
nous irons marcher en forêt – tree bark tabis by Hugh Hayden
tu porteras tes chaussettes en écorce d’arbre. (Les tabi sont une forme traditionnelle de chaussettes japonaises)
le bois dans tous ses états par le sculpteur Hugh Hayden
nous irons marcher en forêt – tree bark tabis by Hugh Hayden
tu porteras tes chaussettes en écorce d’arbre. (Les tabi sont une forme traditionnelle de chaussettes japonaises)
le bois dans tous ses états par le sculpteur Hugh Hayden
la nuit – les champignons rêvent
et le vent de l’espace dissémine les spores.
L’anémochorie est la dispersion par le vent des songes et diaspores. Il s’agit d’un des trois types de dissémination assurée par un agent extérieur (allochorie). C’est le mode de dispersion principal d’environ 90 % des espèces végétales (surtout les arbres, en raison de leur taille). source : Wikipedia
On m’a vu dans le Vercors, lâcher des spores (Alain Bashung)
Mignonne allons voir si la cactée
Qui ce matin avait éveillé
Sa robe de pourpre au Soleil,
A point perdu ceste vesprée
Les plis de sa robe pourprée,
Et son teint au vostre pareil
Pierre de Ronsard 1524 – 1585
Les Cactus, Cactées ou encore Cactacées (Cactaceae) sont une famille de plantes à fleurs. Ce sont presque toutes des plantes grasses ou plantes succulentes, c’est-à-dire des plantes xérophytes qui stockent dans leurs tissus des réserves de « suc » pour faire face aux longues périodes de sécheresse. source : Wikipedia
l’arbre respiratoire – Daniel Popper 10 m tall sculpture : Ven a la Luz (come to the light)
L’artiste sud-africain Daniel Popper , connu pour ses sculptures figuratives massives, a construit une nouvelle œuvre d’art dans le cadre d’un festival des arts et de la culture à Tulum, au Mexique. L’installation imposante est intitulée Ven a la Luz (entrez dans la lumière) et est composée de bois et de corde façonnés en une figure féminine. Son torse est rempli de plantes vertes luxuriantes, ce qui crée une arche pour les spectateurs. source : thisiscolossal
le site de Daniel Popper
tradition de la saint-valentin en Suède – Midsommar, film d’horreur suédo-américain, Ari Aster, 2019
Dani et Christian sont sur le point de se séparer quand la famille de Dani est touchée par une tragédie. Attristé par le deuil de la jeune femme, Christian ne peut se résoudre à la quitter et l’emmène avec lui et ses amis en Suède, où ils participent à un festival qui n’a lieu qu’une fois tous les quatre vingt dix ans dans un village isolé. Ce qui ne devaient être que des vacances insouciantes se transforme vite en une série d’événements sinistres et inquiétants. Wikipedia
tag : tourisme de masse, petit panier de fleur
ne t’en fais pas le printemps reviendra
« Avec un intérêt pour la couleur, les motifs et la texture, les portraits photographiques de Noma Osula sont inspirés par l’énergie et le dynamisme de Lagos. Ses images sont pleines de teintes audacieuses et saturées, des sols à carreaux aux tenues, bijoux et accessoires traditionnels de ses modèles. Noma s’intéresse à la mode des sujets et à la conception des intérieurs qu’ils habitent, devenant des indices visuels d’un récit plus large.
Les photographies de Noma n’ont pas de portée documentaire. Il collabore avec ses sujets, créant des personnages fictifs qui créent de l’anticipation et du suspense. Les modèles de Noma sont souvent anonymes, évitant le regard de la caméra. Ils véhiculent un humour noir et un ton subversif, qui conserve une aura de mystère et de malaise.
