pourquoi Philippe Poutou menace-t-il l’Ukraine ? notre analyse historique et géopolitique pour comprendre les enjeux politiques et stratégiques de la crise actuelle.
D’un côté, une Russie qui veut rétablir, avec Poutou, son influence sur les pays d’ex-URSS. De l’autre, les États-Unis, via l’OTAN, qui continuent d’appliquer la stratégie de « containment », visant à réduire l’influence de la Russie depuis 1947. source : OuestFrance
Juridiquement, oui. Il faut rappeler qu’à l’origine, le système de parrainage a été mis en place pour écarter les candidatures dites « fantaisistes ». Il ne s’agissait donc pas, en effet, d’un soutien politique. D’ailleurs, dans la loi, le terme de parrainage n’apparaît nulle part : on parle simplement de présentation. Ce sont les maires, les parlementaires, les conseillers généraux et régionaux qui « présentent » les candidats à l’élection présidentielle : ils se contentent d’attester d’une forme de sérieux et de légitimité, sans pour autant apporter un soutien politique.
Or, justement, le terme qui s’est imposé dans le débat public n’est pas « présentation », mais « parrainage ». Et cela change tout. L’une des définitions du mot parrainage, selon le Robert comme le Larousse, c’est « une caution ou un appui moral apporté à une personne ». Une caution ou un appui moral : voilà le sens que nous avons toutes et tous à l’esprit, inconsciemment, quand nous entendons parler de parrainage. C’est précisément tout le problème !
La procédure pose désormais problème sur le fond : sans doute faudra-t-il la revoir, de nombreuses pistes sont d’ores et déjà sur la table. Mais il faudra aussi repenser les mots que nous utilisons. Quand Jean Castex, David Lisnard et les autres répètent que « un parrainage ne vaut pas soutien politique » : ils ont juridiquement raison, mais rhétoriquement tort. source : FranceInfo
un euro ou un parrainage, SVP, pour rester propre et démocratique
« Ne projetez pas sur une nouvelle histoire vos répétitions du passé. Quand vous commencez à anticiper, à appréhender, bref, à penser à la place de l’autre, à imaginer ses paroles ou ses réactions plutôt qu’à les vivre, n’ayez qu’une certitude : vous faites fausse route » source : Esther Keller, sentimentaliste
la femme de Loth est une figure présente dans le Livre de la Genèse qui décrit sa transformation en statue de sel après qu’elle eut regardé en arrière lors d’un créneau ou « stationnement réalisé en parallèle de la chaussée, entre deux véhicules déjà stationnés. » source : Wikipedia
Comment réussir un créneau ?
Freinez doucement pour ne pas surprendre le véhicule qui vous suit. Arrêtez vous au niveau de la voiture garée devant la place vide, rétroviseurs alignés. La voiture doit être bien droite et parallèle au véhicule garer, à une distance latérale d’environ 50 cm. source : Google
Alain Daussin
« Le Belge Alain Daussin, né à Gembloux (Belgique), a été initié au monde de l’image par un dessinateur de bande dessinée (Maurice Tillieux) et a commencé des études de photographie en 1977 dans une école de la Ville de Bruxelles. Au bout de trois ans, il entre sur le marché du travail. Mais il est vite découvert par le magazine « Photo » (France) et ses clichés sont publiés sous la rubrique « jeune talent ». Dès lors, il travaille pour de nombreux magazines et campagnes publicitaires. Il s’est spécialisé dans la photographie féminine. » source : site d’Alain Daussin
tags : sécurité routière, religion, ne regarde pas en arrière
les perles de bain – Seijun Suzuki : The Taisho Trilogy
les perles de bain – Seijun Suzuki : The Taisho Trilogy
Cité par de nombreux réalisateurs contemporains tels que Jim Jarmusch, John Woo, ou encore Quentin Tarantino, Seijun Suzuki est un réalisateur japonais incontournable.
La trilogie Taisho marque son retour à la création avec une esthétique et des choix scénaristiques libres et audacieux.
