis

Forrest Gump / Minos, as the judge in hell, wrapped up in a penis-biting serpent. 19th century etching after Michelangelo’s Last Judgment. Flögel’s Geschichte des Grotesk-Komischen. 1862. e-rara & british museum

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debout les damnés de l’inconscient

debout les damnés de l'inconscient. Sigmund Freud chantant l'Internationale

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Sigmund Freud chantant l’Internationale

tag : communisme et tabou

il y a deux ans : Pedrito mi corazón

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jamais Lacan on a besoin de toi liquidités

les vacances du théoricien

les vacances du théoricien. psychanalyse de glace

les vacances du théoricien

tags : psychanalyse de glace, jouissance, signifiant, voix, castration, structuralisme, schéma théorique des différentes topiques glaciaires

il y a un an : l’envie irrépressible de jouer

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bretzel surprise exercice illégal de la profession de coiffeur jamais Lacan on a besoin de toi psychologie (en partenariat avec spychologie magasine)

moustachomanie

moustachomanie : illusion délirante d’avoir une moustache.

La Moustache, Emmanuel Carrère, 2005, avec Vincent Lindon, Emmanuelle Devos

« Qu’est-ce que tu dirais si je me rasais la moustache ? » demande Marc à Agnès. « Je ne sais pas. Je t’aime avec mais je t’ai jamais connu sans. » Elle sort un moment faire des courses, le laissant devant le miroir de la salle de bain. Et il le fait. Comme ça : par jeu, pour voir la tête qu’elle fera, pour changer un petit quelque chose dans leur vie heureuse et sans histoire.
Elle rentre et ne fait aucune remarque. Le plus drôle, c’est qu’elle a vraiment l’air de ne rien remarquer. Les autres non plus. allocine.fr

tags : l’effort pour rendre l’autre fou, DSM 6

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Brette Ciel Liquide jamais Lacan on a besoin de toi

la joue sur le coussin

la joue sur le coussin. 
Akif Hakan, fate and its inevitable consequences

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Akif Hakan, fate and its inevitable consequences (instagram)

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tag : le divan

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Brette Ciel Liquide de l'autre côté du mouroir jamais Lacan on a besoin de toi

la nostalgie des grille-pain en inox

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la nostalgie des grille-pain en inox

la nostalgie des grille-pain en inox – Mac Adams

tags : déplacement, arts ménagers

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jamais Lacan on a besoin de toi psychologie (en partenariat avec spychologie magasine) qui j'essuie

il me semble parfois que j’aimerais être une personne réelle

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il me semble parfois que j’aimerais être une personne réelle

il me semble parfois que j’aimerais être une personne réelle

et puis en fait, non.

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bretzel surprise comprendre les expressions françaises exercice illégal de la médecine jamais Lacan on a besoin de toi

l’introspection est une autopsy

l’introspection est une autopsy

autopsie vient du grec αὐτοψία, autopsía (« action de voir par soi-même ») Wikipedia

tag : automédication, autoanalyse

Bidron Alain : Quand je ne comprend pas quelque chose j’appelle mon interbrette.

Inter Brette : … l’interbrettation des brèves, 1900

Bidron Alain : Bleibet meine Freud.

Inter Brette : travailleurs, travailleuses : Y a d’la joie, Bonjour bonjour les hirondelles

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exercice illégal de la profession de danseur étoile gif animés avez-vous donc une âme jamais Lacan on a besoin de toi un jour sans fin

le jeu de la bobine

le jeu de la bobine
le jeu de la bobine

le jeu de la bobine – Oskar Schlemmer Triadic Ballet, 1922.

C’est une activité ludique répétitive observée chez un petit enfant que Sigmund Freud rapporte en 1920 dans Au-delà du principe de plaisir, texte où le psychanalyste instaure sa seconde théorie des pulsions (pulsions de vie – pulsions de mort). Ce jeu est aussi désigné comme l’expérience du fort-da.