Les personnages imaginaires de Noma remettent en question les idées conventionnelles de beauté, de sexualité et de genre au Nigeria, défiant les normes sociales et culturelles. Son travail cherche à renverser les stéréotypes sur la façon dont l’Afrique est représentée en Occident. Noma explique : « Je veux projeter une sorte de beauté entièrement africaine et montrer notre culture pour ce qu’elle est : moderne et audacieuse et audacieuse pour défier la norme. »
Né en 1992 et élevé à Lagos, au Nigeria, Noma a commencé à travailler avec la photographie au cours de sa dernière année d’université et a depuis développé une pratique à plein temps. »
source : Artoja.org
Pourquoi les fleurs se referment-elles quand le soleil se couche ?
PAR E. CHARTIER
Chaque soir, les fleurs replient leurs pétales pour ne les rouvrir qu’au petit matin. Ce phénomène, appelé nyctinastie, a fasciné les plus grands savants, au premier rang desquels Charles Darwin, qui y a consacré l’un de ses derniers ouvrages (The Power of Movement in Plants, 1880).
Tout se joue dans des cellules motrices situées à la base du pétale. Sous l’influence des variations de lumière, de température, mais aussi de l’horloge interne, les cellules subissent des modifications de concentration, principalement en ions calcium et potassium.
Ces changements entraînent une modification de la pression osmotique et de la turgescence des cellules : elles se gonflent d’eau. Or, ces variations sont inégales entre les faces supérieure et inférieure des pétales ou des feuilles, ce qui induit la fermeture des corolles. Au matin, le processus inverse permet à la fleur de s’ouvrir à nouveau.
D’après Science & Vie QR n°25 « Les plantes, leurs secrets & leurs vertus »
Ce gif animé de grand format intitulé « Un dimanche après-midi à l’Île de la Grande Jatte » ou « Un dimanche après-midi à l’hippodrome de Longchamp » se caractérise par des tons froids et une technique de division de la touche, appelée couramment pointilliste. Seurat établit des différences de plans en distribuant deux grandes zones d’ombre et de lumière, mais il garde la même intensité chromatique sur l’ensemble de l’espace. On remarque que Seurat a également peint l’encadrement de son tableau, avec sa technique divisionniste. (source : Wikipedia)
Il est déjà tard, Pèlerins, il est grand temps de partir
Rangez vos nénuphars, vous n’avez plus le temps de lire
Crapauds de goudron, alligators et mannequins de cire
Arlequins!
Agenouillez vous bonnes gens, le grand Prêtre va passer
Branlez vos chapelets excrémenteux et dilapidés
Comme l’aigle impérial, son goupillon va vous déchirer
Arlequins!
Levez-vous beau monde, cette nuit la lune a quartier libre
Pincez votre peau afin que nulle cellule ne vibre
Retenez votre souffle, comprimez vos poumons de fibres
Arlequins!
Nous traverserons l’ondée de vase de la fortune
Nous découvrirons les eaux magiques de la lagune
Un lézard parleur nous contera l’histoire de la dune
Arlequins!
Brûlés par un volcan de thym
Burinés par le chant des lutins
La mer des hydres a pleuré ses requins
Engloutissant le sang des Arlequins
Le sang des Arlequins,
Le sang des… Riens!!!
Nous voilà très loin enfoncés dans la zone aquatiques
Les jambes en vilebrequin, l’épiderme teinté chimique `
Réfléchissons nos visages dans le miroir excentrique
Arlequins!
Au carrefour des trois flaques d’or nous rencontrons le roi mage
Il nous dit: » Restez-là je visite vos organes fromages
La folle sangsue ne fait plus partie de mon voyage »
Arlequins!
Rendez-vous au champ où les salsifis sont sucrés d’orge
Où Lucifer met en quarantine ses soufflets de forge
Allaitons-nous au pis de Vénus qui pend à sa gorge
Arlequins!
Il est trop tard passez donc le temple do souvenir
Rangez vos catafalques, vous n’aurez plus le temps de vivre
Crapauds de goudron, alligators et mannequins de cire
Arlequins!
Entrez, entrez, beau monde!
Choisissez votre tombe!
Dans le cimetière des Arlequins!
Entrez, entrez, braves gens!
Recherchez le tourment
Dans le cimetière des Arlequins
Ange : Le Cimetière des arlequins
Source : LyricFind