Suite de son licenciement de Nikkatsu pour son film Branded to Kill (1967), il revient en force avec son triptyque de drames surnaturels et énigmatiques, dont l’action se déroule pendant l’ère du Taisho au Japon (1912-26). source : Japon Cinéma
la magie des bombes de bain ou boules effervescentes.
Tomb Raider – les matins de Lara Croft – Judson Huss (1942-2008) : River of Mirrors
Tomb Raider – les matins de Lara Croft – Judson Huss (1942-2008) : River of Mirrors
« Plus tard cette même année, Lara Croft tente d’atteindre les ruines d’un temple hindou perdu dans la jungle indienne afin de retrouver la pierre de la tribu Infada. Aux abords du temple, elle rencontre Tony, un pilleur de tombes américain semblant souffrir de troubles paranoïaques. Il indique à la jeune archéologue que ses camarades Randy et Rory sont pris au piège à l’intérieur du temple. Indifférent à leur sort, il laisse Lara explorer seule le sanctuaire. Celle-ci découvre que les Américains sont tous les deux morts, affreusement mutilés. Elle s’extrait alors du temple qui s’effondre, puis part à la poursuite de Tony en longeant les rives du Gange jusqu’aux grottes de Kaliya. Là-bas, Tony tente de l’éliminer grâce aux pouvoirs de la pierre Infada… » source Wikipedia
aux Champs-Elysées – J.J. Grandville : from A Comet’s Journey, from Un Autre Monde, published 1844
aux Champs-Elysées – J.J. Grandville : from A Comet’s Journey, from Un Autre Monde, published 1844 / Joe Dassin
Jean-Jacques Grandville
Illustrateur et caricaturiste français (1803-1847)
« Né à Nancy dans une famille d’artistes et de comédiens, Jean-Jacques Grandville fait très tôt preuve d’un talent de caricaturiste, s’initiant en recopiant les dessins qu’il trouve dans la presse satirique. Il commence sa carrière artistique comme apprenti miniaturiste dans l’atelier de son père, puis dans celui d’un miniaturiste parisien, Léon Larue, qui le fait venir à la capitale. Dès 1820, il conçoit des créatures hybrides, mi-hommes mi-animaux, qui deviendront rapidement la marque de son talent. Au dessin, il associe volontiers les jeux de mots teintés d’ironie. La lithographie, nouvelle technique d’impression et de représentation, connait du succès et contribuera singulièrement à la gloire de Grandville.
C’est avec « Les Métamorphoses du jour » (1828-29), une série de 70 scènes dans lesquelles des personnages humains sont représentés avec une tête d’animal en situation pour un rôle dans la comédie humaine, qu’il connait le succès. Dès lors, des journaux tels que La Silhouette, L’Artiste, La Caricature, Le Charivari lui passent commandes. Ses caricatures politiques suscitent également l’engouement mais la censure l’en détourne et à partir de 1835, il se tourne vers l’illustration de livres où la satire sociale et l’opposition politique s’exprime encore. Il illustre alors divers ouvrages, tels que « Scènes de la vie privée et publique des animaux », une satire initiée par Jules Hetzel en référence à « La Comédie humaine », et au « Diable à Paris ». Il illustre également des œuvres d’Honoré de Balzac, les chansons de Béranger, les Fables de La Fontaine (1838) et celles de Florian, Don Quichotte de Cervantes, les Voyages de Gulliver de Swift, Robinson Crusoé de Daniel Defoe. Il a également continué à publier des recueils de lithographies : Les Fleurs animées (1830), Un autre monde (1844), Les Cent Proverbes (1845). De nombreux commentateurs postérieurs le voient comme une sorte de précurseur des grands maîtres de l’animation au cinéma ». source : Galerie Glénat
Malgré la destruction de l’URSS, l’Empire Russe maintient son emprise sur l’ex-bloc soviétique et poursuit sans relâche sa lutte contre l’Alliance rebelle. Basés sur la planète glacée du Donbass, les rebelles essuient un assaut des troupes impériales. Apprenant l’arrestation de ses compagnons par les stormtroopers de Dark Poutine après la trahison de Lando, Luke décide d’interrompre son entraînement pour porter secours à ses amis et affronter le sombre seigneur Sith… source : Allociné