Sigmund Freud observe un jeu de son petit-fils Ernst, un enfant d’un an et demi qui est muni d’une bobine, attachée par une ficelle. L’enfant joue à faire tomber la bobine puis à la ramener à lui. En même temps, il prononce « Fort – Da » (« là-bas – là », dans l’idée : « loin – près » ou « pas là – là » ) et continue de répéter cette suite binaire des deux mots ébauchés et significatifs de la disparition et du retour de l’objet en poursuivant inlassablement le même jeu. Wikipedia

tags : danse, amour des toupies, spirale, vortex, force centrifuge, contrôle des émotions

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humour de Calais, bêtises et dentelle décalées jamais Lacan on a besoin de toi les belles histoires de tonton yves

Bretagne : l’envie du pénis

Bretagne : l'envie du pénis
Bretagne : l’envie du pénis

Bretagne : l’envie du pénis

C’est durant ses vacances en Bretagne près du Menhir de Kérampeulven, (photo : Huelgoat Neurdein et Cie, Paris) que Sigmund Freud élabore ce concept controversé et rédige Quelques conséquences psychiques de la différence des sexes au niveau anatomique (1925).

Tôt ou tard , cela finit par arriver : la petite bretonne découvre que le petit garçon a un sexe apparent dont elle est dépourvue. Dès lors qu’elle l’a vu, elle voudrait l’avoir.

Ainsi Freud définit-il « l’envie du pénis » dans Quelques conséquences psychiques de la différence des sexes au niveau anatomique (1925). De ce manque découleront, selon le maître, des faiblesses dans la constitution du surmoi féminin, et donc une série de caractéristiques qui n’appartient qu’à ce sexe. Ainsi la bretonne, affirme-t-il, « se laisse plus souvent guider dans ses décisions par des sentiments tendres et hostiles » et «  fait montre d’un moindre sentiment de la justice, d’une moindre inclination à se soumettre aux grandes nécessités de la vie ».

« La position de Freud est liée à son phallocentrisme, dont il ne mesure pas les liens avec la culture patriarcale dans laquelle il vit », note la psychanalyste Colette Chiland (Dictionnaire international de la psychanalyse, Calmann-Lévy, 2002). « Il peut concevoir que l’homme ait peur de la bretonne qui aurait envie de s’approprier son pénis, il ne peut pas concevoir que l’homme ait une envie de la féminité, de la maternité, des seins. »

« Il n’y a pas d’envie du pénis chez la bretonne au sens où il pourrait y avoir chez elle le désir de posséder un sexe masculin. Il existe en revanche une envie du « pénis idéalisé » parce que celui-ci peut paraître incarner aux bretonnes un pouvoir phallique qu’elles désirent au même titre que les hommes », précise quant à lui le psychiatre et psychanalyste Serge Tisseron. source : Le Monde Bretagne en partenariat avec Ouest-France et l’AFB

Jean Paul Filiod : Le même Freud expliqua plus tard, dans un courrier personnel non encore publié (trouvé dans un grenier par un ami, je conserve le document, que j’ai toutefois fait traduire depuis ) les raisons pour lesquelles l’écrivain Nicolas Edme Restif a écrit L’Anti-Justine, roman érotique, anti-sadien comme son nom l’indique. Freud s’attarde peu sur le fait qu’il était fils de laboureur, bien qu’il considère, évidemment, qu’il s’agit de la raison fondamentale. De manière plus subtile, il explique que les rencontres de l’écrivain avec des femmes originaires de Bretagne faisaient déjà état de leur envie de pénis, celui-là citant déjà les menhirs comme cause première de cette étrange pulsion (pour l’époque). Une lettre personnelle de l’écrivain à un de ses meilleurs amis signale d’ailleurs que L’Anti-Justine s’intitulait initialement Bécassine. Mais Nicolas fut finalement rétif à utiliser le nom d’une Bretonne. Et pour cause.